Jeudi 20 juin 2013, le ministre Adolphe Rukenkanya tenait une conférence de presse sur le bilan de son ministère, au premier semestre de cette année.
Les mots d’introduction de la conférence clairement signifiés aux journalistes renvoient au format d’un communiqué de presse, en fait : « Pas de questions aujourd’hui, ce sera pour la prochaine fois ! »
Le ministre dans la salle, place aux raisons de la satisfaction du ministère en charge de la Jeunesse, des Sports et de la Culture. la Au menu des points positifs, la bonne gouvernance d’abord : du haut cadre au simple fonctionnaire, tous respectent désormais les réunions régulières mensuelles, la propreté dans les enceintes du Ministère, les rencontres avec la presse et une gestion intelligente de l’eau, l’électricité et des communications téléphoniques.
Vient ensuite les actions menées au cours de ce semestre et qui ont contribué à la promotion du pays dans les trois domaines couvert par le ministère, à savoir le sport, la jeunesse et la culture. Dix, au total.
Dont la protection du patrimoine national, la promotion de la lecture publique, l’élaboration d’une politique « Stage Premier Emploi » ou le Ministère a pu permettre à 250jeunes diplômés d’obtenir un stage dans différentes sociétés privées et publiques (150 ont été embauchés). « Et comme vous le constatez, les jeunes du Burundi regorgent de talents et ne cessent de briller de mille feux : nous avons un artiste sélectionné aux prochains Jeux olympiques de la Francophonie de Nice (France) en septembre alors que Francine Niyonsaba ne cesse de nous impressionner dans le domaine de l’athlétisme » a ajouté le ministre Rukenkanya.