A l’issue d’une fouille perquisition, 41 crânes humains ont été déjà découverts au domicile de l’Italien Giuseppe Favaro, d’après des sources contactées au Service national des renseignements (SNR).
Car, selon le porte-parole de la Police nationale burundaise, Hermenegilde Haremenshi, depuis la découverte d’un colis contenant deux crânes humains à l’aéroport international de Bujumbura, le 29 octobre, les enquêtes pour comprendre l’origine et la destination des mystérieux colis de M. Favaro continuent.
Objectif : mettre la main sur tous ceux qui sont impliqués dans ce commerce.
Il affirme que ce dossier est en train « d’évoluer positivement. » Mais, précise-t-il, pour des raisons d’enquêtes, beaucoup d’informations ne doivent pas être dévoilées pour ne pas brouiller les pistes. Pour rappel, c’est le même individu qui était en possession de ces deux crânes interceptés à l’aéroport. Affaire à suivre.
Kaberuka, depuis que le français existe sciemment ne s’écrit pas « sillament »
Se taire pour faire quoi? 40+2=42 tetes, vies humaines tuees! Et la police ne l’a jamais suspecte du tout. Maintenant c’est l’heure des « enquetes » et il faut vous taire…
Et si certains corps de la police faisaient partie des « fournisseurs » de ce criminel Italien? Il y eu bcp de cas, mais le plus connu est celui de la victime de RWEMBE a Gitega. La police et les tribunaux font tout pour blanchir Rwembe! La tete de sa victime avait aussi ete separe du reste du corps. Pour la vendre? Pour fausser son identite? Par hasard les 42 tetes ne sont pas le resultat des consequences des elections 2010????
Bien vu « Mr ou Mme Du Bois ». J´ai l´impression que même certains journalistes ou/et groupe de presse ne connaissent pas grand chose de cette loi, où la viole sillament. Même dans les démocratie qui vous montent contre vos autotités légitimes, leur lois impose le secret d´instruction. Alors, soyez quand même conséquant avec vous même dans votre « recherche de la vérité ».
Muzombwira, amatohoza niyashika kwa bamwe basengera aux coins des rues bavuga ko bakijijwe vyose bizoca bihagarara. Nta muzungu ashobora gushora imitwe y’abantu atashigikiwe n’abo hejuru muri police na SNR. Nico kimwe na bamwe bafatanwa drogues dures mu ba sacoshi.
Je l’ai dit et le répète cet homme n’est pas seul. Il est nécessaire de chercher tous ses complices et co-auteurs avec attention et assiduité.
Ni hatari bagenzi turagabe.
JULIEN NGENDAKUMANA
real human skull « used » but in good condition. Ivyo nivyo abadandaza ubuhanga buvuye mu burundi bandika kuri internet.Bavuga ko kani entrepot iri mu kiyaga Tanganyika.
None ko bavuga ngo bariko baratohoza abakora urwo rudandazwa,ko batavuga aba »fournisseurs » babujana muri Tanganyika?. Hanyuma uwo yiyise police yabitoye uwo mu Taliyano ntiyumviriza i radio na téle kuko kiya cuma caratangajwe, n’ubushobozi bwaco.
My God,
Faut faire attention, est-ce qu’il y a une loi au Burundi qui interdisent de commercialiser les cranes? faut savoir que meme SOGEA satom les a deterres quand elle construisait la route.
Deterrer les morts est interdit jusqu’a une periode je pense. Cet Italien n’est pas celui qui les a massacre a la machette. Si les commanditaires du genocide de 93 sont encore la, faut chatier le commercant des cranes avant le commenditaire du genocide
Pour rapel: les chiens commencaient a disparaitre dans un villa en Afrique et la police a fait irruption dans un camp de chinois qui construisaient la route a cote et trouve des chiens entrain d’etre prepares pour un repas. La police les a britalises mais apres on a trouve qu’il n’y avait aucune loi nationale qui interdisait la consommation de la viande des chiens. Et c’etait pas les chinois qui allaient les voler au village, ils les achetaient comme ils achetaient des chevres.
Avant de crier « cricifiez-le » il faut voir s’il n’est pas en regle avec la loi.
Les cranes sont vendus sur Ebay et s’il peut trouver des fournisseurs au Burundi pourkoi pas?
Je demande a un juriste qui nous lit ici de nous eclaircir, avant de nous ….
iyo nkuru iteye amakenga muri kino gihugu…
Kuri ebay agahanga « kakoze » mugabo kakiri keza handitse ko kava muri Tanganyika mu Burundi.
REAL HUMAN SKULL USED BUT IN GOOD CONDITION mu rurimi rwabo
Ntimuze murabe aboba bari muri urwo rudandazwa gusa muze mushike no kuba « fournisseurs » ubwo buhanga bugikora. C’est pas par hasard babukura muri Tanganyika, il y en a plein dans les cimetières.
Je pense que vous devriez vous taire.
Ce qui a aidé, c’est cet homme et ses hommes ne suivent pas les infos à nos radios et télé, je pense.
Sinon il aurait fui juste après. Alors prière vous taire s’il vous plaît, le réseau semble étendu et la Police y travaille pour combattre le mal. Je pense que mon commentaire est le dernier et que cet article doit être retiré et sera remis sine die.
Loi n° 1/11 du 4 juin 2013 régissant la presse au Burundi
Article 10 : Dans l’exercice de ses activités, le journaliste a le droit d’accéder aux sources d’informations, d’enquêter et de commenter librement sur les faits de la vie publique.
Article 17 : Le journaliste est tenu à ne diffuser que des informations équilibrées et dont les sources sont rigoureusement vérifiées.
Article 19 : Le droit de diffuser des informations ou de publier des documents ne peut être invoqué si ceux-ci sont en rapport avec :
d) le secret de l’enquête judiciaire au stade pré-juridictionnel.
Ni ryarindi NTUZEYE aheruka gu….hmm!! gu…. mbega ko navyibagiwe.
Vous ne devez pas être de la police. Sous les autres cieux, on attache une très grande importance aux informations de la presse et aux réactions des lecteurs, parce qu´elles peuvent fournir des pistes dans les enquêtes (ou dérouter si on ne connaît pas son métier). Malheureusement parfois la presse tombe aussi dans les panneaux en censurant les réactions des lecteurs. Ce qui est probablement le cas aujourd´hui.
Et si ceux qui interdisent de s´exprimer étaient complices de Gieuseppe? Ako n´akabazo.
Tu devrais te taire toi-meme mon cher ami. De quel droit tu t’ajuges pour faire taire les gens et même s’ils disent n’importe quoi et demander le retrait d’un article? U are a f#*cking disgrace. If you don’t like this pass and don’t read it and don’t make any comment on it that’s it.
Il doit travailler avec beaucoup de gens. les assassinats avec des enquêtes qui n´aboutissent pas auxcriminelles peuvent conclure à un réseau bel et bien établi au Burundi depuis l´installation de l´impunité au Burundi. Les personnes ci-après devraient être interrogés:
– Guieseppe Favaro, ses sentinelles, son groom, ses amis de bistrot et d´ailleurs, son chauffeur s´il en avait, ses copines, les personnes qui le rendent visite, les agents de la poste (fouille dans les documents de la poste et des douanes, les agents de douane qui ont eu à faire avec lui, ses voisins éventuellement et même certains policiers et agents de renseignement qui avaient des connections avec lui depuis son arrivée à Bujumbura, il y´a plus de 10 ans.
– Les clients chinois de ces crânes et ou d´autres clients dans d´autres pays. Les documents à la douane et à la poste, FEDEX et DHL.
– Ses associés et leurs proches en affaires.
S´il avait une Société (et je suppose qu´il en avait), il faudra analyser à fonds la pluspart des opérations et certaines relations dans les documents.
Les dossiers des gens qu´on a enterrés à la va-vite devraient revenir à la lumière.
Malheureusement le Burundi n´a pas de laboratoire pour détécter l´ADN, il sera difficile d´avoir la liste de ceux qui y sont impliqués et les parentés de ces personnes assassinées ou déterrées..
Amahoro agira aboneke mu Burundi ; naho bigoye cane, uwosaba cooperation international hakaba prelevement za ADN kuri iyo mitwe yose ntihobura ikivamwo. Ubu ndatanguye gutahura igituma imva zo mu KANYOSHA zaguma zibomagugwa! kumbe rwoba rwari urwo rudandazwa!!
Plus de 40 crânes , de gens assassinés? Des crâne s provenants de genocides? Si la première hypothèse était vraie alors on comprendrait le prix de l IDC. On ne peut pas abolir la peine de mort dans un pays où la barbarie est monnaie courante.