Le système de paiement de certains parkings au centre-ville a été suspendu, il y a 4 ans. Le désordre généré par ce système en est la cause. La mairie indique qu’un nouveau plan d’aménagement a été validé.
« Le système de paiement de certains parkings au centre-ville, dont la suspension date de 2009, n’avait aucune base légale », soutient Jean-Claude Ntahimpereye, chef du département Transport urbain. Il y avait du désordre partout, explique-t-il, des particuliers avaient installé des pancartes et commencé à percevoir de l’argent à notre insu. A certains endroits, la mairie faisait payer 300 Fbu et à d’autres 500.
De plus, à cette époque, se souvient-il, il y avait une visite d’une délégation des représentants des pays de l’East African Community à Bujumbura. Pour faciliter la circulation, il a été décidé de suspendre ce système de paiement jusqu’à nouvel ordre.
Selon M. Ntahimpereye, l’objectif de faire payer ces parkings était de récolter de l’argent pour pouvoir entre autres, mieux entretenir les routes, aménager lesdits parkings, installer des pancartes de signalisation… « C’est dans le cadre de mobilisation de fonds qui rentrent à la mairie, comme cela se fait partout ailleurs. » Il signale que la mairie fonctionne par ses propres fonds qui sont d’ailleurs insuffisants.
La mairie a transmis un nouveau plan d’aménagement des parkings au ministère des Transports. Il a déjà été validé par celui de l’Urbanisme et la municipalité n’attend plus que la permission du ministère des Transports. Le chef du département Transport urbain fait savoir qu’ils ont déjà identifié des endroits pour cet aménagement : devant les locaux de l’ancienne Athénée primaire, le long de l’avenue de l’Université en bas du Boulevard de l’Indépendance, le long de la Chaussée Prince Louis Rwagasore devant la clôture du Cercle Hippique, devant les bureaux de l’OBR au quartier asiatique. Et d’ajouter : « Cela nous permettra de sécuriser les voitures et d’assainir la circulation au centre-ville où le désordre persiste. Surtout que toutes les activités majeures y sont concentrées. »
Ce projet nécessite la mobilisation de beaucoup de fonds, précise le directeur général des Transports. Pour lui, tous les acteurs doivent intervenir : le Fonds routier, l’Office des routes… « Nous pensons soumettre le projet à l’entreprise japonaise JICA », signale-t-il.
« Nous pensons soumettre le projet à l’entreprise japonaise JICA », signale-t-il……
Gusega bizotugeza he??? Pourquoi ne pas inviter des investisseurs privés? C’est cette mentalité de penser qu’on ne peut rien faire qu’avec le concours des agence étatiques ou des bienfaiteurs qui fait que le pays stagne. Le partenariat Etat-Entreprises privées est une stratégie qu’il faut exploiter si on veut avancer
Je compte amenager un parking et une entree payants a Kumugumya. Agaciro keza karategekanijwe. Murinsanze rero.