«La signature des cahiers de charges est un préalable pour tous les organes de presse opérant au Burundi», a déclaré Karenga Ramadhan, président du Conseil national de communication (CNC). C’était ce jeudi 16 novembre 2017 lors d’une conférence de presse.
Le cahier de charge d’un média contient une description détaillée de toutes ses activités. «Elle est spécifique à chaque organe. C’est une convention entre le CNC et l’opérateur.» Selon Ramadhan Karenga, ce document reflète l’engagement du media et ses devoirs envers le CNC, le régulateur des médias.
Il souligne que tout organe de presse, public ou privé, sans convention actualisée et signée sera considéré comme irrégulier : «Pour le bon fonctionnement, chaque media exerçant sur le sol burundais doit respecter les engagements contenus dans son cahier de charges».
Le président du CNC rappelle que son organe est responsable de toutes les contenues médiatiques devant l’administration. Pour ce, il doit s’acquitter de son devoir de contrôle du fonctionnement des médias.
Il a même annoncé une date butoir : «Les médias dont les cahiers de charges ne sont pas mis à jour ont jusqu’à la fin de cette année pour le faire», a-t-il averti.
Cet ancien journaliste appelle à la sagesse et à la responsabilité dans l’exercice du métier de journalisme.
Je comprends pourquoi mes commentaires sont censures par Iwacu. Courage mes amis car vous travaillez dans un context dur; surveilles par un systeme semblable a celui de Bob MUTAMA du sud. Que celui-ci se repose en paix.
Le Cnc Est un parti politique de la mouvance présidentielle ce n’est plus une instance d’un Etat . De toutes facons les médias n’existent plus au Burundi