L’Assemblée nationale a adopté à l’unanimité, ce mercredi 20 août 2014, un projet de loi portant prévention et répression de la traite des personnes et protection des victimes de la traite. D’après la ministre de la Solidarité, la traite des personnes constitue une infraction grave et une violation des droits humains. D’après cette loi, ceux qui pratiquent le trafic des êtres humains sont désormais passibles d’une amende comprise entre 750 mille et 20 millions de francs burundais et d’une condamnation à perpétuité.