Au terme de leur visite au Burundi, les trois experts onusiens sur les droits de l’homme, partagés, promettent de revenir bientôt.
« Cette visite était la première étape dans le cadre de nos efforts destinés à recueillir les informations et les points de vue de tous les acteurs impliqués dans la crise burundaise. Il n’y a rien de mieux que de venir ici pour constater par nous-mêmes ce qui se passe et rencontrer divers acteurs. » Cette déclaration est de Pablo de Greiff, l’un des trois experts indépendants mandatés par l’Onu pour enquêter sur les violations des droits de l’Homme au Burundi depuis avril 2015. «Au terme de cette première visite, ce qui frappe, c’est le sentiment partagé par beaucoup de gens ici que le Burundi est à la croisée des chemins. Mais, il y a aussi, chez un plus grand nombre encore, l’espoir que la situation actuelle s’améliore », a noté Maya Sahli-Fadel, également membre de l’équipe. Christof Heyns, le troisième expert, a tenu à souligner que « l’avenir du Burundi, tant sur le plan interne, qu’en tant que membre de la communauté internationale, dépendra de ses performances dans le domaine des droits de l’Homme. »
Déclarations faites, lors d’un point de presse à Bujumbura, à l’hôtel Club du lac Tanganyika, après huit jours d’entretiens et d’échanges avec un large éventail d’acteurs. Durant leur séjour, du 1 au 8 mars, les experts onusiens ont rencontré des représentants du gouvernement, des dirigeants politiques, des organisations de la société civile, et des victimes de violations des droits de l’Homme. Ils ont également visité la prison de Gitega et ont rencontré des détenus poursuivis pour implication dans le putsch manqué du 13 mai 2015.
Ils ont annoncé que l’un des trois experts rendra compte des premières conclusions de l’enquête au Conseil des droits de l’Homme, lors d’une réunion prévue le 21 mars prochain à Genève. Les trois experts reviendront au Burundi en juin et juillet prochains. Pendant ce temps, ont-ils ajouté, toujours dans le cadre de l’enquête, une équipe d’observateurs des droits de l’Homme sera déployée au Burundi dans les prochaines semaines. Enfin, en septembre 2016, les trois experts présenteront leur rapport final au Conseil des droits de l’Homme.
Honest,
Ne soyons pas trop racistes. Il y a de bons Blancs et de mauvais Blancs. Evitons la globalisation. Plus de 99% des Occidentaux ne savent pas ce que ceux qui dirigent ce monde font dans les pays qui ne sont les leurs.Ils entendent ce qu’on leur raconte et réagissent en suivant les mensonges. Les mensonges ont atteint un niveau où les Nations Unies sont discréditées. Le cas du Burundi: comparez les propos de la même personne dans les deux vidéos (de Haha et Iwacu). Vidéo de Haha: elle dit que tous les Burundais sont déterminés à aller de l’avant, il y a de l’espoir. Vidéo d’Iwacu : elle dit qu’il faut un terrain neutre. Si tous sont déterminés à aller vers la paix , pourquoi un terrain neutre ?
Dans la vidéo de Haha, elle contredit beaucoup de Représentants des NU USA, UE, UA, Médias occidentaux etc. quand elle dit que la situation n’est pas explosive et qu’il y a de l’espoir. Si le court séjour au Burundi de ces Envoyés indépendants leur permet de tirer une telle conclusion, alors les Représentants des Nations Unies dont certains ont été au Burundi pendant plusieurs années et ces missions diplomatiques qui vivent avec les Burundais n’ont -ils pas remarqué que le Vaillant et Aimable peuple Burundais ne veut plus s’entre-tuer? Pourquoi ont-ils annoncé une situation catastrophique jusqu’au nouveau génocide ?
Bien dit .
ban ki moon est venu ici au Burkina Faso pour défendre les homosexuels mais il a raté de piste car cette pratique n’est pas une valeur d’intégrité culturelle au Faso. Le Cardinal ne lui a pas fait cadeau en tout cas. Nous avons nos valeur et aucune culture n’est supérieure à une autre. Son séjour a été écourté. En tout cas nous les Hommes intègres nous n’avons pas besoin de ces vieux blancs qui pensent avoir la meilleure des cultures. A vous les burundais, trouvez une solution à votre problème sinon ces blancs vont vous conduire à l’abbatoir. Le Burkina en tout cas n’a pas besoin de l’ONU pour nos affaires internes. Qu’est-ce que l’ONU fait au Congo RD? Simplement voler l’or, le diamant et violer les femmes, et c’est la même chose en Centre-Afrique. 200 filles sont emportées par Boku Haram au Nigeria depuis plusieurs années, n’en parlons pas les massacres. Qu’est-ce l’ONU a fait en tant que garante des droits humains? Mon œil oui ! UN is useless on human right. tIl faut que les Africains créent quelque chose pour les Noirs. Je réclame réorganisation ou la dissolution de l’ONU afin d’être plus objective.
Toujours les blancs.
https://www.youtube.com/watch?v=wWajbz13SUc
Merci IWACU
Certains de mes commentaires ne passent pas.C’est la vérité directe.
Comment trois personnes ne connaissant pas le terrain peuvent-elles faire une enquête et trouver les solutions des problèmes créés depuis plus de 120 ans. Il ne connaissent ni le Kirundi, ni le Swahili pour parler avec les gens. Ils ne connaissent rien des comportements des Burundais etc.Les occidentaux devraient laisser l’Ouganda, la Tanzanie et l’Afrique du Sud s’occuper du problème du Burundi. Et bien c’est depuis 1889 que les Allemands ont supprimé le système clanique (plus de 200 clans) pour le remplacer par le système ethnique : le classement en fonction du nombre de vaches que possédait chaque chef de ménage. Un chef de ménage avec 10 vaches et plus était désigné Umututsi (peut-être umutunzi) et moins de 10 vaches était umuhutu (serviteur). Ainsi les Tutsi sont des éleveurs et les Hutu sont des Agriculteurs. Au Rwanda, 40 ans plus tard en 1930 les Belges ont demandé aux Rwandais de déclarer le groupe ethnique auquel chacun appartenait . En 1889 on trouve au Burundi des pourcentages suivants : Hutu 85¨%, Tutsi 14% et Twa 1%. Et au Rwanda plus de 40 ans plus tard on trouve les mêmes pourcentages qu’au Burundi. Le nombre de ceux qui avaient 10 vaches et plus au Burundi était le même au Rwanda 40 ans plus tard. Twamye duhendwa tubona ! Ces pourcentages sont totalement faux et c’est pourquoi on ne peut pas les mettre à jour depuis plus de 120 ans au Burundi et plus de 80 ans au Rwanda.
Vives les Experts des Nations Unies ! Ils vont nous dire en quelques jours, la vérité sur nos problèmes.
@Business et Mugabarabona
N’importe quoi? Comment pouvez-vous être aussi réducteurs du rôle des NU dans le monde en matière de paix et de stabilité des nations y compris le travail de fonds que ses agents sont entrain de faire au Burundi? C’est vous qui aviez utilisé des satellites pour montrer aux yeux du monde, qu’en décembre 2015 des charniers ont été creusés pour y enterrer en hâte des corps de gens probablement victimes d’exécutions extrajudiciaires ? Les satellites des NU sont allés jusqu’à compter le nombre de corps dans certains charniers… !Alors, cessez de blaguer s’il vous plait alors qu’il y a morts massives d’hommes et de femmes innocents au Burundi et de façon continue depuis Avril 2015.. ! Ce que vous écrivez n’est qu’affirmation gratuite et coquille vide… !
Rugamba Rutangazwa,
Personne n’est dupe. J’espère qu’on expliquera qui a tué ces gens dans des quartiers gardés pa les contestataires et où la police nationale ne pouvez pas aller.
J’espère aussi que tu a une explication pourquoi les satellites n’ont pas fonctionné en 72…pour montrer les charniers des millions de gens tués par le pouvoir Micombero; les satellites existaient que je sache.
Quand le mensonge nous tient!
Ils sont experts en quoi? En droit de l’ homme ou en droit de l’ être humain? Pourquoi ces esperts ne mettent pas le pied au Rwanda et en Ouganda? Ils ont vu que les Burundais sont sages et les écoutent énormément, pourquoi ces experts n’ ont pas encore trouvé la solution entre les Wallons et Flamands.Nibabanze bige bameye ikirundi n’ Abarundi,aho ni kubura ico bakora kugira ngo bashobore gusohora amadollars mû kigega ça ONU ngo bagiye gutora inyishu mû ngorane Uburundi bufise, baheza kuzitera no gushigikira abazitera munyuma ngo bagiye gutora inyishu.Barabahinyuye.
No soyons pas naïfs : je ne sais plus dans quel pays où notre ancienne ministre Françoise NGENDAHAYO et d’autres avaient été mandatés pour rétablir la vérité sur des massacres. Le rapport a été classé par Ban Ki-moon sans suite !
Lero Barundi, l’avenir est entre vos mains ! Akimuhana kaza imvura ihise.
Mais oui, ils reviendront, c’est du bisness. Cest ce qu’ils souhaitent. Une guerre en Afrique rapporte beaucoup d’argent aux pays développés: « aides humanitaires », les experts, vente d’armes… pauvres africains!!!!