Le feu s’est déclaré vers 19h, juste après des tirs lors d’une attaque d’un commerçant du marché, tué par des individus non encore identifiés. Par après, les flammes se sont propagées dans le reste des kiosques, sous le regard impuissant des habitants, des commerçants, de l’administration et des forces de l’ordre massés tout autour.
Le camion anti-incendie de la police en provenance de Ngozi est arrivé sur place plus d’une heure après, sans possibilité de sauver quoique ce soit.
L’étendue des dégâts n’est pas encore chiffrée.
Avec la fréquence d’incendies que l’on observe dans le pays et qui causent un tort énorme aux petits commerçants et à l’économie nationale, le pays devrait inscrire parmi ses priorités la formation des pompiers et l’achat d’équipement en quantité suffisante pour le rendre disponible au chef lieu de chaque commune.
C’ est comme si on s’ attaquait aux maladies découlant d’ une mauvaise hygiène au lieu de s’ attaquer a la problématique de l’ hygiène elle-même, qui est la source des maladies.
On ne sait pas encore qui s’ organisent pour brûler les marchés et pour quelle raison ils le font. Ce sont des gens très bien organisés et outillés et ils sont plus puissants que la police qui n’ a jusqu’ a ce jour mis la main sur aucun d’eux. Le problème ne se situe pas au niveau de la capacité d’ intervention des sapeurs-pompiers, car même dans des pays ou ils sont mieux organisés et équipés, ils n’ empêchent pas les incendies déclarés de se propager. Par ailleurs, le Burundi n’ a pas les moyens d’ équiper chaque commune du pays tel que tu le suggères.
Barundi benewacu,uburundi n’ubwacu kandi turabusangiye twese ,ibiba muburundi nkugusha kw’amasoko birababaje ,ariko jewe sinumva twotana kw’umwikomo kuko kugeza ubu tutazi uwubikora,je ico nobasaba duce bugufi dusabe Imana idutahuze igituma yemera ko ivyo vyose bishoboka,Murakoze;
Bamwe barara irondo bari he? Notre gouvernement généreux et aimant, yamaze ‘kugira uko ishoboye kugira ngo irondere amahera yo kudutabaza iyindi’.
Avec à peu près 10 marchés en moins de six ans il est difficile de croire (même pour enfant de 5 ans) que le feu qui ne vise que les marchés soit toujours accidentel.
Si ce n’est pas accidentel il faudra à ce moment prier beaucoup parce que le pays aurait face à lui des réels ennemis de la nation.
Ntitubeshanye. Nabo bagabo bashaka ubutegetsi hasi hejuru baturira ayo masoko bafatikanije na BA extremists BA BA………. Turazinanye, abarundi baribakwiye kumenya umwansi uwariwe bakamugwanya bivuye inyuma.
Hahahaha..
Uraraba neza la loi contre les rumeurs iragukorako kuko uriko ubeshera abantu.
Mayina quand on accuse l’opposition on ne risque rien du tout.
Iyo argument yawe nayo nibaza yuko woyibwira abana nahone bato ngira nibo boyemera
A malin malin et demi
Qu’attendent les responsables pour démissionner ou être limogés? Faut-il attendre que le dernier marché du Burundi prenne feu? Et il paraît que le ministre en charge de la protection contre les incendies est celui qui a été primé le 1er Mai dernier! Pitoyable!
Une partie de la réponse à l´origine des incendies répétitives de certains marchés ces derniers temps serait-elle peut-être à trouver dans la déclaration d´Édouard Nduwimana (DOUDOU) à l´assemblée nationale après l´incendie du marché central de Bujumbura. N´avait-il pas affirmé, avec quelle arrogance, que cela relève de la volonté de Dieu qui voulait qu´on ait un marché très moderne? Il nous a parlé ici d´un Dieu et on n´a pas trop voulu savoir de quel Dieu il parlait. DOUDOU n´est-il pas originaire de KAYANZA? Peut-il aussi encore affirmer que c´est la même volonté du même (son) Dieu qui est en train de donner aussi un marché moderne à sa province d´origine? Ne soyez pas étonnés si vous entendez prochainement DOUDOU ou l´une ou autre autorité originaire de cette province dire: « Twari dukeneye isoko ya Kijambere. Tugiye gukora ibishoboka iryo soko rihere vuba, nakare iyo soko yahiye yari iy´infatakibanza ».
Les bdais vous aimez seulement critiquer pourquoi tu impliques Edouard? Vous ne pouvez pas être tous à sa place; kdi nawe uwohagushira wosanga ukoze moins que lui au lieu de critiquer il faut donner des voies de sortie
Nibaza ubu hoho kwatari ya mana imwe yaturira y’ibujumbura yaturiye iyo mu kayanza.
Jewe nama mvuga bikanka mvuga. Abaturiye iyo soko ni ba nde? Kuki bayitabara haciye isaha iriko iraka? Hooooo! Ubwo ni uburyo bwo gutegura amatora. Amatora abaye abanyagihugu bakenye, naho bazobaha ikiyoba ca cinqante bazoca babatora kuko birazwi ko ata jambo ry’umukene. C’est dommage vraiment.
@Rukesha niwaba mukugira wubake inzu muhira iwawe utangura guturira iyo wari ufise hanyuma ukangara n’umuryango wawe, uraciye ubwenge kabisa!
Mes Chers amis turakwiye guca ubwenge!!!
Mais ndaguye ndagarutse; Umuntu inderoo yahawe niyo akurana
Kandi harya ntawugira ubwenge canke se ubukerebutsi abavyeyi biwe batamuciriye inzira ngo aronke ubwo bukerebutsi;
Muyandi majambo, abavyeyi bawe ari Injiji(en Kinyarwanda) utaronse uwukugarukira upfa nkabo.
C’est le sort qu’ont subi (ou que subissent) beaucoup de filles qui ne sont pas allées (ou qui ne vont pas ) à l’Ecole sous pretexte qu’elles sont faites pour s’occuper du menage: Les Parents
Qu’est ce que je veux dire par là?
Nous avons les dirigeants (Père de la nation) qu’on pourrait comparer à un tronc d’arbre et la population nous sommes comme de branches, si le tronc absorbe du sol de la matière toxique, toutes les branches seront affectées.
Donc avec des dirigeants qui e voudraient pas du bien au pays, aucun peuple n’aura cette idée de patriotisme et les dirigeants recolteront ce qu’ils sont en train de semer. s’ils nous apprennent à tirer, on va tirer au marché de Kayanza et bientot à Ngozi.
Qu’est ce qu’il faut alors?
=> Reforme dans l’administration depuis le niveau Central jusqu’à l’Administration locale afin de savoir ce qu’un bon dirigeant doit faire et les sanctions qui l’attendent une fois passer outre ce qu’il devrait faire!
Sinon attendons nous au pire dans les années à venir!
Iyaba yar´uwundi yaca atanga imihoho, kuko ngira aratanguye kubona ko ku ntwaro yiwe ubugesera bwadutse kuva akihaja.
Ministre de l´intérieur nawe ari kubesha muri Norvège.
C’est vraiment très regrettable car ça fait déjà à peu près deux ans que les marchés brûlent sans que le pouvoir mette la main sur les malfaiteurs qui semblent être bien organisés et déterminés à brûler tous les marchés du pays. Cela donne à réfléchir:
-. D’une part, on peut dire que ce n’est ni une malédiction ni une catastrophe naturelle. Sinon pourquoi les marchés sont brûlés la nuit? La catastrophe naturelle frappe à tout moment et n’a pas besoin de se camoufler loin des regards humains!
-. D’autre part, il est clair que ce n’est n’est pas l’opposition (ADC – Société civile) qui brûle ces marchés pour ruiner l’économie du pays et affaiblir davantage le pouvoir comme voudrait le faire croire une certaine opinion. La raison en est que, sans pouvoir politique, sans protection policière ni couverture de la documentation, si ces marchés étaient brûlés par l’ADC, la documentation aurait déjà mis la main sur l’équipe depuis deux ans que les marchés brûlent!
-. Ce qui est marrant enfin: Le pouvoir actuel peut-il organiser de brûler les marchés qui constituent sa seule source de revenus (OBR) depuis que les bailleurs de fonds boudent de financer le Gouvernement? D’autant plus que beaucoup de dignitaires du régime, surtout les militaires, policiers et députés sont aussi actionnaires dans ces marchés? C’est ici l’ENIGME!
Personnellement, je crois qu’on peut trouver le problème au niveau de la science des religions. Avec l’anarchie ambiante qui règne dans le domaine de la religiosité depuis un certain temps, le Burundi fait face à un groupe de gens très forts ( de toutes les ethnies et obédiences politiques) qui œuvrent déjà dans des pratiques occultes et maléfiques: les sectes; non pas comme on a l’habitude de qualifier les petits groupes de prières, mais plutôt les organisations secrètes du genre de celles qui on gazé les métro de Tokyo ou de New Delhi et ailleurs ou ceux qui appellent souvent au suicide collectif aux USA. Ce sont ces organisations qui, à défaut de trouver des moyens de sacrifier en masse des vies humaines, en subsidient les biens des gens (animaux, biens matériels, etc.) car les pactes qu’ils concluent avec les esprits maléfiques sont obligeants et périodiques. De l’autre côté, on peut penser également aux maraboutages des ambitieux politico – économiques à faiblesse d’esprit.
Une question demeure alors: POURQUOI LA DOCUMENTATION BURUNDAISE RÉPUTÉE SI « PUISSANTE » NE MET-ELLE PAS LA MAIN SUR CES RÉSEAUX DE MALFAITEURS? Une chose des deux: ou elle est complice ou elle est faible! Dans les deux cas, ses chefs devraient démissionner ou être limogés car, après les marchés, viendra le tour des édifices publiques (la BRB!!!???), Églises et mosquées, maisons des gens et après ça sera le tour des vies humaines.
Quoi qu’il en soit, même sans y être mêlé, l’image du pouvoir en sort noirci. Et, Hutu, Tutsi, qui qu’on soit, personne ne peut être fier d’un pouvoir incapable de protéger ses biens! Car, sans sécurité de ses biens, on n’a pas de sureté pour sa vie et sa propriété. Ceux du pouvoir qui ne le comprennent pas, auront le temps de le comprendre par la surprise en 2015! Malheureusement pour nous et heureusement pour eux, il semble que même le plus malvoyant a déjà vu qu’il n’y pas encore d’alternative inspirant espoir!
Que faire alors? La prière comme disait l’autre? Malheureusement, il semble que Dieu ne se mêle pas de ces choses!
Le malheur ne vient jamais seul, dit-on !Cet attentat est l’ouvre, peut-être par al-shabaab pour punir l’engagement de l’armée burundaise ou un autre groupe terroriste à identifier par les services de la documentation burundaise. Par humilité, il fallait demander le voisin d’outre Akanyaru pour aider à maitriser vite l’incendie. Il vous faut aussi développer les interventions rapides, avec des véhicules anti-incendie dans chaque province.
Sinon, quelle leçon avez-vous tiré de l’incendie du marché central de Bujumbura en 2013?
Kubera ata soni tukifise ku maso, twoshobora kwubahuka gusubira gusaba ababanyi bacu bo mu Rwanda ngo baze kudufasha kuzimya imiriro twebwe nyene twakije.
Mwese ba mureka kuvuga ivyo mutazii shaa:isoko ihiye kugira haze iyindi nshasha ya kijambere;mwibaza ko iyo baba bara prevenye les commerçants bakabasiguriraa ko bafise un projet yo kwubana,je mets ma main à couper ko ces commerçants n’auraient jamais accepté,pire,ils auraient meme fait la greve;aho je ne parle pas des societés civiles qui zoca zi metta à coeur joie à relayer leurs mecontentements!!!Et c’est la communauté internationale qui en ferai tout un drame!!
Donc faisons juste la part des choses dans nos commentaires
Nta wewe nta Edouard Nduwimana
Nta pouvoir dufise iburundi nta bucamanza. None isoko yibujumbura amatohoza mubona hari icavuyemwo. Ntibgira isoni abo kuntwaro yubu niguhohotera abantu gusa. Vyose numucafu. Hari inzara ubushomeri ubwicanyi ubusuma gusahira kurenganywa ubusambanyi bwo kunguvu abasambanya abakobwa babo abasahugwa utwabo izuba ryaka abangazwa abo bose ntibahanwe aba avocats basigaye nabo babariha kugira uwaburanira atsindwe akwigenzako akagusaba amahera yumurengera nawe atayo ufise benewacu turagowe naho tugitwenga
Seule la BRB a été miraculeusement sauvée, mais pour combien de temps? Qu’ on fasse urgemment un inventaire des marchés qui restent à brûler et qu’ on prenne des dispositions pour prévenir les catastrophes. Sans être alarmiste, on dirait que tout le pays est en faillite.
Voilà des sujets dont la justice si vraiment elle existe au Burundi devrait s’en saisir. Mais voilà qu’elle ne fait que chercher des innocents. Des gens qui lui donnent des traces des actes terroristes sont pourchassés et mis en prison.
Traiter des cas comme le falcon 50, les assassinats de muyinga et kamenge, dossier manirumva, les pyromanes qui ne cessent de rendre notre pays au plus bas,… saisissez-vous de tels actes pour être à la hauteur.
Le peupme burundais n’en revient plus sur la questions des marchés qui prennent feu l’un après l’autre. Je demande une étude minitieuse et indépendante sur ce phénomène qui est devenu un iceberg de ce règne NKURUNZIZA. Cette étude devrait être urgente et impartiale et serait faite des universitaires chevronné sdans le domaine et no des néophytes.
Ne vous étonnez pas beaucoup, il y´a une loi en préparation en cachette aui exigera les commercants de faire assurer toutes les marchandises aux marchés. a société d´assurance est privée.
Akari inyuma karahinda, c’est etonnant iyi micanwa qui ne visent que les marches,kiosques et concorts,notre pays est en faillite naho abadutwara badashaka kuvyemera, rien ne va on dirait que tous les malheurs se sont invites chez nous: la pauperisation de la population,une corruption endemique.la mediocrite des cadres de l’etat sur fond d’ arrogance aveugle, et quoi encore!!!!
Le Cndd fdd finira par detruire ce pays.
Harageze ko twikurako runo rusyo.
la plitique des DD KENESHA BOSE BASIGARE BADUPFUKAMIRA continue en s’emparent de leurs biens dans tous les voies possibles demains serai GITEGA comme dit l’honnolabre MANACÉ abo bagabo nimuze dusenge gusa ndamuntu yobashobora atari IMANA kuko yararungitse intumwa yayo umu pasteur avuye mu RWANDA baciye bamupfunga. je suis sur et certain que ari bo baturira ayo masoko nabanyagihugu ubu barabizi atariko ntanumwe yocira amate adashaka gusezera iyi si abana basigare ari imfyuvyi. MANA TABARA ABANA BAWE KUKO TURAPFUYE IMBERE Y’ABANA ATACO TURI BUBAHE NGO BAFUNGURE
le peuple Burundais est entrain de subir le coup dur,les politiciens sans maturité,qui sont pret à sacrifier le bas people pour leurs interest,agissant toujours comme barbares. les burundais souffrent et vivent la pauvreté au quotidien, et les voyoux politiciens continuent à les
enfoncer dans la misère. vous brulez le marché, vous penalisez les bas peuples, soyez sérieux.
Tuzokwumva ryari que sont les affaires qui font l’économie du pays !pas la politique, abantu bose bama barutana c’est la loi de la Nature. Uyu musi ni we ejo n’umwana wawe, rungika abana banyu mu mashule. Bige imyuga igihugu kirakeneye abize imyuga. bose ntibashobora kugira za Université imyuga irakenewe.
….et surtout les weekends!!
ewe Burundi waragowe.!!!!!!!!
Je crois qu’il y a malédiction! Allez voir si tous ceux qui exercent en commerce dans nos marchés sont réellement des humains et pas des esprits!!!
Le marché n’était certainement pas assuré contre l’incendie, je suis prêt à parier. Et le prochain marché à brûler n’est certainement pas encore assuré; et ne le sera pas malgré ivyo tubona. Ariko ntaco, Abazungu bazotwubakira izindi marchés.
Quant à nos commerçants qui auront tout perdu, c’est leur affaire, l’important est leur vote en 2015. Sauront-ils que ce vote peut sauver ceux qui ne seront pas tout-à-fait ruinés. Moi j’en doute!!
Il ya une politique qui n’est pas officielle, mais qui se voit sur le terrain. C’est celle de brûler tout sur son passage. Le suivant qui dirigera, trouvera du cendre..
Pauvre pays,administration et agents de l’ordre qui assistent et ne peuvent rien faire.
Pourrions nous changer nos façons de prier ? Dans une main, la bible et les gospels à la bouche alors que nos disciples sont entrain de tuer, de voler et d’emprisonner. Pourquoi cherchez-vous ailleurs cette malédiction. Il est temps que l’on cesse de servir deux seigneurs.
Hezagirwa wewe Mukunzi qui voit ce que beaucoup d’ entre nous ne voyons pas. Akataraza kari mu nyuma aussi longtemps que certaines autorités invoqueront le Dieu Tout-Puissant pendant le jour pour être vues du peuple, qu’ elles prieront et feront des sacrifices et autres offrandes à Satan pendant la nuit, et que leurs oeuvres au quotidien seront diaboliques. C’ est cela la triste réalité. C’est regrettable que la colère de Dieu s’ abatte sur tout notre peuple suite à l’égarement de ceux qui nous gouvernent.
Mathieu ivyo nivyo kandi benshi bakora uko kubivuze, ndibaza ko ababa hiyo iburundi ko mumaze kubibona cane cane benshi bikinga inyuma yamadini, emwe ntihagire ikindi wumva mukanwa kabo atari mana mana, canke naho ugasanga abo bantu bigira abashingantahe, abantu batinyitse, bakomeye, niyo umusavye aga service ntakakugirira cane cane iyo uri nyarucari akubwira ngo tuzobiraba uzosubire undondera, imyaka ikagenda niyindi niyindi ugahava uheba. Nibo babo rero nibo bica bagakiza nibo bafukamye igihugu munda none raba amapfa ariko atuma abantu basubira kuja gupagasa murwanda na tanzaniya.
L’incendie à la mode au Burundi. Voilà comment on veut empêcher les simples gens à vivre.
Une question si les marchés ,par conséquent l’économie du Burundi est menacée pourquoi ne pas instaurer le système de surveillance publique et éviter ces kiosque en bois. Ou bien on prend des mesures sans doute coûteuses ou bien on périt.
Des fois je me demande ce qu’on a fait pour mériter tout ces problèmes
Comme si les marchés déjà brûlés n’avaient pas suffit; aucune leçon! S’agit-il d’un spectacle si amusant?
reste à savoir le marché qui est le suivant sur la liste
Je ne pourrais plus croire a de simples accidents d’incendie, plutot a une grave criminalite economique a voir le nombre de marches brules ces derniers temps. Mais, je me demande une ptite question: Qui peut se sentir soulage par des catastrophes de telles ampleurs!
Seigneur Jesus, veuille transformer les coeurs des malfaiteurs afin qu’ils deviennent tes instruments de paix et de concorde de notre cher pays, le BURUNDI, Amen.
Ivyo vyo nibiki? C ‘es à la mode, akabi gatwengwa nkakeza .
C’est très grâve à tel point que l’on n’a olus de qualifications. Hier c’était des kiosques à Ngozi, seulemet avec un jour d’intervalle c’est le tour de la province voisine de Kayanza. L’on dirait que le tout est programmé. Il faut être vigilant. Le pouvoir doit eclaircir l’opinion à propos de ces incendies répétitifs.
Les incendies…une nouvelle épidémie au Burundi! Qui nous en veut à ce point?
None izo soko ni mputu, ntutsi, ntwa, opposition, societe civile canke DD! Harakenewe kwigisha abantu kuvyerekeye itunga ry umuntu, ry abantu niryo tunga ry igihugu ni ukuvuga rya bose kuko abarema iryo soko barabugura amahera akinjira mu kigega c igihugu hanyuma agasabikishwa mu buzima bw igihugu mu ntara zose.
Muntu uturira isoko, nta mahoro ufise ku mutima , uri umwansi w ubuzima, usa n umuntu aroga isoko.
Ndahojeje abahejeje kuburira mu Kayanza uwo muvukanyi n ababuze uburaro n uburamuko mw isoko.
Nosaba abategetsi ko boshira imbere mu kugura imodoka zizimya umuriro mu ma provinces yose kandi n aho bobo batafise uburyo amakungu arashobora guterera muri ico gisata.
Mwihangane bavukanyi, uwuhomba ahomba nyina.
Ntivyoshoboka ko borondera imiduga yokuzimya umucanwa mu gihugu hose, kugira,umugabi wabo uje mungiro.
Les incendies visant surtout les points sensibles de l,economie nationale,les pluies dillyviennes emportant des vies himaines,du desordre social e(manifestations incessantes) economique(corruption),chomage,chute du pouvoir d,achar,…qui sauvera le Burundi a part une prise de conscience citoyenne? Si ve n,EST pas tard,Il et temps
C’est la politique » du burundi brule »