Dans un communiqué sorti ce mardi 26 janvier, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme déplore le contretemps subi par une mission de 3 experts indépendants chargés d’enquêter sur les violations et abus commis récemment au Burundi.
Cette agence onusienne appelle les autorités de ce pays à leur accorder sans tarder des visas. Selon Cécile Pouilly porte-parole du HCDH, conformément à une résolution du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU du 17 décembre dernier, cette Agence a mis sur pied une équipe constituée de deux rapporteurs spéciaux et d’un membre de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples.
Ces experts ont été mandatés pour « enquêter sans retard sur les violations des droits de l’homme et abus commis au Burundi, faire des recommandations afin d’améliorer la situation en matière de droits humains et ouvrir un dialogue avec les autorités et d’autres acteurs pertinents sur la crise actuelle », souligne-t-elle.
Le Haut-Commissaire avait demandé au gouvernement burundais d’autoriser l’équipe d’experts à commencer sa première mission au Burundi lundi 25 janvier. «Mais l’équipe n’a pas été en mesure de se déployer, du fait de l’absence de réponse des autorités burundaises jusqu’à présent », s’inquiète Cécile Pouilly.
«Nous regrettons ce retard et craignons qu’il n’entrave la capacité de l’équipe d’experts à s’acquitter de son mandat et à soumettre son rapport au Conseil de manière appropriée et dans les délais voulus », s’indigne-t-elle. «Nous espérons que les autorités burundaises prendront toutes les mesures nécessaires, y compris l’octroi de visas, afin de permettre le déploiement rapide des experts sur le terrain», souhaite-t-elle.
Les trois experts sont le Sud-africain, Christof Heyns, Rapporteur spécial de l’ONU sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires et arbitraires, l’Algérienne, Maya Sahli Fadel, membre de la Commission africaine des droits de l’Homme et des Peuples et Rapporteuse spéciale de cette Commission sur les réfugiés, demandeurs d’asile, personnes déplacées internes et migrants. Il y a également le Colombien Pablo de Greiff, Rapporteur spécial de l’ONU sur la promotion de la vérité, de la justice, de la réparation et des garanties de non-répétition.
Signalons que le HCDH a dénoncé mi-janvier de nouvelles vagues de violations des droits de l’Homme dans le pays, notamment des violences sexuelles de la part des forces de sécurité et une forte augmentation des disparitions forcées et des cas de torture.
Le HCDH a demandé l’ouverture d’une enquête sur les événements qui se sont produits à Bujumbura, les 11 et 12 décembre 2015, y compris sur les allégations selon lesquelles au moins neuf charniers existeraient dans la ville et ses environs.
Moi, personnellement, je pense qu’on pouvez les laisser venir, À condition qu’ils vont faire toutes les enquêtes sur tous les tueries et génocides commis dans ce pays et juste en commençant de 1961,1965,1972, 1993 à aujourd’hui. S’ils sont d’accords avec ce principes laissent les venir. Sinon, ça serait une peine perdue. Qu’il y a un mort plus important qu’autre alors qu’ils sont morts dans les mêmes conditions.
Nibafashe kuzimya umuriro bakije autrement.Amacakubiri bamye barima mubarundi bibaza ko ataco azokwama? Icompa abanyafrica twese tugatahura ko ces blancs nous exploitent depuis la nuit des temps! Dukundane barundi,turondere umuti w ibibazo vyacu.N abo bose bavuza ingoma ngo mandat igende nabi,imfashanyo zifutwe…Muvyemera mutavyemera biradukorako twese d une part ou une autre,naho woba wibereye i Buraya uribuka ko hari Nyokosenge hariya kugasozi.
Haha !! Babicanyi bari bezeye ko kazoba akamizwe n’ingoma. Hahaha !! Emere basha binjire batohoze ubwicanyi mwirirwa murikorera. Biranoroshe
«Nous espérons que les autorités burundaises prendront toutes les mesures nécessaires, y compris l’octroi de visas, afin de permettre le déploiement rapide des experts sur le terrain», souhaite-t-elle.
A-t-on peur ici de la malveillance et de la malhonnêteté des enquêteurs étrangers, ou bien de ce qu’il pourraient effectivement découvrir, et qui ternirait l’image du Burundi, pleinement souverain ou non ?
La fabrication de témoins est-elle l’apanage des ennemis du Burundi, ou bien faut-il comprendre qu’au Burundi, quand une enquête doit impérativement aboutir, on peut aussi avoir recours à certains expédients ?
Autant ces commentaires accusent les « étrangers », autant il rmettent en évidence la part d’ombre des accusateurs. Un doute s’installe.
1. Pourquoi ce Haut Commissariat des droits de l’ homme n’ a pas encore enquete sur les les morts qui recemmnet flottaient sur le Lac Rweru, lac situe entre la frontiere du Rwanda et du Burundi ??? Est-ce que ces morts n’ etaient pas des humains, eux aussi ???
2. Pourquoi cette meme Commission n’ a -t-elle pas daigne enquete sur l’ assassinat des deux chefs d’ Etat burundais His Excellencies Melchior Ndadaye en 1993 , Ntaryamira Cyprien et Juvenal Habyarimana du Rwanda assassines le 06 avril 1994??? N’ etaient-ils pas aussi des humains a proteger ????
3. Qu’est-ce que cette Commission des Droits de l’ homme a fait quand des milliers de refugies Rwandais hutus et Congolais etaient sauvagement assassines ou genocides ( see UN Mapping Report) entre 1996-2003 ??? Etaient-ils des animaux a abattre sans autre forme de proces ?????
4 . Pourquoi cette Commission n’ a pas encore enquete en France sur les assassinats des « presumes » terroristes qui ont ete dernierement abattu par les Forces de l’ ordre Francaises et que plutot on s’ acharne aux FDN qui ont poursuivi et mis hors d’ etat de nuire ces rebelles qui avaient attaques les camps militaires a Buja ???
6. Pourquoi cette Commission des Droits de l’ Homme n’ enquete pas sur les assassinats journaliers commis sur les Noirs Americains aux Etats-Unis comme par exemple ceux -la meme dernierement abattus dans une eglise dont un membre u Congres Americain ????
5. Et maintenant, quelques 400 rebelles sont morts apres avoir attaque les camps militaires Burundais et le monde est paralyse , on crie et on chante au genocide et on appelle aux enquetes internationales????.
6. Et enfin, pourquoi cette Commission des Droits de l’ Homme n’ existe que pour les Africains et d’ autres peuples du « tiers Monde » et jamais pour les USA, France, England, Germany, Russia, Belgium, etc.. Tout simplement , cette Commission des Droits de l’ Homme n’ existe que pour les Africains a l’ instar de La Cour Penale Internationale ( ICC)
Le Burundi n’ a donc pas besoin de ces fanfarons imperialistes et neo-colonial experts-enqueteurs .
Give me a break !!!!!
En quoi cela te dérange quand bien même elle commencerait à travailler par le cas Burundi? Par hasard tu t’accuses de quelque chose et tu as peur?
Autrement dit, tu veux justifier les crimes actuels par ceux du passé. Vous dites, laisse-moi tuer car les autres ont aussi tué dans les années passées! Quelle genre de réflexion!!? Aho wosanga uri mubiyita abategetsi avec un niveau de réflexion pitoyable… Manyina ubu c’est la promotion de la médiocrité.
Certains commentateurs craignent les enquêtes onusiennes car il se pourrait que la boîte de Pandorre qui s’ouvrirait ne les épargnerait pas. Moi j’ai peur de ces enquêtes car elles n’aboutissent à rien. Où irait la conclusion de ces commissaires quand on sait que le conseil d’Insécurité, pardon de Sécurité se permet d’aller au Burundi tout en sachant qu’ils n’aboutiront à rien et comme si cela ne suffisait pas, ils vont intimer à l’Union Africaine l’ordre d’oublier la MAPROBU et celui d’aider financièrement le gouvernement de Bujumbura? Ces commissaires, comme leurs amis du fameux conseil, veulent se promener au Burundi pour leur plaisir et leurs CV. Venant de l’ONU, ils sont vraiment aussi inutiles que l’Organisation qui les envoie. Ils n’ont rien d’autre à vendre que la méchanceté et le cynisme. L’ONU, ce gros machin inutile comme disait le Général De Gaulle, devrait disparaître comme sa soeur aînée, la Société des Nations, afin que chaque pays s’occupe de ses problèmes.
Toute ca c’est Jamal Benomar, le representant special de Ban kimoon au Burundi qui manipule les Nations Unies. Ce marocain s’avere etre un agent double. Quand il est avec les gens de Nkurunziza, il promet de veiller sur son mandat de cinq ans! Quand il rencontre l’opposition, il pretend ne pas comprendre Nkurunziza et sa clique. Quand il etait envoye special au Yemen on a du le chasser du fait de son incurie. Heureusement pour lui il y a le pauvre Burundi. Vous verrez qu’il essayera de jouer l’equilibriste pour s’accrocher au cadavre Burundi. Surveiller donc son cote manipulateur. C’est un type venal. On peut facilement l’acheter.
Ukuri
Tout est justifie par « souverainete nationale »….tout simplement ce refus…n’ a pas de sens ou confirme indirectement que on veut cacher ce qui a ete dit dans le rapport des nations unies le 15 Janvier 2016.
Refuser la venue d’une equipe d’experts des nations unies et l’UA ne signifie pas que l’on est blanchi du tout. Pourquoi vouloir tout refuser, s’accuse-t-on de quelque chose donc? J’ai raison, pas les autres. On refuse ici Maprobu, negociations, monusco, venue des experts, droit a l’information (la RTNB sait bien…), on refuse que l’economie est malade (pourtant les eleves sont renvoyes faute de nourriture), le taux d’echange reste le meme, les faux billets ne sont pas donnees a des banques etc… et demain ca sera quoi encore? Barundi, ejo tuzoba tugeze he?
Je pense que ces représentants du Hcr pour les réfugiés veulent se moquer du droit de la souveraineté du Burundi. Je ne vois pas pourquoi ces pseudo spécialistes enquêteurs , veulent savoir ce qui s’ est passé le 11 et 12 décembre 2015 à Bujumbura ? Les ennemis venus d’ extérieur ont attaqué les camps militaires Burundais et ont été défaits sur le champs. Point final. Quand les terroristes ont attaqué Paris, ils ont été tues sur le champs. Point final. Paris est entrain de bombarder où ils venus. Le Burundi n’ à pas encore commencé à aller bombarder où les rebelles sont venus. Pourtant, le haut commissariat des réfugiés à Genève sait que parmis les rebelles tués dans les camps militaires à Bujumbura, certains sont venus du Rwanda où ils sont recrutés, entrainés et armés par le Rwanda ! Pourquoi jusqu’ aujourd’hui, le HCR n’ à pas encore dépêché des experts au Rwanda pour enquêter sur les recrutements dans les camps des réfugiés Burundais à Gashora au Rwanda ? Le HCR devrait faire attention dans ses intimidations car, si on va au fond des choses, il se pourrait que quelques membres des fonctionnaires soient complices des recrutements de jeunes réfugiés Burundais dans les camps au Rwanda.
BARKING UNDER THE WRONG TREE
@Leonard
1. Vous vous en prenez au HCR alors que l’article parle du Haut- Commissariat aux droits de l’Homme (HCDH), « qui a pour but de promouvoir, de controller et de renseigner sur le respect du droit international, des droits de l’Homme et du droit international humanitaire dans le monde, selon l’adoption de la Declaration et programme d’action de Vienne… »
(Voir « Haut Commissariat aux droits de l’Homme », http://www.wikipedia.org).
2. Peut-etre que vous sentez/craignez deja le lien eventuel entre cette enquete du HCDH et la Cour Penale Internationale (CPI) de La Hayes, Pays-Bas (pour certains tortionnaires burundais).
Leonard, tu te prends pour un grand expert hors commun.Depuis quand as-tu fait tes enquêtes et quelles crédibilités ont-elles?
SI par hasard tu es membre du clan governmental, si vous n’avez rien à cacher,pourquoi ne pas laisser ces enquëteurs indépendants faire leur travail?
Par ailleurs, cesse de mettre en parallele ce qui s’est passé à Bujumbura et à Paris. Demande combien de gens retrouvés ligotés avec balle dans la tête à Paris?
En plus, tu te plains de ne pas bombarder le Rwanda. Qu’attends-tu? Vas-y! Tuze turabe uko inguvu ufise zingana.
Les rebelles ont attaqué les camps militaires, ils se sont servi dans les magasins et sont tranquillement repartis. A défaut de rattrapé ceux qui ont attaqué, les policiers et militaires acquis à la cause de Nkuru (en connivence avec les imbonerakure) se sont vengé sur une population civile sans défense des quartiers contestataires. Voilà la vérité. Ibindi c’est du blabla. Si les usurpateurs du pouvoir en place ne s’accusent de rien, qu’ils laissent les enquêtes impartiales…
Ces gens sont complices de la crise Burundaise et doivent etre ecarté du pays. Il fabriquent des temoins parmi les terroristes et leur rapport ne peut en aucun cas etre credible.
Monsieur Leonard urakwiye kwakira umwami yesu akagukiza kuko ndabona umutima wawe wuzuyemwo ishari ninzigo nagomba nkubwireko « Ingeso yurugo itubaka urundi »
Intervention du ministre de la propagande gouvernementale sur Iwacu, M. Jeremy Hima, afin de nous rappeler que tout ça, c’est la faute du Rwanda, de la Belgique et des martiens dans 3… 2… 1…