Le rendez-vous du 21 mai à Arusha commencerait par la consultation, séparément, des parties en conflit au Burundi par le médiateur. Un signe que la route est encore longue pour réussir le dialogue entre elles.
« Le bureau de la médiation nous a écrit pour nous répondre qu’il accueillerait peut-être le président Pierre Nkurunziza et ses alliés en premier lieu le 21 mai. Puis, il compte organiser une autre rencontre avec le Cnared, et une troisième qui regroupera toutes les parties », a déclaré le porte-parole du Cnared, Pancrace Cimpaye. Il rappelle que la plateforme avait dit au médiateur qu’aucun parti du Cnared ne répondra à son invitation si ce n’est pas toute la plateforme qui est invitée.
Pour Bujumbura, ce dialogue entre dans la continuité de celui amorcé par le gouvernement du Burundi depuis février dernier, et le gouvernement ne peut y être absent. « Le gouvernement ne peut pas promouvoir le dialogue et en même temps s’absenter quand les Burundais se réunissent autour d’une table de dialogue. Donc le gouvernement du Burundi sera représenté à Arusha parce que la session prochaine est une suite logique de ce qui se passe dans le dialogue interburundais à l’intérieur du pays. Le gouvernement a toujours promis que les Burundais de l’intérieur et de l’extérieur, ceux de la diaspora, devront tous être consultés », précise Willy Nyamitwe, conseiller spécial chargé de la communication à la présidence.
Une déclaration de Jean de Dieu Mutabazi, président du RADEBU, un parti très proche du pouvoir, ne laisse pas de doute sur la position de Bujumbura par rapport à ce dialogue : « Nous demandons à l’opposition radicale d’abandonner l’illusion de profiter du dialogue inclusif pour accéder au pouvoir…Nous voulons inscrire ce dialogue dans la logique de préparer uniquement les élections de 2020. »
Une opposition en vadrouille
Jean de Dieu Mutabazi demande enfin au gouvernement de permettre aux opposants qui auront abandonné la violence de rentrer au pays pour continuer le dialogue interne. Ainsi pour le pouvoir, la position ne change pas, et ce qui est aujourd’hui appelé Arusha 2 n’exclut pas le dialogue interne en cours au Burundi. Un dialogue condamné et rejeté par l’opposition.
Autant le gouvernement reste fidèle à lui-même en ce qui concerne les négociations, autant l’opposition semble tanguer sur ses positions. La plus grande plateforme de l’opposition, le Cnared, semble connaître des problèmes malgré son assurance. Alors que tous les partis qui la composent n’ont pas encore tous été invités par le médiateur, certains d’entre eux veulent déjà faire cavalier seul.
« Les partis politiques membres du Cnared devraient participer au dialogue s’ils sont invités », martèle Léonard Nyangoma, président du Cndd et encore récemment président de ce conseil. « J’ai reçu une invitation du médiateur pour le dialogue qui se tiendra à Arusha du 21 au 24 mai. Nous irons à Arusha et nous rendrons compte au Cnared à notre retour. » M. Nyangoma conseille aux autres membres du Cnared invités de faire de même. « Nous pourrions ainsi faire avancer les points sur lesquels nous sommes tous d’accord dans cette plateforme pour ramener la paix au Burundi. »
Pour le Cnared, cette réaction de Léonard Nyangoma ne fait que confirmer son ego. « Ceci explique Cela. Au Cnared, il a toujours agi en solo même quand il était à la tête de la coalition. Il confondait souvent le Cnared et son parti, le Cndd. Il avait pris la plateforme comme un biais de promouvoir sa propre personne » réagit Pancrace Cimpaye. Pour lui, que M. Nyangoma choisisse de poursuivre son aventure solitaire, c’est son droit. « Mais c’est un suicide politique. Et il devra en assumer les conséquences. »
Un grand oublié…
Du côté du PPD Girijambo, qui comprend plusieurs anciennes grosses pointures du régime Pierre Nkurunziza, la médiation ferait une belle erreur en ne les associant pas au dialogue. Selon Onésime Nduwimana, porte-parole de ce parti, le pouvoir les craint parce qu’il sait qu’ils connaissent beaucoup de ses secrets. En effet, souligne cet ancien porte-parole du Cndd-Fdd devenu frondeur, leur parti comprend beaucoup de hauts cadres du gouvernement, du parti au pouvoir, de l’administration et des forces de l’ordre. « Il ne peut donc pas y avoir de dialogue sans toutes ces personnes sinon on ne saurait pas le vrai problème qui gangrène le pays. »
Le PPD Girijambo soutient le Cnared, dont il fait partie, contrairement à Hussein Radjabu qui a quitté cette plateforme en claquant bruyamment la porte. Pour l’ancien homme fort du Cndd-Fdd, qui se déclare président du parti Cndd-Fdd épris de paix, le Cnared est basé sur le clientélisme, et les ambitions démesurées et individuelles de certains de ses membres. Hussein Radjabu a accusé les nouveaux dirigeants du CNARED d’avoir « procédé au forcing » les 23, 24 et 25 avril 2016, pour aboutir au « renversement des organes existants pour des raisons tant d’inopportunité politique que d’illégalité ».
Rwasa, opposant ou allié ?
Dr Jean Minani, le nouveau président du Cnared qui a remplacé Leonard Nyangoma, et les membres du Directoire du CNARED, sont ainsi accusés d’avoir des « ambitions démesurées » et de s’être livrés à une « course effrénée au positionnement pour une visibilité individuelle ».
Mais son départ ne semble pas inquiéter outre mesure le Cnared, qui y voit plutôt d’autres raisons. Pancrace Cimpaye qualifie d’insanités les accusations qu’Hussein Radjabu lance contre le CNARED GIRITEKA, et le juge être très mal placé pour donner des leçons. Il lui conseille de cesser cette campagne de vilipender le Cnared : « Hussein Radjabu devrait cesser de gaspiller de l’énergie dans une guerre contre l’opposition.
C’est à croire que son ennemi numéro un est l’opposition. » Par contre, le porte-parole du Cnared reconnaît le poids du PPD Girijambo. « Le PPD-Girijambo est une force qui compte sur l’échiquier politique burundais. Ne pas reconnaître cette réalité procèderait d’une cécité politique.
Comme si cela ne suffisait pas dans cet imbroglio de l’opposition, Agathon Rwasa entre dans la danse. Selon Charles Nditije, président de l’Uprona non reconnu par le gouvernement, le leader du FNL a reçu une invitation pour Arusha, en tant que président de la coalition Amizero y’Abarundi. Pour M. Nditije, logiquement, la coalition Amizero y’Abarundi a été créée pour les élections de 2015 et devait donc être dissoute après celles-ci. Mais si elle existe encore, souligne-t-il, ce n’est pas seulement Agathon Rwasa qui doit être invité, puisque cette coalition était composée par le FNL et l’Uprona.
Analyse
La nouvelle stratégie que veut adopter le médiateur dans le conflit burundais, Benjamin Mkapa, montre une fois de plus qu’il existe encore beaucoup de problèmes à régler pour réussir ce dialogue. En voulant d’abord rencontrer les parties en conflit, chacune à son tour, séparément, le médiateur cherche sans doute à connaître d’abord leurs points de vue sur les questions a négocier. Mais on peut également penser qu’il cherche à leur « faire entendre » raison sur leur radicalisation.
Le Cnared veut « que toutes les questions soient sur la table », y compris celle du troisième mandat entamé par le président Pierre Nkurunziza, et ses conséquences. Le pouvoir attend des « consultations » selon la résolution 2279, selon laquelle « toutes les parties prenantes attachées à une solution pacifique » participent au dialogue. Le gouvernement considère que le Cnared n’est pas un acteur pacifique et donc qu’il n’a pas à discuter avec lui.
Ainsi, on peut supposer que le médiateur essaiera de convaincre Pierre Nkurunziza que le Cnared est un acteur incontournable. Et au Cnared le médiateur fera tout pour le convaincre d’accepter Pierre Nkurunziza comme président du Burundi. Aux deux parties, la médiation va sûrement tenter de desserrer les boulons de la radicalisation. En effet, plus ce dialogue approche, plus la surenchère augmente.
Quoiqu’il en soit, ce dialogue devrait débuter le plus vite possible car, plus il traîne, plus l’opposition se fissure de plus en plus. Certains politiciens veulent profiter des hésitations du médiateur pour régler leurs comptes ou gagner en visibilité. La même opposition peut être renforcée ou affaiblie par l’entrée en scène d’un autre acteur, Agathon Rwasa, selon que c’est un véritable opposant au pouvoir de Bujumbura, ou un opposant allié. La question qui se pose est de savoir dans quel camp il est dans la crise que vit le Burundi : dans celui du président de la République, ou dans celui qui combat son 3ème mandat ?
à l’attention d.Iwacu
Ni kubera iki ibitutsi vyo gutuka Kagame murabireka bikaba publié, ariko ivya nkurunziza yirirwa aramara abantu ntibipasa ni kubera iki?
Kagame aza gute muri debat? Nimurabe ivyo Sheriff yanditse.
Mutama, sherif ntiyigeze atukana kandi twebwe abarundi turi muri Democracy turavuga iciyunviro dufise
ku mutima kugira dutore inyishu y´ibibazo dufise mu gihugu urunva ko Urwanda rutaragera aho Uburundi bugeze, twebwe aho tugeze ntitugisubira inyuma tuzobadanya gusika aho Urwanda narwo rushika aho Uburundi bushitse mugire amahoro!!!
@Higiro.Le Burundi, un modèle de démocratie!! vous êtes rigolo,c,est tout ce qu’on peut dire de toi.
Meurisaut,, si tu as un problème quelconque, il faudrait que tu ailles te faire voir ailleurs.
@Higiro.
J’aurai au moins pensé que tu apportes une réflexion sur le Burundi »modèle de démocratie » que tu vantes! Mais dire d’aller me faire voir ailleurs c’est le plus pauvre des arguments.Tu es pitoyable!
Quand au CNARED qualifié aujourd’hui comme ne représentent rien je me rappelle comme c’était hier comment le Cndd Fdd a commencé à Kamenge . Le languange que vous avez actuellement ne diffère en rien du languange du gouvernement Buyoya de l’époque d’ailleurs j’ai comme l’impression que le général prime Niyongabo prononce les discours qui avaient étaient préparés par Bikomangu. Mais pourtant la population faisait semblant de suivre on peut vous donner des photos illustrant les descentes de l’epoque de Buyoya
@Kimaranyi
» Le languange que vous avez actuellement ne diffère en rien du languange du gouvernement Buyoya de l’époque d’ailleurs j’ai comme l’impression que le général prime Niyongabo prononce les discours qui avaient étaient préparés par Bikomangu. »
Un rappeur français appelé MC Solar chantait vers le milieu des années 1980 une superbe chanson dont le titre était: « Les temps changent »! Vous devriez l’écouter une fois!
Fofo toi qui sait conseiller les jeunes pourquoi tu ne le fais pas pour les imbonerakure ? Crois-tu que ceux qu’ils sont en train de soutenir aujourd’hui n’ont pas ces passeports? Ou que leur règne sanguinaire durera éternellement ? Que devenus les sans échecs sans défaites? On devrait tirer la leçon de l’histoire
@Kimaranyi,
Quand vous dites les imbonerakure c’est un peu flou! Moi je ne suis pas membre de CNDD-FDD pour connaitre qui est imbonerakure qui ne l’est pas. Je conseillé les jeunes de mon quartier pas tout le monde plutôt mes voisins qui me connaissent et qui écoutent souvent mes conseils! S’agissant de ces imbonerakure, je vais te dire en réalité que les mots « imbonerakure » et « Documentation » sont devenu un « OMBRE » sous-lequel certain malfaiteurs se cachent pour couvrir leurs mauvais actes!
Muvyukuri iki kintu mwita « Imbonerakure » canke « Documentation » abantu benshi basigaye bacihisha inyuma mugukora ibi kandi ataho bihuriye! Akarorero! Jewe nariko ndarengana nsanga umu jeune umwe yiyita imbonerakure yafashe umugore n’umugabo bariko bararenga batashe ababuza kurengana! Ndamubajije igituma ntiyampa insiguro maze ndamusaba ko atosubira kubazibira ariko ntiyumva! Ico nakoze naramufashe ndamutwara kw’ikomine! turi munzira agenda ambwira ko kw’ikomine ari iwabo ataco bo mugira! Tugira tuhashike acagomba kungwanya ngo yiruke ariko turanigana mpamagara abapolici baramufansha. Ndabasigurira ingene yariko agora abo bantu baca baramufunga! Mugatongo dutohoje dusanga n’umuntu muto cane akora akazi ko kwikorera imizigo kw’isoko kandi atanazwi n’abatwara umu mugambwe CNDD-FDD muri ako gace!
Uwundi musi mura n’umuntu yagonze abantu n’aka moto abo yagonze baca bamutwara terefone yiwe! Nawe aca afata akana k’umuyabaga kari ngaho ngo niko kamutorokesheje! Ndahageze ngize ngo ndabaza aca aca afata jewe! N’umva atanguye guterefona avuga ko ariko aterefona « Umuhisi Gen. Adolphe », ndamubwira nti murindiriye kuko ndazi ko niyaza ivyarivyo vyose abanza kubaza uko vyagenze! Aguma aterefona ambeshera ibintu vyinshi nanje ndamwihoza nk’isaha ndaho! Munyuma ishavu riramfata, nca ndamufata ndamujana kw’ikomini niganira abapolici ngene vyagenze baramusigarana ndataha! Mugatondo nzindukirayo baramumpa ndamubaza nti n’ubu ntaraza! Ariko yari yamaze guca bugufi hama arasaba ikigongwe baramurekura! Mfise n’ubundi burorero nk’ubwo bwinshi nico gituma tudakwiye kwitiranya umuntu n’Urwego!
Hahaha, CNARED irateye ubwoba, les CNDD et les imbonerakure zose ziri sur ce site, nta nakimwe bisigarije. Iwacu nayo mwanse kugira uko bagize. Liberte d’expression ni yose. Ingwano bariko barakora k’ururu rubuga kugira CNARED ihambwe birerekana kwitari uko bariko barayicokora. Kudatumirwa bizotuma havugwa ivyo Nkurunziza n’imbonerakure ziwe zishaka. Abandi batumiwe nta bwoba bateye. Abatari inyuma ya Nkurunziza bariko barafasha muriyo ngwano biyumvire kabiri. Abantu barahonye n’ubu bakiriko ababica barazwi. Umuhuza yemeye ko CNARED sont des terroristes batoja mubiganiro arimwo amahinyu menshi. Ivyarivyo vyose ibiganiro bihuza abadahuza ivyiyumviro. CNARED irimwo. Abazoganira bose bibuke kw’igihugu kiri mu menyo y’amagabura. Bakaba bagiye kumviriza inyigisho za ba Nyamitwe ingene igihugu gitegerezwa gutwagwa n’ivyo bazohabwa vyonyene, bazoba bihenze bagira ngo bariko bahenda abanyagihugu bigorewe.
None Barundi nduhe raison wa mu chanteur Johnny Hallyday yaririmba Noir c´est noir, il n´y a plus d´espoir? ubu turi muri 21 eme siècle Uburundi nico Gihugu kiguma mu ntureka zakera hakuja imbere économiquement.
Le « médiateur » fraîchement sorti du chomage a gravement déjà hypothéqué son crédit. Il est très polarisé. Pour des raisons qui crèvent les yeux.
Ubwo Burundi bugowe bukiriko.
Nta leadership buraronka, kuko bose ni bansumirinda,
ninaco gituma izo ngorane zitariko zirahera vuba.
Baba abari muri gouvernement yubu canke abayigwanya,
ntakindi kibaraje ishinga atari kuguma canke kuja kubutegetsi.
Ineza y-abanyagihugu ntibaraje ishinga,
uyu musi abarundi birigwa ubusa canke badafungura ibikwiye ni indiri,
ariko abari ku ntwaro bavuga ko amahoro ari yose.
Urwaruka ni ruhaguruke rukure ubutegetsi mu minwe y-abansumirinda bakagazwa n’umutima wo kwihorahorana, abo nabo si abandi ni abo bose bafise 40 ans kuduga nabamwebamwe bo musi
yiyo myaka batazi canke biyobagiza ko politique ari gestion de la cité avec comme objeticf,
le bien commun.
mr eduard,vous avez parler de toutes les parties mais vous avez oublier la partie la plus importante et meme la plus difficile.
C’est la partie de 10 millions de burundais.
Sans REFERUNDUM DIRECT cette foi si un aucun goute d’accord d’arusha ou de belgique ou accord du monde ne se fera sans REFERUNDUN.
Nos intellectuels sont malades ceux qui gardent le pouvoir et ceux qui veulent le pouvoir .
Bien dit ces ventriotes qui veulent accéder au pouvoir sans passer par les urnes, aucun accord ne sera accepté par les 10 millions Burundais qui sont toujours silencieux. Quel mépris envers le peuple Burundais? Quel arrogance des Belges et la clique au pouvoir à Kigali envers le peuple Burundais?
@Micombero! Ni ceux qui sont au pouvoir ni ceux qui cherchent à se hisser au pouvoir ne représentent les 10 millions des burundais.Ce qu’a fait Nkurunziza avec son cndd et ses partis satellites en 2015 n’était qu’une parodie d’élection propre à toutes les dictatures africaines au pouvoir aujourd’hui.On pourrait croire à la clique au pouvoir à Bujumbura s’il y avait eu des vrais élections et le respect de la loi fondamentale du pays.
Pourquoi cette référence toujours à la Belgique et au Rwanda? Occupez-vous de vos misères au lieu de perdre le temps à aboyer et à trouver des boucs émissaires.
Eric, le referendum dont tu parles est une utopie…si les dds sont au pouvoir aujourd’hui c’est grace aux accords d’arusha car ils n’ont pas prendre le dessus sur les ex fab…la communaute internationale est consciente que remettre en cause quelques closes des accords serait suicidaire et ouverture d’une guerre sans merci entre burundais et pourquoi pas des grands lacs. Kagame a enterre arusha par sa victoire militaire sur les ex far. Les quotas ethniques dans l’administation, le parlement…l’armee..ne bougerons d’un seul iota, une voix , un homme au vote et le respect de 2 mandats de 5 ans aussi.
kan76: » Kagame a enterré arusha par sa victoire militaire sur les ex far » mon oeil, Kagame s´est enterré lui même et le temps nous le prouvera. Concernant le Rwanda, c´est une bombe à retardement et la preuve est que depuis qu´íl s´est auto- proclamé président, toute la région des grands lacs n´a jamais connu de paix , l´ironie du sort est que c´est par Arusha que Kagame pensait qu´il a enterré que la paix sortira ou alors Kagame sortira par la petite porte en l´assassinant et en trainant son cadavre dans les rues de Kigali comme ca était le cas de Kadhafi. Malheureusement il n´y a que ces 2 options qui lui gettent pour que toute la région des Grands lacs retrouve enfin la paix. Va te documenter dans le film intitulé: Rwanda, The untold story.
C´est qui est sûr il y aura la fin de Kagame!!!
Sherrif si tu churches la vraie information sur Rwanda, the Untold story, c’est que tu es un mauvais chercheur. Va plutot au Rwanda faire ta proper recherché et tu sauras la verite. Si tu es a Buja, le Rwanda n’est pas loin. Vs y chercher.
John, tu es probablement frustré mais malheureusement ca sera le sort de Kagame, c´est ca qu´il aurait cherché, il faut savoir qu´il a de vrai antagoniste, il pourra pas aller loin.
@John
« Sherrif si tu churches la vraie information sur Rwanda, the Untold story, c’est que tu es un mauvais chercheur. Va plutot au Rwanda faire ta proper recherché et tu sauras la verite »
Ceci pour nous dire que Radio Kigali donne des informations plus crédibles que BBC?
Il ne faut pas être savant pour se rendre compte qu’au Rwanda il y a des citoyens de 1ère et de 2nde zone! On a même des enfants qui naissent et qui sont invités à demander pardon pour les crimes de génocide commis par leurs ancêtres!
Ivyiyumviro vyawe bigerwa k’urushi n’aho vyoba arivyo wipfuza uzosubiza amero mw’isaho :Le Rwanda est propre,le business tourne, la corruption est vaincue, la sécurité est assurée et les documents fonciers sont claires pour permettre la mutation et l’hypothèque confiant .Qu’ en est -il au Burundi ? Vous êtes heureux parce que un événement malheureux s’est produit chez l’autre (tutsi ou hutu) et vous croyez que vous réussirez seul .Ce n’est pas cela la vision de notre cher KAGAME que vous niez .Je vous assure que dans cent ans le Burundi n’aura pas encore un leader de la dimension de KAGAME lui a arrêté le génocide sans faire un autre.Il avait compris que la vengeance est le plus dangereux des démons.Quand vous le comprendrez chers patriotes vous qui veulent manger sans travailler et s’enrichir sans investir? Je vous attends impatiemment
bamporeze, Kagame n´est pas mieux placé pour lui donner tout ces fleurs, il a tué ces compatriotes, ce qui lui reste n´est que le resultat de ce qu´il a semé lui même.
@ Bamporeze, ndagushigikiye cane. Nta musi numwe Uburundi buzigera buronka umutegetsi nka président Kagame. Ndakubwire ubutunzi bwose uko bwoba bungana kose buciye mugusesa amaraso ya benewacu ndizera ko i Burundi tutabushaka. Imana idufashe tugume turi abakene hako twotunga tubanje gusesa amaraso ya za miliyoni z’abana b’abanyarwanda n’abakongomani.
@Sherif! Vos rêves ne deviendront pas réalité en multipliant vos inepties sur ce site Iwacu.Un conseil:vous avez une armée »aguerrie » soutenue en plus par les »braves » imbonerakure,une armée qui a montré sa bravoure dans les liquidations des jeunes désarmés de Musaga et Nyakabiga! Lancez-la sur Kigali et vous obtiendrez la paix que vous souhaitez dans les grands lacs.N’est-ce pas? Je pense que vous pouvez aussi compter sur l’appui de la bbc pour passer la vérité de votre credo the untold story.
Meurisaut, Les gents, comme toi m´ont l´air frustré et je ne discute pas avec des gents comme toi, je suis désolé.
@Sherif.
Moi aussi je souhaite discuter et rencontrer sur ce site Iwacu des gens qui apportent des réflexions valables sur comment résoudre la crise que traverse le Burundi et non des personnes comme toi qui nous versent des délires de leurs sentiments.
Birababaje caaane ingene tumaze imyika tudashobora kwitunganiruza ibitwerekeye. Patriotes sincères & courageux: où êtes-vous?! Que l’on se le promette que ce soit les dernières négociations d’Arusha. Au Bénin; Talon a promis de ne faire qu’un seul mandat. Au Chili il semble qu’il soit interdit de briguer 2 mandats successifs. Ces systèmes devraient ns inspirer.
Ndabinginze mwihangane, mwifate rugabo ntimusubire kwihekura ngo mutere ya ma grenades yanyu kubanyagihugu binzirakarengane! Muzoba mukoze!
Ca fait rire mais aussi ça peut faire pleurer! Que immaturité! Ils sont entrain de montrer leur vraie face!
Pendant les manifestations j’ai conseillé aux jeunes de mon quartier (qui avaient répondu tardivement par influence des autres jeunes de Musaga) de ne pas commettre de violence! Je leur disais qu’ils peuvent manifester mais pacifiquement pour qu’ils ne commettent pas des actes qu’ils pourront regretter plus tard! Heureusement, ils ont obéi et je remercient! Sinon, ils seraient entrain de regretter pour avoir roulé pour les intérêts de ces soi-disant leaders immatures!
Merci Foto, J’ai aimé ton initiative. Ces jeunes qui se font tirer dessus, c’est aussi nos enfants, nous les plus vieux. Nos jeunes sont manipulés par ces leaders d’opinion, une fois la patate chaude arrivée, ils ont leurs passeports dans les mains et se sauvent pendant que les jeunes sont manipulés de tout bord. La stratégie de ces leaders est la même. Ikinyoma: ngo hasingaye iminsi mike igihugu tukagifata. Ngo inkoho zanje n’ibindi bakoresho, ngo tungire dutsinde kandi ar’ibonyoma. Niwaba har’ abandi ba jeunes woba unzi mugenzi wanje Foto, bandanya ubasobanurire ko babahenda cane. Nibareke gutera amagrenades ntaco bifasha n’akimwe turetse ko abantu baguma bapfira ubusa. Ndagushimiye cane. Ubandanye gukora ivyo ushoboye. Urakoze.
Analyser ou pas, ivy’i Burundi n’urudubi gusa. Ba nsumir’inda barenga 99% dans nos « politiciens ». Peu de personnes fiables et patriotes. Nibabe barakina inkinamico, ariko bamenye ko amaraso y’abarundi azobabazwa tôt au tard. Ils sont responsables, ils doivent assumer.