Dans la ville de Gitega, une équipe de dix personnes travaille au loin des regards sur le projet d’un hélicoptère. La population est impatiente de le voir voler.
« Qu’il décolle d’un mètre, de deux mètres, ce sera un pas et nous serons satisfaits. L’essentiel est de montrer que même un Burundais a des capacités intellectuelles comme les autres peuples », lance Gustave Niyibizi, concepteur du projet.
Dans leur atelier baptisé « Centre d’Essai Aéronautique de Gitega » situé au centre ville, ils travaillent enfermés. On y entre sous l’autorisation. Interdit de prendre des photos. Un squelette d’un hélicoptère posé sur les patins est au milieu de la pièce. Les mécaniciens s’activent à serrer et desserrer écrous et boulons. Les électriciens vérifient les embranchements des fils, tandis que les tôliers coupent les tubes métalliques.
Les différentes parties de l’avion sont nettement visibles. En plus de la queue, on remarque l’arbre de transmission, cabine à deux personnes, les deux rotors, les patins, et le moteur qui ressemble beaucoup à celui d’une voiture. Matériaux utilisés : ils sont essentiellement métalliques : « Beaucoup nous prennent pour des fous. Nous leur demandons de la patience. Ils seront surpris dans les jours à venir », promet Gustave sans pour autant donner plus de détails.
D’après lui, l’idée de fabriquer un hélicoptère est venue de la lecture. Même s’il est enseignant de l’école primaire, Gustave s’intéresse beaucoup à la science et à la mécanique. Il fait savoir qu’il raffole les sciences surtout la physique et la mécanique. « Nous ne pouvons pas toujours nous borner à apprendre les théories. Nous devons faire aussi la pratique », avance-t-il.
Selon Abdoul Hakizimana, l’un des mécaniciens, seule la puissance du moteur pourra faire décoller cet hélicoptère. Il est rassurant : « Si nous sommes parvenus à augmenter les tours-moteurs, le reste sera de l’eau à boire !»
Impatience, quand tu nous tiens !
Dans la ville de Gitega, la fabrication de cet avion par les locaux domine les discutions. On se demande si réellement cet avion décollera comme ceux qu’on voit souvent au-dessus de nos têtes. Ou s’il ne roulera pas au sol comme une voiture. « Qui autorisera que cet engin prenne l’air ou qui sera sur les commandes comme pilote », aiment-ils commenter. Ces questions ne sont pas sans fondement car parmi cette équipe, personne n’a de connaissances de pilotage. « Vont-ils faire appel à un pilote expérimenté pour l’essayer ou il y aura un volontaire parmi eux ? », s’interroge Pascal Ntibarufata, un ancien militaire. D’après lui, les autorités compétentes devraient d’abord inspecter cet avion avant de leur accorder la permission d’effectuer les essais. « Même si c’est une bonne idée, il ne faut pas que cet appareil occasionne des morts ou des blessés. Je doute qu’ils soient à mesure de maîtriser la technologie de l’avion », tranche Félicité.
Tandis que les uns doutent de la capacité intellectuelle des Burundais de fabriquer un avion réel, les autres les encouragent d’aller plutôt de l’ avant. C’est le cas de Benjamin : « Qu’ils réussissent ou pas, c’est du jamais vu au Burundi. Ils ont déjà montré qu’ils ont des idées pour développer le pays. Je leur souhaite bonne chance. »
Nagomba bwire abantu mwese mwiyumvirako batoyigurura nazirya ziguruka ugiye muri histoire zabanje kwica abantu benshi imbere yuko ba maitrisa technologie . Harya mubintu vyose ikigoye ni commencement umaze gutangura urabona aho vyanse ugakosora. Kandi nukumenya kwabantu baba inventeur batiyumvira comme le reste de la population.mwebwe mubibona comme impossible ariko pour eux c est possible. Jew ico nobahanura n’hesite pas a realiser vos rêves les plus fous reka kuguma mwiyumvirako bidashoboka
Il faut quand meme encourager de tres bonnes initiatives. Il y a les gens qui sont toujours pessimistes et qui ne font que se moquer de l’autre avec des rires sarcastiques. Si le projet reussit on en sera fier, si ca echoue, au moins ils ont essaye un projet genial. Qui ne risque rien n’a rien et ils peuvent surprendre tout le monde. Qu’on lui donne du temps avant de dire qu’il est fou. Mais ne soyez pas surpris s’ils echouent car si ce n’est l’un c’est l autre. Donc on s’attend a l’une des deux resultats. En attendant nousleur souhaitons bon succes.
Ugo n’urutaro rumwe gunguruza abarozi hariya mu Ruyigi ntamadege ngaho
Ntandege mushobora kuko indege ntikoregwa hanze bayijana muri loboratoire canke ces pauvres mécaniciens batize intégral wumva bohera hehe canke ni politique ya leta itwibagize plan safisha hamwe namakoho bariko barazana mugihugu ????
Gitega veut décidément être notre capitale de la technologies et du bricolage. Il y avait eu la Radio Gasape. Nous avons maintenant un helicoptere. Il ya sûrement d’autres initiatives du même genre que nous ne connaissons pas.
A mon avis, cela démontre que l’esprit scientifique burundais se libère et qu’il serait stratégique de l’accompagner. Par exemple en créant un fonds national pour la créativité et l’invention! Pourquoi ne pas organiser un festival annuel des inventions et du bricolage?
Qui sait si ce que ces esprits technologiques inventeraient? Peut-etre une une houe légère et multifonctionnelle canke inkorofani iduga umusozi grâce à des petites hélices!!!
Cela dit, ndashimishijwe n’uwo mwalimu wo muri primaire qui continue à s’intéresser à des sciences tel que la physique et l’avionique. Iyo biba vyoshobotse, bomuhaye bourse akaja kuvyiga neza et pour lui permetttre d’aller au bout de sa passion. Imaginez son bonheur, imaginez ce qu’il ferait ensuite pour le pays qui l’aurait soutenu…. Uko niko ibihugu bitera imbere abantu bakibaza ingene vyagenze!!!
Tres bon commentaire . Encourager ce monsieur et son équipe ne serait jamais une peine perdu pour l’intérêt de tout le pays (…) Toute fois la securité devrait etre de mise lors des essais . (…)
Kazjeneza wotweza nuwapfuye,wovyiyumviriye mumwanya uganiki
Mukama wanje !!! Indege made in Gitega !!! Je rêve ou quoi? Mais c’est vrai j’ai bien lu c’est le contenu de l’article.
Ariko ko iciyumviro ari ciza cane reka je nterere ndabatoze umuti :
Baze bayizirike ku minyororo y’ivyuma iboheye ku ma « poteaux dont la solidité sera bien vérifiée par des autorités bien compétentes en la matière » .
Gutyo n’umupilote hari igihe kitomuta hasi hanyuma ngo kimucamaguru canke kimwimbire icobo!
Abandi namwe gerageze muterere ntihagire uwuzohagwa abo bantu barakwiye quand même kuronka ivyiyumviro bibafasha!
Nivyakunda ce sera notre fierté à tous nivyanka ntaco haze habure accident!!!
c’est vraiment bon d’avoir des courageux comme ces types. Mais quand même ça devrait réveiller les dirigeants de ce pays! envoyer des jeunes pour apprendre la mécanique des avions et le pilotage. Dans l’avenir, on aura le tout pour fabriquer notre propre avion. il faudra acheter une licence de fabrication. Quant à leur avion, je pense que la formule qu’ils utilisent est leur invention si non !!! A Gitega c’est bon!!!! on nous avait promis la construction d’un aéroport international, de la présidence mais en vain. Gitega se développerait le plus rapidement. On aurait la capital politique chez nous et la capital économique à Bujumbura. La capitale à la frontière?, toutes les intérêts du pays à la frontière (université, grandes écoles, les hôpitaux de référence, le gouvernement, le parlement, le sénat, etc.), imaginer si le Burundi entre en guerre contre le Congo, des armes simples pourront détruire la majorité des infrastructures du pays. A bon entendeur, Salut!!!
Ndahwereye n ugutwenga!!!! Nakuze numva ngo hari abantu baguruka ku « URUTARO »mwijoro!
Hahhhhaaaa!
Ayi ayi! Uranyishe kajkaneza! Buranse ko mpema kubera ugutwenga cane. Kikikik
Jew ariko ndifuza kumenya uwozokwurira iyo ndege pour la premiere fois. Ntakuntu iryo teka boriha umushikirangi ajejw gutwara ibitwara abantu n ibintu?
Concilie Nzowusambura iryo zina sigwawe uvuga neza kiyago, iyaba Ngoga Gateretse canke Filipo Gateretse aho narikubumva komera muta abo bahinga nabo bubaka indege biragoye bisaba beaucoup de connaissances et de technologies.
Ngiyo Falcon présidentiel, Peter azoca ayigura kuri makeyi ngira namanyanga nkamwe birigwa bakora. Reka tubihe igihe, abanyamakuru bazoba batubwira.
j’encourage ce projet pour une raison: faire revivre l’espoir et le droit de rever aux burundais. sinon le projet en soi est une perte de moyens et de temps (il n’ont rien a inventer car les helico existent deja, a moins qu’ils n’ameliorent ceux qui existent.ex: reparation des avions qui pourissent a l’aeroport de Buja, reduction de la consomation et reparation de l’helico presidentiel)
Si ils fabriquaient au moins des turbines et des générateurs pour produire de l’Energie hydroélectrique serait géniale au lieu de faire des jeux d’enfants qui n’aboutiront à rien.
Ces toles suffisent messiers pour fabriquer quelque chose utile pour la population et vous mêmes. Courage!!!!
Monsieur Albert Maniratunga de l’autorité de régulation parle plutôt qu’il faut les encourager! Mais côté technique, sécurité et réglementation c’est néant! Et je crois qu’il a raison de le dire car ce n’est pas une nouvelle invention que ces mécaniciens sont entrain de faire. Donc ils doivent être soumis sous un contrôle vigilant pour ne s’adonner à des initiatives malheureuses! Il faut les encourager quand même parce qu’il peuvent imaginer à imiter les hautes créations. Je le répète encore comme Mr Albert l’a dit à la radio, ce genre de choses sont soumises à un règlement commun!
– Qi coordonnera la piste?
– Avec quel moyen de communication?
– Avec quel équipement?
– Quel moyen de secours?
– Qui va sacrifier les premiers essais?
– Avec quel objectif cet « herico » est éssayé?
– Quels Résultats attendus?
– Quels sont les mobiles qui entourent cette ré-invention?
Monsieur Tonton, avec ta petite vide tu ne peut rien comprendre.
C’ets un projet qui va au delà de ton immagination.
La fabrication d’un avion n’est pas un badinage et ça ne peut se faire sut le net.
Laisse donc nos «abahinga» travailler et prépare-toi seulement à être transporté dans un avion «made in Gitega.»
Mr Kagabo,
Je parle des faits, « il n’y a pas d’invention d’avion à gitega »! Ceux qui ont inventé l’avion savent pourquoi et ont droit sur le contrôle du moment que les conventions le révèlent ainsi!
Je ne te demande pas de me payer un jour le luxe dans cet « avion »! Que l’essai de l’avion de cet « avion » commence sur toi et termine sur toi »!
En tout cas naho itoshobora kuguruka , ces gens là sont à féliciter. Siciyumviro gusa bagize bariko babihira no mubikogwa c’est déjà ça. Bravo.
Abo bahimga nibakomere ndabateye intege.n’abandi batanguye uko ntanumwe yabivukanye kandi bose bagiye batera imbere buhorobuhoro.witegereje mubitabo abahinga bakera ingene batanguye biratwengeje kandi ntamuntu n’umwe yari kwiyumvira yuko boshika aho bageze ubu.komera kandi
L’idée est géniale, mais la faisabilité est autre chose. Il s’agit d’une perte de temps et d’énergie pour ces jeunes gens. On ne s’amuse pas avec l’aéronautique. Ils ont commencé par là où ils devraient terminer : le montage. La 1ère chose qu’il fallait faire c’est la conception : définir la puissance du moteur, la vitesse, l’autonomie,les systèmes de pilotages,….. La question que pose Iwacu: volera, volera pas? Je peux répondre: l’hélico ne volera pas. Pas de pilotes pour le faire voler, pas d’autorisation car risque d’accident,
La seule chose dont ils nous ont aidés c’est d’avoir détourné notre attention qui était orientée sur les informations de l’armement/formation des Imbonerakure.
Je remercie d’ailleurs notre journal d’avoir classé cette infos dans la rubrique insolote.
Totalement ridicule connaissent t ils au moins les rudiments de l’aérodynamique,de l’avionique?
Encourager plutôt des innovations qui aident dans la vie courante. Les universités devraient en être le fer de lance.
Ariko abanya Kirimiro murazi guteka imitwe basi. Teka umutwe sha uce ugenda kwa Petero Nkurunziza aguye inoti wirire muri ca kigega yise ngo nic’imigambi myiza; nayo iyo kajugujugu uzoyigenderemwo wewe nyene canke uyitize umukuru w’igihugu areke kuza arasaba ama rifty. Wewe niwe uri uwa mbere mu gutanguza révolution aéronautique mu gihugu no gufungura bisigaye ari umugani? Gerageza, mugabo bizokugora.
Abo Bagabo Zakoranyeko.Ahubwo Nihagera ko bayipima bonyene Bazoyinjiremwo izohitane bo nyene.
Iyo kajugujugu muze muyijane muri désert abe ariho essaie izobera ahubwo mwarihenze iyomuhera gukora imodoka indege isaba lechnologie à la fine pointe ntayomuzoshobora !!!! Wewe wovuga yuko wokora indege ata salle de simulation mufise canke ordinateur mufise. Murafise ishaka ariko murabuze ibintu vyishi
Sinzi ko wari uzi ko les premiers avions ont commence a voler longtemps avant les ordinateurs mon ami
Agashimwe k’Umukuru w’Igihugu le 1er Juillet 2015!!
Tu as parfaitement raison. Agashimwe kavuye hejuru niyo objectif yabo « bahinga », hama tuzoca tubona ko indege naho yogurishwa ejo tuzikorera iyindi. Ariko ga Barundi muraryoshe itwara, na cane cane uwubashakako utujwi twinsi. Juste un petit Rappel: Gitega est pour la deuxieme fois l’endroit de la creativite technologique la plus mediatise du Burundi. Il y eut la Radio Gasape qui a fait couler encre et salive, jusqu’a ce que le createur Gasape soit recompense par l’actuel President. Le jeu est le meme dans cette province la plus peuplee du Burundi ou faut pas perdre une seule voix.
Sera-t-il un avion ou une automobile volant? Franchement parlant les burundais ont en tout cas évolué en matière de la mécanique. Mais j’ai peur de ces gens en face de la technologie moderne car les étrangers seront jaloux d’eux et peuvent les tuer s’ils ne seront pas bien protégés. Même les producteurs de benzène risqueront de les convoquer car leur business international sera rompu. Il faut alors demander un droit de vol international.
@Justine, il parait que je ne te comprends pas comme @Mtukhuzi; blamer ce que ces braves gens sont en train de faire n’est pas une bonne idée! Dans un pays pauvre comme le #Burundi, avoir des gens comme les « Gitegaens » qui ont un tel esprit est une richesse sauf qu’il manque la politique d’exploiter les talents.
Je l’ai deja dit dans la reponse en bas; Que l’Heloco vole ou non ces techniciens auront vu ce qui les aura manqué et comme ça s’ils ont encore de moyens ou s’ils trouvent un soutien dans leurs bonnnes initiatives, ils vont pouvoir se corriger et porter à bout leur projet!
A ce que vous dites concernant ce que ça va générer dans le transport; je peut dire que ce qui nous manque, pas seulement les Burundais mais les Sub-sahariens et une partie des Mid-West, on veut que si on commence notre activité ou notre projet aujourd’hui que l’on voit sa rentabilité dans une semaine ou dans un moi alors que les grands investissements générateurs ne donnent pas immédiatement de bénéfices, Imagine si leur reve de faire voler cet engin devient réalité, ça sera une ouverture, il ne restera qu’à developper ce qu’ils auront commencé.
Encore une fois « Qui ne risque rien n’a rien! »
Il faut toujours penser grand si on veut arriver quelque part. La folie de débarquer sur la lune a rendu grand le peuple américain, et l’humanité entière. Si cet hélicoprère décolle (j’en doute), c’est tout le peuple burundais qui en sortira grandi. Le Burundi pourrait fabriquer ses avions pour surveiller les frontières, pour le tourisme, et pourquoi pas les exporter. Nous devons annuler l’afropessimisme que les blancs ont savament entretenu et qui nous paralyse, parce que nous ne réssissons plus à avoir confiance en nous, comme c’était avant la colonisation. Alors à nos inventeurs, allez de l’avant: qu’il vole ou qu’il ne vole pas, une nouvelle ère commence.
félicitation les gars! ariko mugabo ko ntarumva umurundi arashobora gukora na moto yonyene muzoshobora mwebw gukora indege iguruka kweli.
Iyo yoyo ntizombona ariko courage
@nzokira Alice@ uko indege ikora nuko imoto ikora biratandukanye pour dire que uwukora indege adategerezwa guca akora imoto(imodoka,ikinga si tu veux).
donc bobo idee yabo yabaye iyo kugerageza indege.!
Monsieur Mtukuzi, je crois que tu m’as mal comprise. Est il aussi vrai que tu n’es pas oblige de me comprendre. Moi j’ai pose le probleme de securite et non des finances quand je parle de l’assurance. Sinon tout le monde soutient des initiatives pareilles. Mais aller jusqu’a dire que c’est du jamais vu est tres discutable. D’abord on imite et on ne cree pas. Deuxiemement je ne vois pas l’interet scientifique et economique dans l’affaire qui preoccupe plus de 12 techniciens depuis des mois.Et pour cause: meme si l’avion volait je ne vois pas ce a quoi il va nous aider dans le transport en commun ou meme touristique. Peut etre les touristes qui viendraient voir mais la aussi je crois que beaucoup de mecaniciens avises pourraient le faire.
Franchement je serais plutot curiseuse si les jeunes s’attelaient a fabriquer une petite machine mecanique qui aiderait les paysans a cultiver ou labourer sans trop d’energie. Ou alors igikutso avec un certain ressort pour alleger le poids y’amase ku mutwe etc.
Voila>
« D’abord on imite et on ne cree pas »!!!! Tu crois vraiment que les burundais ont besoin de creer pour se developper???? Je soutiens ton idee de securite, mais dire que « c’est pas du jamais vu! », biensur que ce serait du jamais vu au burundi, meme si l’avion s’acheverait avec 50% de potentialite de voler!!! Toute chose a un debut! Kuko izo zibika z’aramagi. N’abazungu ntibayikoze ngo uwomunsi irare igurutse, ca a leur pris du temps, de l’argent et des vies. Sinifuza ko yodutwara abantu, mais l’idee en soit n’est pas du tout « fou ». Mais je trouve que tu as bcp d’idees, peut etre que tu nous invente un Gikutso.
Bravo cher frères. Il ne faut pas par ailleurs importuner leurs consciences en nous posant nous-mêmes des questions qui ne leur parviennent pas. Ils avancent déjà car ils ont un chantier qui les occupe. Le reste, qu’il vole ou qu’il ne vole pas dans les airs, l’essentiel est qu’il vole déjà dans leurs consciences.
ABABUZE IVYO BAKORA ICO BAZI ARUKWICA ABO BADASANGIYE IVYIYUMVIRO,NIBO BAVUGAYAMUHE.IDUGA,ITADUGA,ARIKO ICIYUMVIRO CONYENE KIRAKWIYE GUSHIMIRWA.KOMERA MUNYAGITEGA WACU WE.
Courage.
Aux ames bien ne la valeur n’ attend point le nombre des annees(disait corneille) Meme si ces gens sont novices en technologie aviatique, ne les jugez avant qu’ ils presentent leur travail. Ils ont eu le culot d’oser, encourageons les et attendons les resultats. Je souhaite profondement que le projet aboutisse. Quant a la regulation, elle sera discute et sollicite au moment opportun. Allez etape par etape. Avons nous besoin d’ une regulation nationale ou internationale? Quelle sont les avantages et desavantages de solliciter une regulation intrnationale? Il y a beaucoup de question a se poser. Mais l’essentiel et de faire aboutir le projet et eliminer les obstacles a chaque etape.
Courage cher compatriotes.
« Qu’ils réussissent ou pas, c’est du jamais vu au Burundi. Ils ont déjà montré qu’ils ont des idées pour développer le pays. Je leur souhaite bonne chance. »
Je suis très d’accord avec Benjamin et d’ajouter qu’il faut que nous fassions de même dans d’autres domaines.Un jour,le soleil se lèvera sur Burundi.Le seul problème:c’est la mauvaise gestion du pays,pas de politique claire!!!
Courage mes amis. Même les autres en Europe ont commencé ainsi.
@Harahagazwe
Oui, mais, faut-il ré-inventer la roue alors que les autres l’ont déjà fait? Je ne crois pas!
Pourquoi pas? s’ils réussissent à faire décoller cet engins meme à 6m de hauteur, ça sera un pas franchi et il ne restera qu’à developper ce qu’ils auront faits!
A ceux qui parlent des risques, il faut que vous reteniez ça: « QUI NE RISQUE RIEN N’A RIEN »
Bravo!!! Les frères Wright n’ont-ils pas commencé comme cela?
Seulement dans la conception/fabrication d’un aéronef, il y a plusieurs défis purement techniques à relever :
– Décoller, mouvement vertical, autrement dit vaincre la pesanteur, n’est possible que si on peut générer une « portance » (fonction de la puissance du moteur qu’il faut transferer aux pales des hélices par le rotor, fonction aussi du poids, …).
– Le mouvement horizontal, n’est possible que si la géométrie de l’aile est modifiable, pas vraiment une sinécure si on sait que l’aile pour l’helico c’est la pale.
– Eviter la contre-rotation (la 2eme helice), moins difficile à mettre en oeuvre.
– … Les commandes
Mais le plus difficile reste la conception du rotor.
Gitega, 1ere radio made in Burundi, pourquoi 1er aeronef made in Burundi, comme cela on pourra vendre nos propres avions!
Courage!
Mr Courage,pourquoi ne t’es-tu pas encore joint à eux?Paraît-il que tu es physicien.Ta contribution pourrait dénouer les choses.J’interpelle aussi d’autres physiciens et scientifiques à leur prêter main forte afin que ce travail délicat aboutisse,et à l’équipe d’ouvrir les portes à ces contribuables.
Mais qui les primera! Qui leur a donne l’autorisation!Et la licence?
Quelle assurance!Si l’avion s’ecrase sur une maison ou sur une tete de quelqu’un(e) qui va payer?
Mon pays va mal!
Et en plus ils veulent sérieusement la voir voler .Même leurs voisins qui les félicitent pour cette œuvre souhaiteraient par contre que cet essai se fasse au dessus de la Tanganyika mais pas au dessus de leurs maisons.
Si vous trouvez que le pays va mal parce que des gens osent creer, je suis desole de vous dire que c’est plutôt dans votre caboche que ca va mal chère dame. De toute evidence, la creation scientifique a toujours precede les primes et les assurances, pas l’inverse.
Sachez aussi que les meilleures creations/innovations de l’histoire n’ont pas toujours resulte des seules preoccupations financières.
Monsieur Justine Mutetsi, naïf que vous êtes, plutôt c’est toi qui va mal.
Laisse-les d’abord terminer la fabrication de leur avion.
Quand la fabrication de l’avion sera achevé, l’autorisation, licence et tout ce que vous voulez seront disponibilisés.
Mais il faut renoncer avec ta mentalité te prédire le mal avant de travailler.
Au Burundi il y a suffisament des places vides pour faire des éssaies.
J’aimerais que les financiers soient les premiers a inaugurer cette prouesse a cote du pilote.
Personnellement je les encourage mais je me demande ou ils vont trouver les pales et les rotors, le pilote d’essais, le ou les passagers d’essais, la compagnie d’assurance qui va couvrir les risques, les authorisations de vol ou de survol, les pistes d’attterissage…et un tas de question….
Il y a des pealables pour meme reparer un helico. Sans dire pour le fabriquer. Qu’ils continuent a rever ces braves compatriotes. Finalement Gitega est devenue le « cerveau » au coeur du pays! Souvenez-vous de la Radio Gasape? Au moins le jeune a realise des succes indiscutables. Peut etre nos ingenieurs amateurs cherchent « financement » et quelqu’un a Buja ne va pas tarder a chanter sur le toit que son pays regorge de…..genis! Rever est tres important mais Keep dreaming, for now!
Le problème de certains burundais est de penser qu’un burundais ne peut rien, que tout doit venir de l’homme blanc. Mais il faut OSER! Tout le monde est passé par là. Même les fabricants de ces gros porteurs volant au dessus de nous.
Personnellement j’encourage cette équipe qui a osé! Le premier peut ne pas marcher, c’est comme ça mais faudra les encourager à continuer le projet quelques soient les résultats du premier test. Les autorités compétentes devraient les appuyer.
L’Etat devrait assister de tels gens. Qui est ce militaire qui a peur de risque de mourir pour une bonne cause?! Demandez aux américains comment ils ont pu parvenir à la lune. Il y a eu des morts au premier essai de monter à la lune. Mais finalement ils ont réussi. Demandez aux européens qui ont découvert d’autres terres du monde, ils ont risqué leurs vies et nombreux sont morts mais aujourd’hui, l’Europe dispose la carte du monde de toutes les ressources naturelles, ils connaissent là ou se trouve l’or, le diamant, le pétrole et j’en passe. C’est un secret à eux que même les autres peuples ne connaissent. L’Europe ou l’Amérique sont ce qu’ils sont puisqu’ils ont sacrifié leurs vies. Ils combattaient pour la vie, la legitimité de les generations futures. Le Burundi a des pilotes des hélicos, n’est ce pas? On pourra faire recours à nos pilotes spécialiste pour l’essai.
Qui ne risque rien n’ai rien.
attention chers amis ntakwigira kubumba ku mpange .c’est a dire qu’il ne faut pas commencer a inventer des choses grandioses pluton qu’il faut commencer par de pettites choses apprendre de . avoir des ecoles qui forment de grands interectuels capables d’inventer et reconnu internationalement.
et si sa decollage emporte des vies humaines qui repondra ? le reglement de l aviation s’attaque au burundi.
viva gitega!!!
Wait and see
L’avion peut decoler de lui-meme. C’est genial
Mbe basha, mutangura kubumba mugatangurira kuntango? Courage quand même!
Ndabakeje basha.
Bravo les gards! il ne faut pas surout freiner de tels esprits créateurs. Cependant,s’il faut l’essayer,le garant de la sécurité devra s’assurer qu’aucune vie n’est en danger. sinon ce sont les 1ers essais qui feront les perfections.
courage!
Emwe abarya nibagure amabondo numva hagire haboneke iyindi falcon 500 kweri.