Le policier Michel Nurweze, alias Rwembe (Lame de Rasoir), a été arrêté ce jeudi 7 janvier aux environs de 11 heures à l’hôtel Benito de Muyinga. Motif : tentative de meurtre sur son chauffeur.
Selon Pierre Nkurikiye, porte-parole de la police, tout commence vers le soir de ce mercredi 6 janvier quand M. Rwembe a demandé à son chauffeur de réserver pour lui une chambre dans un hôtel peu cher. Celui-ci s’exécuta et a fit la réservation à l’hôtel Benito, près du commissariat provincial.
19 heures. Les deux se mettent à trinquer. La bière coule à flot. M. Rwembe sable des liqueurs. Au moment de se dire au revoir, M. Rwembe sort son pistolet et tire deux balles. La première atteint le chauffeur à la tête, l’autre le rate. Le chauffeur est évacué à l’hôpital. Le tireur Rwembe s’enferme dans sa chambre jusqu’à 11 heures de ce jeudi quand la police décide de défoncer la porte de cette chambre. M. Rwembe est arrêté, sans coup férir. Il est conduit au cachot de la police judiciaire des parquets pour interrogatoire.
Signalons que Michel Nirweze fut cité et emprisonné à Gitega le 2 août 2012, accusé d’enlèvement, de torture et d’assassinat des gens lorsqu’il était commissaire adjoint de la police dans la province Gitega. Le nom de Rwembe avait notamment été cité dans l’assassinat de Léandre Bukuru. Ce militant du parti MSD d’Alexis Sinduhije fut décapité ; sa tête jetée dans une toilette. Rwembe sortira de prison en août 2013 sur décision de la Justice. Il avait dès lors réintégré la police nationale du Burundi.
Au gérant de la press « iwacu », je vous demanderais de relancer un débat « que pensez-vous de supprimer l’ institution policière dans les jours à venir »? Avec ma très haute considération, je vous prie d’ accepter ma proposition. Merci beaucoup
@Ragiryabohambere
1. Je crois que vous tombez sous le desespoir a cause de l’institution policiere (de la dictature du 3 eme mandat au Burundi) qui est utilisee par le pouvoir en place comme un instrument de repression et qui va jusqu’a tuer les citoyens qu’elle etait supposee proteger.
2. Avec une population de plus de 9 millions de gens, le Burundi a besoin de la force de l’ordre appelee « POLICE » pour eviter l’anarchie et/ou la generalisation de la loi de la jungle dans la societe burundaise.
sauf si le chaufeur est un haut connu par des tenors du regime,rwembe sera trés prochainement libre! au burundi on eprisone pas les malfaiteurs,plutot on emprisone les patriotes pour proteger les ventriotes!on emprisone aussi les democrates enfin d’eterniser les mangecrates! nous connaissonss la justice burundaise en amont et en aval! rwembe ne sera pas jugé(sauf par miracle) mais il sera justifié par contre!
Peut-on l’arreter pour le juger? Oh non, on va inventer une autre petite histoire pour le liberer, le pauvre chauffeur s’il n’est pas encore mort devrait etre acheve sur son lit d’hopital ou enleve tout court, pour que personne le poursuive le cas en justice!!!
Le Burundi a presentement besoin des criminels comme Rwembe, il n’est pas surtout permis de le perdre… HONTE A CES MAGISTRATS qui pretendent dire le droit alors qu’ils sont la pour signer l’injustice des Barundi. Quand la seule « methode efficace » de regler tout conflict est le choix de la violence en tuant, meme les petites differences quotidiennes sont reglees dans le sang des innocents. Ce criminel etait parti a Muyinga pour « quelle miission »? Une vie a peut-etre ete epargnee dans ce processus honteux.
Voila la justice Burundaise! Maudit gouvernement, et par extension, mandat!
Un criminel au service de la Nation,le Burundi est triste
Hahaha, voilà!! La spéciale justice burundaise, turabibona,turabivuga,turasoma amategeko yahirya n’a hino ,ntaco dushoboye gusa muri ako akajagari burundaise. Mais, qui vivra verra, ndabarahiye. » condamné en 8/ 2012 pour plusieurs chefs d’ accusation : assassinats, enlèvement , tortures de gens( innombrables) et couper la tête d’ un être humain vivant et la jeter dans la toilette « . Quelques mois après » en 2013″ il est libre et réintègre sa police. Tubuze ikibazo umwana wa 6e primaire : entre » tentative de putchs et ces cas de rwembe « . Général Ndayirukiye, héros national, Mandela burundais, prison à vie, sans possibilité de travailler en fonction publique pendant 20 ans. Uwo mwana yo tanga inyishu équitable. Umuntu yo kwibaza : justice ni ethnique canke divisionniste professionnelle? Ico kibazo ni ico kubasaba mwese qui me lisent, d’ aller réfléchir. Kuko sinze hamwe rwembe n’a » uwamahoro yapfungiwe i muramvya pour des meurtres commises à muramvya même quand il travaillait là bas. Après, il est libre et promu. Nibaza ko iyo ari honte pour la faculté des droits à UB isohora abanononsoye amategeko ngo bayate muri toilette. Complicité totale à tous les magistrats Burundi ,en non en fonction, qui ne se prononcent pas sur cette honte de violation des lois communes. Turabize ko, à haute voix bitoroshe, mais, il ya plusieurs d’ autres moyens de s’ exprimer. Akarorero murakabona, ingene les journalistes se dévouent pour honnorer leur engagement malgré mille et une difficultés. Akandi karorero,twebwe abanyagihugu dusanzwe, naho tutumvirwa,turahana hana imvyoyumviro naho atoco duhindura. Turerekana akatwubakiye. Murakoze mwese, abakunzi n’ abandi qui me lisent, nuko bimeze i Burundi bwacu.
« Il avait dès lors réintégré la police nationale du Burundi »… donc, la direction de la police au Burundi reprend dans son équipe un meurtrier ? Voilà le Burundi aujourd’hui : les criminels ont revêtu l’habit de la police. Edifiant… et consternant à la fois. Et l’on s’étonnera après qu’un pays qui marche sur sa tête ne peut pas avancer ?