Condamnant l’assassinat du Général de Brigade Athanase Kararuza, le Secrétaire Général des Nations Unies souligne, dans une déclaration sortie ce lundi 25 avril dont Iwacu a eu une copie, que tous ces actes de violence ne servent qu’à déstabiliser la situation déjà fragile au Burundi. «Ils doivent immédiatement cesser», demande-t-il.
Ban Ki-moon signale que cela survient dans un contexte où plusieurs tentatives d’assassinats politiquement motivées ont eu lieu au cours de ces dernières semaines.
C’est le cas de la tentative d’assassinat ce dimanche de Martin Nivyabandi, ministre des droits de la personne humaine, des affaires sociales et du genre ainsi que des attaques ciblées contre certains membres éminents des forces de sécurité.
Ainsi, les Nations Unies demandent instamment qu’une enquête complète soit ouverte dès que possible pour faire la lumière sur ces évènements. « Seul un processus politique pourra permettre aux Burundais de remettre leur pays sur la voie de la réconciliation nationale et de la paix», lit-on dans cette déclaration.
Le Secrétaire général des Nations Unies exhorte les leaders politiques burundais, y compris ceux en exil, à renoncer à l’utilisation de la violence à des fins politiques. Il les appelle à prendre part à un dialogue inclusif et sincère. Et de promettre : « Les Nations Unies continueront à apporter leur soutien à tous les efforts visant à promouvoir une solution pacifique au Burundi».
L’UE se dit préoccupée
De son côté, l’Union européenne parle d’une aggravation extrêmement préoccupante de la violence au Burundi. Dans une déclaration de ce mardi 26 avril, elle apprécie néanmoins l’annonce de Benjamin Mkapa, co-facilitateur dans la crise burundaise, faisant étant de l’ouverture du dialogue inclusif à Arusha très prochainement.
Pour l’UE, cela constitue un pas dans la bonne direction. «Le dialogue politique sous médiation internationale doit désormais s’ouvrir urgemment et toutes les parties prenantes de la crise burundaise doivent s’y engager», recommande-t-elle.
Réfléchissons quand même:
1) Ceux qui sont en train de tuer iront à Arusha pour dialoguer sur quoi ? Pourront-ils justifier politiquement ces tueries ?
2) Le Secrétaire Général de l’ONU et l’UE tout demandant des enquêtes sur les violences au Burundi déclarent:
« « Seul un processus politique pourra permettre aux Burundais de remettre leur pays sur la voie de la réconciliation nationale et de la paix» » et « «Le dialogue politique sous médiation internationale doit désormais s’ouvrir urgemment et toutes les parties prenantes de la crise burundaise doivent s’y engager» ».
L’ONU et l’UE connaissent donc les causes des violences et des tueries. Comment avec leurs réseaux de renseignements ne savent-ils pas qui tuent ? Ceux qui tuent ne revendiquent pas leurs actions. Comment arrêter les tueries par le dialogue alors qu’on doit faire des enquêtes pour savoir qui tuent ? On va dialoguer avec qui pour arrêter les tueries alors que l’UE veut un dialogue urgent avant l’enquête pour savoir qui tuent ? C’est un langage flou.
3) Ces tueries ciblés peuvent conduire à une réaction inattendue :
Les Hutu et les Tutsi peuvent se sentir en danger commun et renforcer leur solidarité alors que ceux qui tuent voudraient voir les Hutu et Tutsi s’entre-tuer.
Et si Ban Ki-Moon a toujours traite le probleme Burundais en inversant les roles des criminels, responsables de tous ces tueries bien organisees par le Gouvernement de Bujumbura, commandes par le chef supreme nkurunziza et ses gardes, les imbonerakure et les FDL, un mandat vole et maudit pour gouverner le pays forcement. L’intensite des tueries pour creer le chao et refuser les pourparlers a Arusha, la semaine prochaine. Refuser toute intervention de l’ONU, pour secourir a un peuple gravement en danger.
-Il faut que l’arusha accord modifier soit d’abord etre presenter au peuple et faire un REFERENDUM sans cacher aucun point et avant aucun installation d’un gouvrnment de l’unite.
-Il faux savoir que ONE MAN-ONE VOTE est no negociable ,aucun goute de system arretera sinon vous fermer une geurre en ouvrant un autre
-If faut demander que un tribunal contre le crime de 500 000 morts de 1972 sinon vous perder le temps en negociant
-Vous pouvez aller negociier toute votre vie
Je me pose une question : pourquoi le pouvoir qui nous avait donné tant d’espoir en 2005 n’a pas ouvert le dossier d’instruction pour enquêter sur les crimes de 1972 ? Il n ‘ y avait pas assez de juges d’instruction ? Pourquoi le ministère public ne s’est pas saisi de cette question ? Cela n’a pas été fait pour justifier le chaos socio-économique auquel on assiste aujourd’hui ? Pour justifier tout et n’importe quoi, nous perdons la raison.
Si tous ceux qui ont participé aux différentes violences au Burundi étaient exclus, qui serait au pouvoir aujourd’hui ? Nous n’avons pas honte nous Barundi ! Turakwiye kwiraba mucirore dugahindura ingendo.
@HIMA : Twabahaye inkoni yo kudukubita !!! Vont-ils se gêner ? Vous vous gêneriez vous ?
Dans les negociations il faut que a cause des coup d;’etat contre les democratics faites par l’armee depuis 1961:
1.L’ARMEE ET LA POLICE DOIT
– 25% des pur tutsi
-25% des melanges twa,ganwa
-50%doit etre pour la majorite hutu
Les tutsis ne peuvent plus demander une protection tant que c’est eux qui tuent au burundi et il n;ya pas eu de genocide qu’ils comptaint tellement.
2 LA DIPLOMATIE
Dans les negociations il faut que l;union europeen accept par traves cotonu que on veut plus belgique comme avocat et paternaire
Ce blanc belge nous divise
Pour bouger la tete haute d;un president hutu ,il utilse un tusti extremist.De meme pour bouger la tee haute d;un president tutsi ,il utilise un extremist hutu
Ces extremists seront toujour la .
C’est une occassion lors des negociations de rompre totallement les rapports direct avec ce pays qui nous enslave.
Il faut ouvrir un tribunal penal contre la belgique aux actes commis puis l’independance specially la mort de 500 000 hutus tuer et buried in 1972
cette fois si si les negociations ne resolvent pas cela la lutte sera long et reviendre je vous assure.
3. DANS L’ADMINISTARTION,ENTREPRISE ,ONGS ,GVMENT
– 25% des pur tutsi
-25% des melanges twa,ganwa
-50%doit etre pour la majorite hutu
4.PARLEMENT
25% des pur tutsi
-25% des melanges twa,ganwa
-50%doit etre pour la majorite hutu
5. A LA PRESIDENCE
Il faut creer un mandat de 10ans non renouvalable
tout part politic presentera deux candidats un hutu et un tutsi pur.
si un part politic gagne un hutu president pour 6ans,un tutsi president pour 4ans.
Ces deux presidents seront venu d’un parti politic elu par les suffrages universelles direct : »one man ,one vote »
Ces deux presidents seront plus symbolic que administrative
Le parlement elura un premier ministre de mixte ethnique pour 5ans renouvelable qui sera l’executif prIncipal de toute activity du Gouvernement.
5.EN CONCLUSION
Il faut que nous sachions que les negociations n’est pas dire echec
il faut tjrs s’approcher de l’enemie
TROIS POINT IMPORTANTS A SOULIGNER:
-Les burundais n’accepteront plus 50%des tutsis dans l’armee et les ONGS.Ca doit changer
C’est une injustice clair a ne pas negocier
-Les burundais n;accepteront pas qui que ce soit qui touchera le system de vote :ONE MAN ONE VOTE
85% sont hutu c’est une benediction que on veut detruire depuis 1961 et qui que ce soit touche ce nombre verra une geurre sans genocide mais TRES TRES SERIOUS
-Les burundais n’accepteront pas des accords d’arusha cacher.
-Avant d’etre signer il faut que il y ait un REFERENDUM
QUE DIEU PROTEGE HUTU-TUTSI -…DANS LEUR DIVERSITY.
SANS JUSTICE EQUITABLE LA GUERRE CONTINUE
Je crois t es malade et cyinique mm. Cette formule ne reussura jamais et jamais alors. L ex est claire, la fomule actuelle a abouti a quoi si c n est le chaos qu on observe ajourd hui! Vous etes tous des burundais, le pays doit etre dirige sur base des competences et non pas cette ideologie visant le divionisme et le sectarisme. Le Rwanda est deja sur les rails, suivez l.ex
Mais c’est la Belgique, membre de l’UE qui finance ceux qui font des attaques terroristes au Burundi. On a donc pas besoin de leur declaration. Ils sont uniquement interesses par le Nickel et l’Or Burundais