Selon Dr Thaddée Nsabimana, porte-parole du ministère de la Santé, une équipe chargée de faire la surveillance du virus et d’autres maladies transfrontalières épidémiques va être réactivée. Des exercices de simulation vont commencer bientôt avec les équipes africaines de l’OMS en collaboration avec les pays de l’EAC, souligne le médecin. En plus de cette équipe logée au ministère de la Santé publique, l’Hôpital Prince Régent Charles a réservé un espace chargé d’accueillir d’éventuels cas identifiés.
A voir l’incapacité à réagir lors des plus diluviennes du début de l’année, je me permets de formuler un doute quant à la capacité de notre Etat à réagir, si on venait à devoir réagir devant un cas d’Ebola. Ne présumons de rien: wait and we will see, et formulons l’espoir que notre pays n’aura pas à faire face à des cas d’Ebola.
Certaines maladies qui tuent au Burundi tuentt par une négligeance toute locale. Tous cela est bien triste, car nous savons très bien qu’une réaction réfléchie et coordonnée peut sauver des vies humaines. Cela ne demande ni matériel sophstiqué, ni médicaments trop chers, cela demande juste des esprits avisés et bien décidés à dire: « ce patient ne mourra pas ». Cela vaut pour l’Ebola, mais aussi pour le choléra, et les autres diahrrées qui continuent à tuer dans notre pays.
Médecins et administrations doivent juste se mobiliser et cesser de courir derrière des Biriaka, pour se consacrer entièrement à leur travail. Cela porte un nom: le LEADERSHIP; un mot dont notre gouvernement ne maîtrise pas la déclinaison, hélas
Mwananiwe na Choléra mzoshobora Ebola? Mudashoboye gutunganya la circulation routière, muzotunganya ivya virus mutazi iyo izanana, itavuza bruit, itavuga, itumva. Mugiye mwaba abahinga pe!! Sinzi ko muzoshobora kuyipfungira ku Mpimba, canke muyitume imbonerakure ziyigandagure.
Nawe uvugana akagaye kenshi,comme si iteye uzoba uri epargne. harigihe mwibaza ko amahano ateye igihugu azofata abari kubutegetsi gusa.
Ushaka twese turote. Tureke kuvuga uko ibintu biri. None ga wa muntu w unaniw no kurwanya cholera, malaria, woshobora kurwanya Ebola yandukira d’une manière extraordinaire. Il faut être réaliste et reconnaître les faiblesses. Nta kwishira hejuru.