Lors du dernier conseil des ministres, il aurait été constaté que la mairie de Bujumbura compte un nombre élevé de communes. Les délimitations ne sont pas bien précises, causant la problématique de l’autonomie de gestion tant au niveau administratif que financier. Cette question est en cours d’analyse pour voir si l’on pourrait réduire le nombre de communes, passant de 13 à 3.
Le problème n’est pas le nombre de communes. La décentralisation financière est une priorité pour que les richesses de la mairie ne continue pas a alimenter les poches des dignitaires. Même à 13, chaque commune est capable d’assurer son fonctionnement et les services à ses habitants, le problème reste la gouvernance qui est très mauvaise.
C’est PARFAIT ! Moins de complications dans l’administration !
Connaissez la ville d’Abidjan en Cote d’Ivoire ? Elle fait 422 km carre et a pourtant seulement 6 ( SIX ) communes !
Bujumbura avec 86.52 km carres n’a certainement pas de 16 communes pour être géré !
Moins de complexite dans la gerance, moins de problemes pour les citoyens avec les communes regroupees, meilleur repartition financiere afin de mettre de metre un accent sur les zones qui en ont le plus besoin.
Les communes ne sont pas des villages ! Arrêtez de parler d’histoire, de se reconnaitre, d’habitude. Il n’y a qu’une seule histoire, celle du Burundi ! Mais il y aura toujours des insatisfaits qui continuent de penser a leur seul interet…
C’est une bonne idee, mais quand meme 3 communes est insuffusant; peut-etre 6 ou 7.Ca economiserait de l’argent en reduisant des structures budgetivores surtout dans les temps qui courent de l’osterite.Il faudrait aussi suprimer la province de Bujumbura Rural.
C’est du n’ importe quoi . Il est illogique que deux quartiers comme Kamenge et Ngagara aillent dans la même logiaue même geographiquement ils sont proches . On peut la mettre ensemble de manière dictatoriale comme d’habitude mais ca n’apportera aucune efficacité.
pas du tout chaque commune a sa propre histoire . cela ferai k’I’ll aurai,avec les Lois en vigeur, que les habitants des differents communes ne se reconnaissent pas dans l’admnistration qui viendra.et I’ll aurai le risque qu’,il y ai in arret 2 la decentrlisation
Je suis tout à fait d’accord de la limitation des communes mais Trois c’est peu. Je propose quatre: Commune nord de la NTAHANGWA (kamenge, Gihosha, kinama, Buterere, ngagara et cibitoke), commune centre entre NTAHANGWA et MUHA (ROHERO , NYAKABIGA, BWIZA, BUYENZI), commune sud Muha (MUSAGA et KININDO), commune KANYOSHA (KANYOSHA, RUZIBA). Mais c’est peut-être aussi une façon de retarder cette autonomie car ça profite au maire de la ville et donc au parti au pouvoir. ça sera une réforme cyclique et quand ça sera fini ,on va plaider à la décentralisation et reprendre les anciennes communes et ainsi de suite.
Les enjeux de la décentralisation sont plus politiques et économiques que structurelles.
Les maires de la ville se battront becs et ongles pour garder le contrôle des finances de la mairie si non ils risqueront d’être comme les autres gouverneurs de provinces et non être des bourgeois dans une mairie insalubre avec des routes impraticables sans éclairages même la route qui mène à l’aéroport.
Il est plus urgent que la population citadine demande l’autonomie des communes municipales afin d’avoir une ville digne de l’être différente de Bujumbura qui est une honte des capitales du monde entier.
ça serait une très bonne idée, je ne suis pas citadin mais ça me ferait plaisir de voir ce nombre de communes urbaines revu en baisse! Et il ne faudra pas qu’ils s’arrêtent par là, il faut qu’on diminue même le nombre de provinces que compte le pays, 17 provinces c’est extremement nombreuses vu la surface du Burundi!
C’est bon comme projet.
Il faut les réduire jusque à cinq mais que les maires soient élus par le peuple.
mais ausssi penser à réduire les provinces à cinq. Que les gouverneurs soient élus par et parmi les présidents des conseils communaux. Ceci dopterait le gouverneur de pouvoir sur l’administration de la commune. Il faudrait que la province soit dotée de strucutres plus ou moins pareilles que celles
communales. Comme ça le gouverneur serait le président de tous les conseils communaux existant dans sa province.
Et il faudra que le permanent du parti au niveau province n’ait pas de fonction publique dans l’administration de la province. Mais qu’il soit exactement le contrôleur de l’exécution du programme socio-econo-politique du parti au pouvoir.
Abidjan a effectivement 422 kilomètres carrés mais ne compte pas 6 communes. C’est 10 à savoir:Abobo, Adjamé, Yopougon, le Plateau,Attécoubé,Cocody, Koumassi, Marcory, Port Bouet, Treichville
Vraiment je soutiens cette bonne idee et je pense que la repartition sera simple: la premiere commune comprendrait les les anciennes communes au Nord de Ntahangwa, la deuxieme comprendrait les communes situees entre la rivieres Ntahangwa et Kanyosha, la troisieme commune comprendrait les communes situees au Sud de la riviere Kanyosha. Par ailleurs, le Burundi entier est plus petit a une seule province d’ un de certains pays africains alors qu’ il compte 18 provinces, vraiment il faut que le gouvernement songe a une nouvelle repartition des provinces qui doivent etre non pas plus de 6 provinces. Merci