Depuis son accession à la présidence, le numéro Un burundais a déjà reçu plusieurs prix. Beaucoup trop pour certains. A la veille des élections, par ces trophées, Pierre Nkurunziza ferait une communication politique électorale.
Le 5 juin dernier, Pierre Nkurunziza a reçu, à Paris, la médaille de « Commandant du soldat de la paix », octroyée par l’Association des Combattants de l’Union Française (ACUF). Deux semaines après, le numéro un burundais était le weekend passé à Rabat, au Maroc, pour recevoir le Prix Crans Montana 2014.
Au retour de ces expéditions pour recevoir ces prix et ces trophées, le président de la République est accueilli à Bujumbura par une foule mobilisée pour l’occasion. Des jeunes écoliers se retrouvent sous le soleil des heures à attendre l’heureux lauréat.
Certains axes sont bloqués durant plus d’une heure pour attendre le passage du cortège présidentiel. Parfois, les gens sortent de leurs véhicules en se demandant de quel prix il s’agit cette fois-ci. Et ils se posent des questions : « Avec tout ce qui se dit sur notre pays et sa gouvernance, Pierre Nkurunziza est-il le meilleur exemple pour décrocher de tels prix », se demande-t-on ici.
Corruption, violation des droits, malversations économiques, verrouillage de l’espace politique, lois liberticides…énumère-t-on là-bas. « Qui sont ces jury qui ne sont pas suffisamment informés sur notre pays pour octroyer de tels prix ? N’est-ce pas légitime de s‘interroger et de critiquer sans qu’on nous prête d’autres raisons » s’interroge-ton à côté.
Dans le cortège présidentiel, des dizaines de véhicules, des taxis motos, et parfois même des taxis vélos. A son retour de Rabat, le week-end passé, un groupe d’enfants nés après la mesure de gratuité de soins pour les moins de cinq ans est venu l’accueil à l’aéroport. Sur son trajet, devant l’hôpital militaire, une camionnette avec des hauts parleurs diffusent à tue-tête des chansons à la gloire du président.
« Il apparaît donc que ces prix sont liés à une communication politique électorale » indique le Pr Gertrude Kazoviyo. Comme si le président cherchait à mobiliser le public et l’électorat par ces prix, pour chercher l’adhésion ou la conviction de ceux qui doutent encore. Certains médias, comme la RTNB dans son émission Kukivi de chaque vendredi, relaient cette communication, notamment quand ils annoncent le prix suivant. Une communication électorale qui s’apparente de plus en plus à un culte de la personnalité, vu la mobilisation de la population urbaine lorsque le président de la République rentre avec un prix. Cette communication électorale n’aurait qu’un seul but : présenter le Président de la République comme le seul homme à pouvoir diriger le Burundi. Un président proche du peuple et aimé par la communauté internationale. Mais l’expérience nous a montré que tous ceux qui se mobilisent derrière et autour d’une personnalité ne sont pas nécessairement pour lui.
Beaucoup de prix à l’approche des élections
Agathon Rwasa, président du FNL non reconnu par le ministère de l’Intérieur, craint une manipulation, parce que les associations qui lui donnent ces prix ne sont pas mondialement connues : « Ce sont de petites associations, et je pense que la carrure d’un président est liée à des organisations solides. »
Pour M. Rwasa, ce qui est dommage, c’est que ces trophées sont utilisés à des fins électoralistes, en disant que Pierre Nkurunziza est primé par la communauté internationale. « Mais celle-ci se reconnaît à travers des institutions internationales connues par tous. Il n’y en a pas une seule qui ait déjà octroyé ce genre de prix ou de trophée à son excellence monsieur le président. »
Le leader historique du FNL pense que la façon dont ces prix sont fêtés est contre nature. Car, explique-t-il, on ne peut pas prétendre être engagé dans la lutte contre la pauvreté et paralyser l’activité économique, uniquement pour brandir un trophée.
Gertrude Kazoviyo est aussi d’avis que ces prix ont une visée électoraliste. Cette analyste du discours politique rappelle que, depuis 2006, le président Pierre Nkurunziza a reçu environ un prix par an. Mais, en 2009, souligne-t-elle, l’année qui a précédé les élections de 2010, il lui a été décerné quatre prix durant les six derniers mois. Aujourd’hui, constate-t-elle, il y a une même tendance durant le second semestre de cette année précédant les élections. Elle conclut qu’il y a donc plus de prix concentrés dans l’année qui précède les élections, ce qui pousse certains à se demander s’ils ne sont pas commandés. « Et ce ne serait pas exagéré de dire que d’autres prix sont en vue, c’est même prévisible au vu des deux derniers prix que le président de la République vient de recevoir en un mois » indique le professeur Kazoviyo.
Ces prix sont negociés à des organisations inconnues, parfois de renomée douteuse. Je vous donne un seul example aux USA, le Latin University of Theology, en Californie, a offert au couple presidentiel des Doctorats Honoris Causa. Mais ce qui n’est pas connu par le public Burundais est que cette université n’est pas officiellement accreditée par les instances habilitées. Toute université accreditée aux USA, aura au moins un site sur le domaine. EDU et non .COM. (voici http://www.lutusa.com/)
En plus, seuls des leaders Africains y recoivent ces honneurs: (Laurent Gbagbo, Olusegun Obasanjo, Pierre Nkurunziza, et d’autres)….sont-ils les meilleurs que l’Afrique peut offrir?
Sinon, si le President ne savait pas que ces organisations ne sont pas credibles, la honte à ses acolytes!
Laissez-lui la paix! Bagaza et Buyoya faisaient planter des bananiers et des « ibitongati » le long des routes sur des kilomètres dans chaque commune (si ce n’est la province entière) qu’ils visitaient. Toutes activités économiques, publiques et privées (adminitration, agriculture, éducation) cessaient non seulement pendant la journée de la visite, mais parfois sur des journées d’avant et d’après.
Quand Nkurunziza bloque une seule route seulement pendant quelques heures, tout le monde monte sur le toit pour crier au scandale. Si ces organisations acceptent quand même de lui descerner ces prix malgré ce qui se raconte dans les médias, c’est qu’elles n’en tiennent pas compte ou que ces récompenses n’ont rien à voir avec les domaines d’application de ce que vous dénoncez… Mais surtout que ces actions ont su les convaincre!… Ces gens-là ne fonctionnent pas sur des dénociations, mais sur des critères précis qui les concernent. Si vous voulez les convaincre du contraire, écrivez-leur, demandez leur les critères qui les ont guidées dans leur procédure ce nomination et démontrez leur qu’ils n’auraient pas du lui descerner ce prix… Autrement, avalez-là en silence!… Je ne parle pas de votre langue voyons!… de la pilule!.. Quoique!….
Le culte de la personnalité, n’est-ce pas ce que font les Rwasa, les Sinduhije, les Nyangoma, les Uprona, le Frodebu, les FNL, les dirigeants des ONG de notre société civile, les Mbonimpa, les je-ne-sais-qui?… Vous êtes-vous vous-mêmes regardés dans un miroir? Que faites-vous, vous journalistes en essayant de convaincre le plus de leucteurs possible? N’est-ce pas du culte de la personnalité?
Le culte de la personnalité paie en popularité, en argent et en toute autres sortes de « cultes » et s’il ne l’utilisait pas, il serait en train de s’auto-saboter lui-même. Regardez ce que font les musiciens, les sportifs, les entrepreneurs, les grosses compagnies… Vous croyez qu’un logo, une publicité ou une commandite d’un événement par des compagnies comme Coca-Cola (Coupe du Monde!), Visa, MasterCard, servent à quoi?… Tout cela c’est du Culte de la personnalité… Même quand cette personnalité est (im)morale!…
Regardez les propagandes de guerre et vous comprandre… Pourquoi le rappeur américain Lil’Wayne préfère-t-il aller en prison, couvrir son corps de tatouages aussi bizarres qu’incompréhensibles? Parce qu’il s’est bâti une personnalité de « bad boy » qui lui permet de vendre le plus d’albums possible même en étant en prison, mais surtout en y entrant! Le culte de la personnalité, ça paie!
Dois-je encore en rajouter!
Faites-le et reconnaissez-le… Ou faites-le et ne le reconnaissez-pas… ou Faites-le et faites en même temps semblant de ne pas le faire tout en accusant les autres de le faire au lieu de ne pas le faire pendant que vous le faites!… La vanité…
http://www.acuf.fr/les_decorations.html Lisez pas cette décoration dans leur liste de décorations
commandant wimbonerakure pasitori wimumyi
» On n’demande qu’à en rire » ! Un véritable cirque !
Les stratèges de notre Président sont tout simplement minables, kuko harya Abarundi ntibabeshe : » Umwami ni Abagabo » .
Birababaje vrema ariko nkuko abandi babivuze il faut ko badutohoreza tumenye igituma ayo ma association aha ubushimwe nkurunziza, ndetse ama ass. Atazwi mondialement, uwo mukuru wigihugu aratumaramaza vrema, nakajoreza, mbe hoho kuberiki ubwo bushimwe ataco bumaz yama aburonka hegereje amatora?
la question du burundi revient au barundais on vote mal et on ………,une faute faite qui ne se verra plus
Ntaco tutazobona ku ntwaro yaba DD iyi nkinamico barimwo yama prix ubu ntibabona ko igihugu kigowe,aho igiturire cabaye ishingiro ry’ubuzima bwa minsi yose,amarushwa y’inzara kubera ubukene buri mugihugu,…….
Ayo mafaranga y’igihugu mwirigwa murasesagura muja kwiha amashimwe yuburofa mwiha mwebwe nyene.
Pita et ses acolytes bakwiye kumenya ko ubutegetsi atari ukuyuba.Nimwicare mukosore amabwa yose mwagirizwa.
Ciao
Les burundais ont deja perdu la tete.
Maintenant, ils commencent a
accuser meme les etrangers de corruption sans preuves tangibles.
Dans n’accuse plus le Burundi comme le pays le plus corrompu puisque c’est tout le monde qui est corruptible.
Les opposants politiques burundais nous font rire.
Et le journaliste de reproduire les propos de Pacifique pour les faire les propos des cotoyens.
Il nous faut etre objectif.
Les trophées et autres prix qui n’ont par ailleurs aune valuer en soi d’accord, il peut les accumuler et s’en réjouir mais j’espère surtout qu’il va tenir compte du vote du Parlement de Mars dernier qui a rejeté la modification de la Consititution ppur que S.E. NKURUNZIZA brigue un 3ème mandat. Nous attendons donc patiemment qu’il s’en aille et laisse la place à un learship nouveau qui, on l’espère, fera mieux que lui car franchement en termes de bilan, je ne pense pas qu’on puisse faire mieux que NKURNZIZA et son Gouvernement. .! Néanmoins, si S.E. NKURUNZIZA décide de se présenter en 2015, il aura violé la consitution burundaise et passible de haute trahison…..! Let us wait and see…..
UWURAMVYE ARABONA. NTA SONI ABO BAGABO BAGIRA. BAHEBE BAGARUKANE LE CULTE DE LA PERSONNALITE? BARIRIMBA IZINA RYA PREZIDA? HAHAHAHHAHHHA ABARUNDI SINZI ICO TWABAYE? ABO BAGABO NTA KINDI BAKORA ATARI KWIGANA INTWARO MBI TWAHITIYEMWO TWARI TWITEZE KO TUGIYE KOGORORA. KUBUZA ABANYAGIHUGU KUDUZA IKIVI NGO BAGIYE GUKOMERA AMASHI PREZIDA!!! BAMENYE KO UBURUNDI BUGONA BURI MASO.
Vous pouvez tout dire de Nkurunziza, sauf qu’il agit contre la volonté populaire. La démocratie, mes amis, aller dans le sens souhaté par les électeurs. A aucun moment pendant ses 50 ans de souveraineté le pays les dirigeants n’ont privilegié la volonté populaire autant que maintenant. Certes, il y a encore beaucoup a améliorer, mais un parcours a été fait. Ne polarisons pas les esprits autour des défaillances et des manquements. Pita c’est l’homme du moment. Imana yamuhaye irazi igituma. Nimureke abanyagihugu bamwongere iyindi myaka. Cessez d’évoquer les difficultés économiques. Il y en a eu avant et il y en aura après. Quand le Burundi connaissait une croissance à deux chiffres, les fruits du progrès allaient dans la poche d’une petite minorité. Pita, voit le peuple; le peuple veut Pita.
@Claver, je lis dans ton commentaire le manque d’une vision lointaine; pour toi, vivre dans l’hypocrisie, mentir le peuple sans aucun plan de developpement et même s’il y en a restant dans les feuilles pour tromper la communauté internationale afin de pouvoir amasser l’argent pour acheter ces prix et/ou elever des maisons high standings est préférable au developpement? Va i buzimu uje i buntu. ni ivy’ukuri umuntu aravye abanye politique b’i Burundi nta ciza tubatze mwo mais turiko dusubira inyuma cane. Nca nibuka niga muri primaire hakiba Fête scolaire à l’occasion de la fin d’année niho imvyino zaba izihayagiza Pierre BUYOYA. Ha gutera imbere turiko dusubira inyuma. Ntaho bikiba aho baririmba Perezida!!
Soyons justes. Nkurunziza ne pouvait réaliser en 10 ans ce que les autres n’ont pas fait en 40 ans, alors qu’ils avaient les mains beaucoup plus libres. Les prédécesseurs de Pita ne faisaient face à aucune contestation et n’avaient rien à craindre de l’opinion publique qui recevait le message politique sans voix discordante, parti unique oblige. Ils ne devaient pas se soucier d’Iwacu et ses semblables servant de tribunes aux détracteurs de tous genres. Pendant leurs années au sommet de l’état ils n’écoutaient pas l’homme de la rue comme vous et moi, à part quelques flatteurs à qui la RTNB tendait le micro pour des interviews de complaisance. Aujourd’hui c’est différent. Pita et ses amis nous écoutent, nous lisent. Nous avons la possibilité d’influencer leurs vues. Mais bon nombre d’entre nous choisissent de décrier et dénoncer constamment le régime pour un oui, pour un non.
Le problème du 3e mandat est un souci réel pour de nombreux citoyens, mais reconnaissez qu’on peut avoir différentes interprétations des textes régissant la nation. Les DD font valoir qu’ils s’en tiennent à la Constitution qui stipule que «le président est élu au suffrage universel pour un mandat de 5 ans renouvelable une fois», et que leur champion n’ayant été élu qu’une seule fois au suffrage universel, il a le droit de se présenter de nouveau. Ce genre de discorde est ultimement et irrévocablement tranché par les électeurs. Vous ne semblez pas avoir confiance aux électeurs. Quelle serait votre réaction si en 2015 les «sans voix» que vous croyez sans opinion sanctionnent Pita en le rejetant? Vous pensez qu’ils ne le peuvent pas? L’exemple du Sénégal devrait vous instruire.
Quant au culte de la personnalité et le refus de mentionner le Prince Louis, ça ne date pas d’aujourd’hui. Quand Buyoya a renversé Bagaza en 87 c’était parmi les griefs: «Muganwa Ludovic Rwagasore ntibari bakimuvuga; uwamuvuze yaca apfungwa». C’est une réalité de toujours: le pouvoir enivre ses détenteurs, mais le peuple n’est pas dupe.
Je réitère ma question de la semaine dernière. Quelle est cette main invisible qui prime un président dont le bilan est largement négatif et à quelques mois des rdv électoraux? A Rwasa, à Nyangoma, à Ngendakumana et à tous les patriotes de decouvrir sans tarder les fananceurs de ces faux prix qui ne visent que d’usurper, d’éscroquer un mandat de trop pour Nkurunziza. C’est qui?? Et elle a quelle intérêt?. Cherchons de côté nichel, du côté or de Butihinda,ect….Je vous jure au nom de ma femme que ça sera un bon thème de campagne.
Kibwa
Kibwa,
L’argent venant de la corruption est capable de tout! Connais-tu l’histoire des 8 millions de dollars veus de l’angola par exemple en 2010? Le reste est contact….
Trois questions:
1. pourquoi les organisations nationales et internationales œuvrant au Burundi ne lui en décernent aucun? ne sont-elles pas au courant de ces réalisations?
2. Pourquoi des chansons sont composés bien avant, le dernier tube sorti » Commandant w’aba commandant », n’est un effet d’ariste-génie, il faut écouter les mots c’est que le président a déclaré à l’aéroport ( commandant puant/ puant commandant?) ce qui confirme l’hypothèse des prix achétés avec l’argent du contribuable. Je pense qu’on devra y revenir à la fin de son mandat maintenant il est couvert d’immunité ( même de la critique, puis que ce serait une mauvaise langue comme le dit Nyamitwe »
3. Pourquoi une recherche n’est pas entreprise ( il y a plein de chercheurs qui peuvent nous éclairer) sur ces réalisations: Malaria, combien de burundais meurent de malaria depuis qu’il est au pouvoir, ce n’est pas magique? combien de plants d’arbre plantés pour mériter un prix ( pourtant ce qui se dit c’est la destruction même du peu par son administration), quand on parle de la paix, de quelle paix s’agit-elle? il y a pleins de questions sur lesquelles des recherches devraient être entreprises.
Bien à vous
Nous avons un malheureux président qui achète des prix avec l’argent du contribuable.
Ce qui m’étonne est que lors de la réception de ces trophées, je ne vois jamais d’autres présidents (collègues) pour le soutenir comme cela est de coutume au Burundi; ils sont jaloux, diraient ses griots qui ne manquent jamais de justifications pour l’honneur du chef. Les Bashingantahe invitent leurs collègues lors de leur investiture, notre cher président ou les les organisations qui donnent les prix (d’elles sont autorisées) devaient songer à inviter des personnalités d’un rang présidentiel pour rehausser de leur présence les cérémonies d’octroi de ces prix. Cela contribuerait à rehausser le niveau d’aide au Burundi qui est actuellement lamentables. C’est cela que nous avons besoin et non ces symboles sans grande valeur pour le peuple misérable. Dans le cas contraire, on risque de penser comme les politiciens de l’opposition qui affirment que ces prix coutent au pays plus qu’ils ne rapportent pour le peuple Burundais.
Je demande à Iwacu de continuer la recherche et la vérité sur ces prix, surtout ce qui est derrière, la valeur monétaire des prix, etc.! Car si ces petites organisations ne priment que le président Burundais au moment où il y a nombreux chef d’États plus démocrates, plus clairvoyants que le nôtre qui ne sont pas primés, ces organisations se moquent du peuple Burundais, ces prix ne seraient pas dignes d’un président. Dans ce cas, le Burundi gagnerait à ce que le président délègue ses conseillers pour les recevoir et cela pour l’honneur de l’institution présidentielle et le refus de ruiner les caisses de l’Etat!
Jalousie, jalousie et Jalousie,…!
J’ignore les péchés cachés du président Nkurunziza (affaire entre lui et Dieu), mais je l’encourage d’aller en avant et se souvenir de Néhémie qui avait des ennemis du progrès nommés Sanballat, Tobija et Guéschem essayerent de decourager Néhémie lorsqu’il essayait de reconstruire le mur jadis détruit par la guerre.
Monsieur le Président Nkurunziza et autres Burundais dotés d’un esprit de bâtir le pays, veuillez lire ce qui suit, ça va vous encourager:
Néhémie 2
…19Sanballat, le Horonite, Tobija, le serviteur ammonite, et Guéschem, l’Arabe, en ayant été informés, se moquèrent de nous et nous méprisèrent. Ils dirent: Que faites-vous là? Vous révoltez-vous contre le roi? 20Et je leur fis cette réponse: Le Dieu des cieux nous donnera le succès. Nous, ses serviteurs, nous nous lèverons et nous bâtirons; mais vous, vous n’avez ni part, ni droit, ni souvenir dans Jérusalem.
Gusa abarongozi b’Uburundi barabe neza ko igiturire kitazohava kidusubiza inyuma nitwakingira ikibaba abashaka gupfukama mu nda igihugu mu kugisahura. Imana izobavuma.
Ba Sanibalati na ba Tobiya bazokwamaho.
@Gerard….Tu dis que dans Nehemie 2 il es ecrit:…. Nous, ses serviteurs , nous nous leverons et nous batirons…
Est-ce notre president est vraiment un serviteur de Dieu ou un servieteur de son ventre et du CNDD-FDD?
Gerard,
Nta mu nya politique akorera IMANA aha i Burundi (africa yose?) Kurya kwikunda kwabo, kwica, kwiba, kubesha, kurenganya, kwihoza impfuvyi, abashonje. Ntaguca Imanza, twese tuzobazwa ivyo twakoze. Mu vyisi, nivyo Nkuru a libere bcp d’esprits mas il en a en meme temps decu bcp au bdi et ailleurs. La corruption yoshobora kuyirwanya basi?????