<doc7135|left>Ce mardi 19 février, comme à l’accoutumée, les journalistes avaient prévu de faire une marche pacifique en vue de rappeler et demander la libération de leur confrère, Hassan Ruvakuki.
Soudain, la police a chargé. Elle a d’abord lancé des grenades lacrymogène avant de se ruer parmi les journalistes. Bousculés, battus, les journalistes se sont éparpillés. Certains sont tombés par terre.
A l’heure actuelle, les journalistes se concertent pour décider des actions à mener par la suite. Jusqu’ici, la manifestation s’était toujours déroulée dans le calme, avec l’encadrement de la police. Ce matin, c’est visiblement une nouvelle option prise par la police.