Mardi 24 décembre 2024

Culture

Les médias du Burundi perdent un grand professionnel

14/10/2016 3

image-jpeg-240-x-204-pixelsNotre collègue Vincent Nkeshimana vient de nous quitter ce matin dans un hôpital de Bruxelles. Nos pensées vont d’abord  vers sa famille et ses proches. Vincent était un journaliste intègre et rigoureux, il a marqué  tous  les médias burundais :  journaliste à la RTNB, directeur d’Isanganiro,  il est passé par la Maison de la Presse,  institut PANOS, etc. Agréable, réservé,  il a laissé un excellent souvenir. Repose en paix ami.

Forum des lecteurs d'Iwacu

3 réactions
  1. Jean Bigirimana.

    Repose en Paix Vincent. Tu fus un grand homme et le peu de fois que j’ai eu a te cotoyer, je suis parti aggrandi par une presence superieure. Rejoins notre frere Sixte, et dis lui ce que tu laisses derriere

  2. Dr Colin Nicholls, Ancien Représentant de l'UNESCO au Burundi

    Je tiens à saluer la mémoire d’un grand professionnel avec lequel j’ai eu l’honneur et le plaisir de travailler à maintes reprises lorsque j’exerçais mes fonctions au Burundi. Calme, discret et réfléchi, Vincent était une référence pour sa profession.
    Je me dois d’adresser mes condoléances, sincères et profondes, à sa famille éplorée à qui je ne puis offrir que ces mots de consolation tirés de la célèbre Oraison Funèbre de Périclès aux Athéniens « Nous savons concilier le goût du beau avec la simplicité et le goût des études avec l’énergie. Nous usons de la richesse pour l’action et non pour une vaine parade de paroles ».
    Adieu, cher Vincent. Que le Tout-Puissant t’accueille dans sa demeure.

  3. Philibert

    Ca fait mal d’entendre le décès de Mr Vincent Nkeshimana ,un homme extrêmement intelligent et entreprenant depuis qu’il était mon collègue au ministère de la jeunesse et des sports au Burundi vers les années 90. C’est vraiment un gros gachis de perdre un si jeune homme – j’ai 54 ans, vincent était plus jeune que moi je présume- et comme le disait un grand auteur francais d’oraisons funèbres  » Il y a ceux qui cessent de vivre lorsqu’il faut commencer à vivre » . Vincent est parmi eux.
    Plus tard lorsqu’il fut journaliste à la RTNB et un peu plus tard chez Isanganiro , il a littéralement fait briller de milles étoiles sa perspicacité et son intelligence. Il me laisse personnellement un souvenir d’un homme brillant et foncièrement honnête.

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