« Dès ce 15 décembre 2022, celui/celle qui s’adonnera encore à la fabrication, à l’échange, au transport et à la commercialisation des produits ne figurant pas sur la liste provisoire des produits fabriqués localement acceptables sur le marché au Burundi sera considéré comme auteur de rébellion et un dossier pénal y relatif sera confectionné à son encontre », prévient le ministère de l’Intérieur, du développement communautaire et de la sécurité publique.
Le 25 novembre dernier, le ministère du Commerce avait publié cette liste provisoire des produits acceptables et certains produits avaient été interdits « de production, échange, transport et commercialisation à cause de leurs effets néfastes sur la santé de la population et la vie du pays en général. »
Le 29 novembre dernier, le ministère de l’Intérieur avait ordonné à tous les administrateurs communaux, les commissaires provinciaux et communaux de la police de procéder au retrait immédiat des marchés de tous les produits fabriqués localement qui ne figure pas sur cette liste des produits acceptables et de fermer toutes unités de transformation qui travaillent dans l’irrégularité. Et de rappeler que cette liste peut être obtenue auprès des gouverneurs, des administrateurs communaux et des commissaires provinciaux et communaux de police. « Le constat est qu’il y a des cas de violation de cette décision parfois en jouant le cache-cache avec les chargés de la mise en œuvre de cette décision. »
Vous pouvez vérifier d’autres boissons alcoolisées qui dépassent le degré de l’alcool de 40 vol ‘ c’est très nombreuses ‘les burundais les consomment sans toutes fois nourrir et par après il y’a dédommagement des microganismes sanitaire ‘l’homme finira à mourir’.Il faut diminuer la doser
C’est bien d’homage que l’on lise tout le texte pour ne pas avoir la liste de ces produits. Je crois que informer le consommateur est aussi important que le vendeur.