«Le gouvernement du Burundi doit permettre à l’UA et l’ONU de surveiller et rendre compte de la situation sur terrain ainsi que la mise en application de la Résolution 2303.» Peut-on lire dans une déclaration sortie par le Royaume-Uni ce mercredi 14 septembre 2014 à l’occasion de la 33ème session du Conseil des Droits de l’Homme des Nations-unies.
«Le Royaume-Uni reste préoccupé par le risque de graves troubles civils au Burundi. Les violations des droits de l’homme continuent, y compris les disparitions, la torture, les arrestations arbitraires et la violence sexuelle.» Londres appelle toutes les parties à mettre le Burundi sur la voie de la paix et de la réconciliation. Il exhorte toutes les parties à s’engager dans le processus de dialogue initié par la Communauté Est Africaine (EAC) afin de trouver une issue à la situation.