Le président du MSD se dit favorable à la loi du talion, ce jeudi 22 août, en réaction à la déclaration du ministre de l’Intérieur lors d’une réunion avec quelques représentants des partis politiques et les gouverneurs des provinces, mettant en garde les politiciens qui appellent leurs militants à se faire justice.
« Nous allons réagir à toute provocation et j’en assume l’entière responsabilité et je ne retire aucun mot, aucune virgule, aucun point. Cette consigne va être donnée à tous nos militants, à la base », indique M. Sinduhije, président du parti Mouvement pour la Solidarité et la Démocratie (MSD). Et de préciser : « Nous avons interdit de provoquer et de proférer des injures. Nous avons demandé à nos militants de rester paisibles, pacifiques et de collaborer avec les jeunes d’autres partis politiques. »
Le langage ne diffère pas de celui du Front pour la Démocratie au Burundi (Sahwanya-Frodebu). Léonce Ngendakumana, son président, indique que les actes de barbarie des Imbonerakure et certains policiers ont été à maintes fois dénoncés. Or, regrette-t-il, le pouvoir n’a cessé de les qualifier de bandits, voire de fous et de dire que chacun va être puni individuellement. Et lorsque nous nous sommes défendus, indique-t-il, les choses sont revenues à la normale.
M. Ngendakumana signale qu’actuellement, ces actes ont repris dans certains coins du pays comme à Karusi où ces Imbonerakure réveillent les gens à coup de bâton pour les obliger à aller dans des rondes nocturnes.
Et comme le parti Cndd-Fdd n’assume pas qu’ils obéissent à ses ordres, Léonce Ngendakumana affirme que ses militants ne vont plus accepter d’être malmenés par des gens immoraux : « Nous allons demander à nos membres de ne pas se laisser faire. Nous n’allons pas les provoquer, mais chaque fois qu’ils tenteront de nous attaquer, on va se défendre, les appréhender et porter plainte après.»
Comme le ministre de l’Intérieur Edouard Nduwimana a déjà constaté qu’ils constituent un danger public, souligne le président du parti Sahwanya Frodebu, « qu’il vienne alors pour que nous puissions résoudre cette question des Imbonerakure ensemble.»
Jewe namye mvuga ngo tera iyo sema ,burya uwuguheneye ntumuhenere akwita ikiburanyo,ico nico twari twarabuze il faut que nos leaders bikangura bakangure ingabo zabo kirazira ko mugihugu cabasokuru bigira ibimana,erega izo mbonerakure turabana ntanguvu badusumvya kiretse inguvu zigipolisi nabone bagakoresha inkoho twabaguriye twibaza ko bagiye gucungera igihugu ariko dusanga nukwica benewabo nabone ntanguvu badusumvya vahasi umuriro tuwuzimishe uwundi erega bazobona ko ibisaka vyimbwa vyahiye bicare bahagarike ubwicanyi
1. C’est très bien.
Quand les voleurs à mains armées sont arrêtés et aussitôt relâchés sans être vraiment sanctionnés; la prochaine fois la population s’en charge. Idem pour la provocation. Donc, Il ne faut plus fuir, il faut résister.
2. C’est très dangereux.
N’allez pas trop loin. Il y a risque de dégénérer. Au Rwanda, 94 a commencé ainsi en 93, c’était exactement jeunes des partis politiques qui se faisaient des combats, et les inkotanyi infiltrés (souvent avec des véhicules sans plaques) en ont profité pour tuer certains leaders Hutu et vite exaspérés, c’est devenu Hutu contre Tutsi et l’implosion a été le Génocide dont les conséquences continuèrent en RDC, avec autant de millions de victimes. Attention au danger. Je suis sûr et certain que les burundais ne veulent en arriver là.
3. Somme toute : le Gouvernement doit agir à l’apaisement, les partis politiques devraient réconcilier VRAIMENT leurs jeunes. (D’ailleurs eux-mêmes (les politiciens) nous les voyons en toute convivialité dans différentes réunions qu’on a l’impression que ce sont des actionnaires d’une même entreprise qui se conviennent comment bien exploiter les employés que sont les militants !
4. Jeunes gens, ces politiciens après élections, vous ne les reverrez pas vous venir en aide en qui que ce soit, ce sont des voleurs de la Res Publica, et d’ailleurs on devraient les changer en créant une nouvelle vision des choses, et sinon si vous continuer à vous comporter comme des robots à leur solde, ils seront assurés vous êtes encore inintelligents et donc qu’ils peuvent faire de la Res Publica tout ce qu’ils voudront comme ils en font de vous.
a. Regardez leurs villas et comparer à la misère de la population.
b. Observez leurs enfants et comparez aux vôtres.
c. Voyez leur train de vie et demandez-vous d’où ils tirent cet argent pour cette opulence.
d. Vos jolies sœurs sont leurs putes.
e. Etc etc etc
Comprenez qu’il faut un changement dans la mentalité des jeunes d’abord et ne pas obéir aveuglement aux politiciens dont beaucoup sont scrupules. Réclamez plutôt une démocratie, une bonne gouvernance, une économie qui profitent tous les burundais.
A bon entendeur : Salut !
errata : -sont sans scrupules- au lie de -sont scrupules-
C’est une des voie de changer une société malade: aggraver la situation pour interpeller les consciences. Dans l’histoire , en Europe, il y a eu des mouvements ainsi, ex. le dadaïsme. La seule solution d’arrêter la barbarie des Imbonerakure et des DD c’est de leur montrer que la souffrance qu’ils infligent aux autres peut se tourner contre eux. On doit faire la même chose dans tous les domaines de la nation. Comme le gouvernement a opté pour voler tout ce qui est argent du pays, que tout Murundi fasse de même et les DD vont se rendre compte que la vie n’est pas possible. S’ils créent de l’insécurité, que tout Murundi fasse de même et ont finira par se rendre compte tous que nous ne pouvons pas continuer ainsi. Erega bari bigize surivu. La domination n’existe que quand le dominé l’accepte. Nous avons accepté que les DD nous malmènent et ils le font parce que personne n’osent dire non. Ou bien nous nous levons pour dire non à l’a souffrance et à toute oppression ou nous mourons tous.
Le feu attire le feu. Ceux qui veulent la paix et la justice ne cessent de crier pour faire arrêter les barbaries des imbonerakure. Malheureusement les représentants du peuple du CNDD-FDD comme ceux de l´UPRONA n´entendent pas les cris de la population qui lancent les cris d´alarme depuis des années. Il ne reste qu´à organiser le self-defense. Et combattre la peur par tous les moyens, si non les innocents vont se faire abattre comme des chiens enragés.
Ntimubona mwari mwaratevye ,turabashigikiye,hama baze bibonereko,voûta ni kuvute,oye
voila de bonnes initiatives qu’on doit saluer.a kirundo on les frappe souvent car les nziguhemuka kw’iragi rya ndadaye twarategereye kera ko atayindi nzira.il fallait que les autres prenent le meme chemin.uwugukubise ikofi nawe umukubite irindi disait sinduhije. Hari hageze
haaaaaaaaaaa! imbonerakure nizitware neza si non zigiye nazo kubona ce que c’est une « loi du talion ». iryinyo kurindi! ils se rendront compte que leurs actes ou comportements n’étaient dignes!
D’après Sinduhije, les Imbonerakure sont des « gens immoraux ». Ce politicien qui ose traiter les gens plus pragmatiques et stratégiques que lui d’immoraux ,et qui ose compter aller demander leurs voix, est-il digne de prendre part à la gestion de notre Pays? Des politiciens qui se cherchent encore? Ce jeune politicien risque de confondre le journalisme à la politique. Lors de ton Déplacement à Kabarore (Kayanza), tu as avoué de propres bouches que ton parti MSD n’a que quelques membres à la capitale seulement. Alors que jadis, tu niais une telle vérité. la Majorité des Burundais savent qui sont les vrais politiciens et c’est pour cette raison que des politiciens comme Sinduhije seront toujours étonnés. Avant de faire de la politique, assure-toi que les ingrédients sont réunis mais si tu veux jouer au Martyr, n’oublie que beaucoup de burundais ont de l’expérience dans ce domaine.
En 2010, lorsque tu as perdu les élections, tu es parti en vacances en Europe et tu sais combien tu as menti à tes quelques fans. Qu’est-ce que tu répondrais un jour, si un jour un de tes fans de demander pourquoi ta femme et tes enfants n’habitent au Burundi? Arrête de distraire ces quelques jeunes et de les pousser à se mesurer avec une foule de jeune Imbonerakure. Cher Compatriote, tu sais combien de moyens que disposaient l’Uprona et tu sais plus que nous quel a été son score (élections de 1993)? Et pourtant, il mentait à tout le monde qu’il va gagner les élections.
On te propose un défi: Si tu es un vrai leader et qui tu as étudié et vécu notre Histoire, propose à tes frères et sœurs tutsi d’organiser des états généraux des tutsi pour les convaincre de céder la part du gâteau à leurs compatriotes hutu et d’avouer leur part importante dans les événements qui ont secoué Notre Pays. ET que les hutus font face à leurs responsabilité.
Tant que les choses restent telles nous les voyons, ne compte pas gagner la voix d’un hutu dans les prochaines élections.
Construisons un Burundi dignes de Barundais!!!!!!!
C »est une bonne chose il dialoger avec ceux qui veulent le dialog ou se battre avec ceux qui veulent la guerre. il faut envoyer un signal fort au cndd
Je te donne raison, Alexis. Pour une petite histoire, une fois j’étais en mission a Cibitoke. Le commissaire de la police la bas a voulu m’agresser, mais .. »Je suis tres pacifiste, mais je suis allergique ku kabonero ». Ibaze mu Kabare ahaguruka akasanga aho niyicariye akambaza ngo uri nde ngo ukoriki aha » Nanje, reka mvuge wumve ko noba ndi umunyamahanga hanyuma umbwire ko hari aho nimiriwe comme citoyen Burundais. Avuga aba yankweze. Nanje nca ndamufata ishati. » Kugatima nari nzi ko namaze gupfa ariko nti mpfe nk’umugabo quand meme. Erega aba gardes du corps bari bamaze ku zi chargea. Haca haseruka abagabo, baca bandamutsa bavuga mon identité. Hélas pour le pauvre commissaire, nari mfise mission d’enquêter sur lui. A la Burundaise, lui et moi avions présente des excuses mais …suivez mon regard….Donc, il faut que désormais ces gens sachent que le Burundi nous appartient a nous tous, qu’ils ne se croient pas maitres et que les autres nous sommes des citoyens de seconde zone. En tout cas, pas moi. Nzopfa mvuze!
Aahhha, on voit que vous commencez à ouvrir les yeux chers politiciens. Qu’est-ce que vs attendiez ? Erega mudahagurutse bazobandanya babagenderako.