Dimanche 24 novembre 2024

Politique

Le gouvernement appelle la Communauté internationale à renouer les relations

08/10/2015 22
Gaston Sindimwo : «La violence est une voie sans issue.»
Gaston Sindimwo : «La violence est une voie sans issue.»

« C’est fort dommage que, pendant que le gouvernement burundais fait des efforts pour ramener la paix, des pays amis n’hésitent pas à prendre des sanctions», lance le premier vice-président de la République à l’issue d’une réunion tenue ce mercredi 7 octobre avec les membres du corps diplomatique.

C’est dans l’objectif d’offrir à la Communauté internationale une plateforme d’échanges et essayer de renouer les relations. Cette rencontre a vu la participation de plusieurs ambassadeurs comme celui des Etats-Unis, de l’Union Africaine, de la France, de l’Union Européenne(UE), etc.

Dans son discours d’ouverture, Gaston Sindimwo a condamné les sanctions prises à l’encontre des quatre membres des forces de sécurité : «C’est de la pure injustice! Au lieu de punir ceux qui causent l’insécurité, on punit ceux qui assurent la sécurité».

M.Sindimwo demande à la Communauté internationale de reconnaître les progrès réalisés, comme la mise en place des nouvelles institutions, et de se raviser. « En réalité, décider de suspendre la coopération avec le Burundi signifie apporter un soutien à peine voilé aux détracteurs des institutions démocratiquement élus», affirmera le premier vice-président de la République.

Dans sa conclusion, M.Sindimwo pointe du doigt les jeunes comme source d’insécurité: « En déposant les armes, ces jeunes, qui prennent en otages de paisibles citoyens dans certains quartiers de Bujumbura, nous épargneraient de ces multiples cadavres ramassés au quotidien.»

Interrogé sur la récente déclaration «incendiaire» du parti Cndd-Fdd envers l’UE, Gaston Sindimwo martèle : «Je ne suis pas ici pour représenter le parti, mais le gouvernement !»

Cette rencontre s’est poursuivie à huis clos. Les journalistes ont été priés de sortir au début des échanges mais Ambassadeur d’Allemagne au Burundi, Bruno Brommer confie qu’ils étaient riches, ils ont essentiellement porté sur l’insécurité qui prévaut au pays. «Nous espérons que le gouvernement tiendra compte des interventions des uns et des autres pour trouver une solution. Mais il faut arrêter la violence ! », appelle-t-il.

Forum des lecteurs d'Iwacu

22 réactions
  1. Nana Kofi Akoto Ghartey

    Ce Gouvernement cherche a exclure des burundais et s’attend en retour a ce que la Communaute Internationale s’apitoie sur son sort. C’est ignoble!

  2. Stan Siyomana

    1. L’on ne peut s’empecher de rever (a haute voix?) et de s’imaginer ce que serait devenu/ ou peut devenir le BEAU PAYS DE MWEZI GISABO si ses dirigeants (dont Gaston Sindimwo, 1 er vice-president de la Republique) en avaient fait/ou allaient en faire un ETAT DEVELOPPEMENTISTE comme l’Ethiopie.
    (Voir Meles Zenawi, 2006: « African development: dead ends and new beginnings », http://www.eidmon.com).
    2. Au Burundi sous la DICTATURE DU 3 EME MANDAT PRESIDENTIEL, il faut bien que ce soit le 1 er vice-president de la Republique qui aille lui-meme verser des larmes de crocodile a propos de la soi-disant « cooperation » entre le Burundi et la Communaute internationale EN ESPERANT QUE LA MEME COMMUNAUTE INTERNATIONALE VA BIEN VOULOIR LUI ACCORDER UNE AIDE DE QUELQUES DIZAINES DE MILLIONS DE DOLLARS.
    Et ce n’est pas du tout une exaggeration que de dire que  » Sinon son regime pourrait s’ecrouler d’un moment a l’autre, sans cette aide ».
    Par contre en Ethiopie, l’on parle d’un GRAND CONTRACT COMMERCIAL DE 21 GROS AVIONS D’UNE VALEUR TOTALE DE 2,5 MILLIARDS DE DOLLARS AMERICAINS.
    La fermeture de US Export-Import Bank en juin 2015 rend difficile l’achat de ces avions.
    (Voir Reuters: « Ethiopian Airlines: Ex-Im Bank saga creates risk for Boeing jet orders », http://www.engineeringnews.co.za, 9? October 2015).
    3. Quelle grande difference de vision et de perspective entre le Burundi (de Gaston Sindimwo, 1 er vice-president de la Republique) dont le budget annuel depend de l’aide internationale a plus de 50%, et l’Ethiopie (de Tewolde Gebremariam, president directeur general/PDG/CEO d’Ethiopian Airlines) qui est capable de participer dans la competition pour le developpement du transport international aerien!!!.

  3. Jereve

    Commencez d’abord par renouer les relations avec vos frères et sœurs que vous qualifiez d’opposants, insurgés et terroristes; les relations avec la communauté internationale suivront naturellement.

  4. hat

    Hourra, Iwacu n a pas fermé le site pour les commentaires. Le 3e mandat est une voie sans issue et a déjà fait des centaines de victimes et des emprisonnés par milliers. Notre Nkurunziza persévère dans l erreur et envoie son garçon de courses expliquer l inexpliquable. Après que la sous région s en soit lavé les mains à la pilate Afrique du Sud, Tanzanie, Kenya,Ouganda seule l UE tente de raisonner le cndd fdd.
    Merci à l UE et honte aux Tanzaniens,kenyan et autres dans la sous région pour leur silence complice de la mise à mort des accords de Arusha.

  5. Ntahitangiye

    Vos commentaires manquent de réalisme:
    Comment interpréter la présence de ces nombreux diplomates (voir l’image) autour du Premier Vice-Président , une autorité après une élection qualifiée de  » non ceci et de non cela ».
    Ces commentaires montrent l’ignorance de la logique de la politique. Le défunt Président Omar Bongo du Gabon disait : » En politique, il n’y a pas d’amis, il n’y a que des intérêts ».

    • Stan Siyomana

      @Ntahitangiye
      1. Ce qui importe est que le citoyen burundais lambda s’est deja exprime sur L’IMPOPULARITE DE GASTON SINDIMWO, puisqu’il vient du parti UPRONA-aile Concilie Nibigira (laquelle aile n’a pu meme pas pu avoir les 5% des voix exiges pour etre represente valablement dans les institutions).
      2. Ce qui importe a propos de L’IMPOPULARITE DE GASTON SINDIMWO est qu’il est toujours decrie par des centaines de milliers d’Upronistes.
      3. Ce qui ne change rien a L’IMPOPULARITE DE GASTON SINDIMWO est qu’en tant que 1 er vice-president de la Republique du Burundi et a sa toute premiere rencontre avec le corps diplomatique, IL N’A REUSSI QU’A RASSEMBLER AUTOUR DE SOI cette soixantaine de personnes qu’on voit sur la photo (c’est vous qui insistez sur le nombre!) alors que meme l’humble enseignant burundais parvient a s’entourer d’une centaine de gamins dans sa classe.

  6. Guideos

    Le parti insulte d’une facon la plus virulente (pour ne pas dire ici « ridicule ») l’UE pour ensuite demander des aides le jour suivant!!! Pourtant pres de 50% de notre budget vient de la….Vous ne voulez pas aucun etranger dans le dialogue, ni meme aucun de leurs conseils (nous sommes un peuple souverain, sommes-nous???) et en meme temps on a besoin de « renouer les relations avec eux ». La brave Russie n’est pas di dupe….
    Des policiers qui tuent des manifestants, qui torturent des enfants avec des methodes tres violentes jamais imaginnees, sont-ils entraim « d’assurer la securite des Burundais »???

  7. Stan Siyomana

    Meme sans avoir ecoute tout le discours de Gaston Sindimwo, 1 er Vice-president de la Republique du Burundi, l’on peut deceler que MALGRE TOUTES SES HAUTES RESPONSABILITES, il n’a qu’une mauvaise comprehension de ce qui se passe aujourd’hui au BEAU PAYS DE MWEZI GISABO.
    1. « …DES PAYS AMIS n’hesitent pas a prendre des sanctions ».
    Meme dans la vie courante, quand vos propres amis vont jusqu’a se trop facher contre vous, vous devriez vous dire : « Normalement mes amis ne me veulent que du bien, ici je dois avoir commis une faute trop grave… ».
    2. « …on punit ceux qui assurent la securite. »
    Tirer avec des balles reelles sur les manifestants (dans les differents quartiers de la ville de Bujumbura), recourir a des executions extrajudiciaires n’est pas du tout la facon d’assurer la securite des citoyens burundais au 21 eme siècle. Ce sont de graves violations des droits de l’homme, ce sont des meurtres sur lesquels la Cour Penale Internationale de La Hayes en Hollande devrait se pencher.
    3. « detracteurs des institutions democratiquement elues ».
    Les elections de 2015 n’etaient pas du tout democratiques et elles ont ete vivement critiquees par la Communaute internationale.

  8. Citoyen B

    I am sure that world out there is not gullible and sees further. They saw all coming.They are witnessing the chaos since the beginning.
    At their home the credibility is very important. A brazen falsification of the facts is harshly punished by the law. A dog is called by its name but has its rights. So we have to seriously and honestly clean up our backyard and show it in order to be reliable, and establish good relationship with them, and get their supports.

  9. roger crettol

    *Hors sujet*
    Je respire – l’abscence de champ de commentaires m’avait un instant ce matin fait craindre le pire.

    IWACU, une des rares plateformes d’imformation encore ouverte. Merci pour cet espace de liberté offert, et défendu !

  10. LOVE BURUNDI

    @Gaston Sindimwo
    Il faut que t’arrêtes de prendre les Burundais pour des idiots, des pigeons … !!
    @Gaston Sindimwo et compagnie, veuillez svp arreter de dire : » des institutions démocratiquement élus  »
    Peter et sa clique (dont tu fais partie) se sont accaparer le pouvoir. Tout le monde sait que les pseudos élections étaient de la poudre aux yeux pour une consommation externe, Autrement dit, continuer à recevoir les millions d’aides au Nom du Burundi. Malheureusement pour vous, les Burundais (les courageux) se sont levés pour dire NON, SINDUMUJA.

    Vous voulez un dialogue, voiçi ce qu’il faut faire.
    1. Peter, dégage
    2. Un gouvernement de transition neutre, pour max 1an.
    3. On met en place un processus pour désarmer la milice

    Pour info. : Je ne suis pour aucun parti politique !!! I just LOVE BURUNDI

  11. Ntahitangiye

    « Dans son discours d’ouverture, Gaston Sindimwo a condamné les sanctions prises à l’encontre des quatre membres des forces de sécurité : «C’est de la pure injustice! Au lieu de punir ceux qui causent l’insécurité, on punit ceux qui assurent la sécurité»
    1) A rectifier: » Gaston Sindimwo » en « Monsieur le Premier Vice-Président Gaston Sindimwo » . Respect même si vous n’êtes pas d’accord avec lui.
    2) Ma conclusion sur son discours d’ouverture est que ceux qui ont condamné ceux qui assurent la sécurité préféraient l’insécurité au Burundi.

  12. Lead

    1. Mr Gaston Sindimwo parle d’institutions “démocratiquement élus”. Testons-le.
    2. Selon la Constitution burundaise, le 1er Vice-President de la République est choisi parmi les élus. Or Mr Sindimwo n’a été élu ni aux législatives, ni aux communales, ni aux collinaires. Bref, c’est un non-élu pur jus mais il est Vice-President, en violation flagrante de la constitution.
    3. Et, comme si c’etait pas assez, le voilà qui, toute honte bue, accuse les autres de semer l’insecurité. Quel cynisme!

  13. Jambo

    Est ce un appel au secours déguisé?Dernièrement ,quelques gens du pouvoir disaient pouvoir se passer des occidentaux en faisant fi de leurs conseils,maintenant on voit qui a besoin de qui.Le pouvoir a sans aucun doute besoin de sous mais pas de conseils politiques,c’est la deuxième vice-présidence et non la première vice présidence qui a normalement les affaires économiques dans ses attributions.Paradoxal! Sindimwo saura t-il relever le defi?

  14. ntazizana

    Rekura ubwo butegetsi mwihagiye ku nguvu. Aho basemerera bahanura mukica amatwi, mwagira Ngo bariko barafyina. Abababwira bati’ kwiba ingoma ntibigoye nko kuronka aho uyivugiriza!
    Subiza ubutegetsi!

    • Gilles Bukuru

      Mbe sha ubwo butegetsi babusubiza bande ? ko abarundi bene igihugu bitoreye bagashira imbere imigambi ya CNDD-FDD, nayo ubu ikaba iriko iratunganiriza abenegihugu bose,ndetse kubafise ibibazo ikaba yabatumiriye mubiganiro, none aba bandi barundi uvuga ni bande? namba ari ivyaduka uvuga,nimwikubite agashi mwoye kugwanya ishaka ry’abanyagihugu biciye mubugizi bwanabi.

      • Stan Siyomana

        @Gilles Bukuru
        1. Ce n’est pas du tout vrai que  » Les Burundais ont considere avant tout le programme et les projets du CNDD-FDD, et ce parti est en train de les mettre en application pour tous les citoyens… »/Ko abarundi bene igihugu…
        Malgre les Accords (inter-burundais) de Paix d’Arusha de 2000, on a encore une fois jouer la carte ethnique lors de ces elections de 2015:
        « La population rurale qui est a majorite hutu, n’a pas encore oublie la guerre civile qui s’est terminee en 2005. L’ancienne generation en particulier croit encore que Nkurunziza, un ancien chef rebelle, doit rester au pouvoir/has to remain president pour la proteger contre ce qu’elle considere encore comme le danger de la part des Tutsi/in order to protect them against what they still perceive as a Tutsi threat… »
        (Voir Ilona Eveleens: « A land frozen in time. Burundi then and now- real reason Nkurunziza « won » a 3rd term, and his big trump card », http://mgafrica.com, 31 July 2015).
        2. Et meme si la DICTATURE DU 3EME MANDAT PRESIDENTIEL AU BURUNDI avait un programme quelconque socio-economique a realiser (et j’aimerais bien savoir ou il a ete annonce ou publie):
        a) L’economie et la productivite dans le pays sont trop petites pour ameliorer la vie des 10 millions de citoyens burundais.
        Si l’on considere le produit interieur brut (PIB) du Burundi qui etait estime a 2,7 milliards de dollars americains pour 2013, ca prendrait a la Chine a peine un seul jour pour produire de tels biens et services.
        (Voir Christine Mungai: « Embarrassing? How long it takes China to create the equivalent of an African economy? », http://mgafrica.com, 1 July 2015).
        b) Comme le Gouvernement burundais risque/vient de perdre une bonne partie de l’aide etrangere qui representait quand meme plus de 50% de son budget annuel, il n’aura pas assez d’argent a depenser.
        La punerie d’eau et d’electricite dans la capitale Bujumbura et ailleurs dans le pays, les cambriolages des banques et des domiciles des prives, les tueries et le chaos qui s’installent dans le pays pourraient mener a la meme situation d’absence de Gouvernement qu’en Somalie.
        Selon la « courbe de Rahn » (propose en 1996 par l’economiste americain Richard W. Rahn), les depenses de l’Etat devraient etre entre 15 et 25% du PIB pour avoir un effet optimal sur la croissance economique/croissance du PIB du pays.
        (Voir la video: « The Rahn curve and the growth-maximizing level of Government », http://www.youtube.com).

        • Jean Paul

          @Stan, je me dis qu’ un de ces gens qui veulent diriger le peuple Burundais par force lise Iwacu et surtout tes commentaires. Ne peuvent – ils pas chercher des gens pragmatiques comme vous pour aider le pays?

          Je suis fan Mr Stan! Always a pleasure to read your comments.

          • Stan Siyomana

            @Jean Paul
            Merci beaucoup de votre soutien.

        • RUGAMBA RUTAGANZWA

          Un plaisir de lire STAN SIYOMANA qui parle chiffres à l’appui..! Bravo Stan.
          Quant à Mr NKURUNZIZA et son Premier Vice-Président, ce sont simplement des hommes qu’il ne faut pas à la place qu’il faut. Je n’arrive plus à suivre leur ligne politique directrice. Hier, à coup de mensonges et de tricheries de toutes sortes (changement de constitution rejetée en mars 2014, Cour constitutionnelle terrorisée et obligée de voter la légalité du 3e mandat de Mr NKURUNZIZA sous les menaces du SNR et autres caciques du CNDD-FDD, signatures trafiquées pour légaliser la CENI, un Premier Vice anticonstitutionnel etc…la liste des tricheries n’est pas exhaustive…), le CNDD-FDD ainsi que ses partis satellites nyakurises sont parvenus à installer Mr NKURUNZIZA au pouvoir. Ils ne se sont jamais imaginés une seule fois que le monde entier, y compris les Burundais (dont plusieurs centaines l’ont déjà et continuent de le payer de leur vie) les observaient médusés. Ce que ce pouvoir fait est plutôt pathétique sinon ridicule. Il ne sait plus où donner de la tête… ! Hier, Mr NYAMITWE W (parce que il y a aussi NYAMITWE A) criait haut et fort dans les medias du monde entier relayés par RFI, que le Burundi s’auto-suffisait et maintenant le gouvernement va pleurnicher pour qu’on continue à lui verser des aides internationales..! Tout en demandant des aides à coup de manifestations, on continue d’écumer les quartiers contestaires à coup de massacres de jeunes par dizaines. On n’hésite pas à exécuter de façon barbare un handicapé physique qui ne ferait même pas mal à une mouche… ! Un haut responsable politique du CNDD-FDD, n’hésite pas à prononcer un discours haineux et incendiaire à haute connotation tribaliste afin de créer des troubles ethniques au Burundi. Que ce soit Mr NDABIRABE ou le pouvoir en place tout ce monde-là se trompe. Tout cela est très grave et j’espère que les sanctions les plus dures restent à venir, surtout du côté des Etats-Unis qui, sûrement, sont entrain de les préparer activement. Ces dernières feront plier le Gouvernement et l’obligeront certainement à négocier car ce sera à prendre ou à laisser.

      • Jean Paul

        Mr Bukuri, cessez avec ces propagandes vides! Iriko iratunganiriza bose!!! Tu te moques des Burundais quoi! Et ces gens qui meurent ces derniers jours aux mains des agents de l’Etat et milices recrutées par les soit disant « élus du peuple »… De la honte au 21 ème « century! »

  15. PCE

    Je ne compendrais jamais les politiques burundais , je pensais

A nos chers lecteurs

Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web. Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus, mais une information rigoureuse, vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Nous avons besoin de votre soutien pour continuer à vous proposer un journalisme ouvert, pluraliste et indépendant.

Chaque contribution, grande ou petite, permet de nous assurer notre avenir à long terme.

Soutenez Iwacu à partir de seulement 1 euro ou 1 dollar, cela ne prend qu'une minute. Vous pouvez aussi devenir membre du Club des amis d'Iwacu, ce qui vous ouvre un accès illimité à toutes nos archives ainsi qu'à notre magazine dès sa parution au Burundi.

Editorial de la semaine

Question à un million

Quelle est cette personne aux airs minables, mal habillée, toujours en tongs, les fameux ’’Kambambili-Umoja ’’ ou en crocs, les célèbres ’’Yebo-Yebo’’, mais respectée dans nos quartiers par tous les fonctionnaires ? Quand d’aventure, ces dignes serviteurs de l’Etat, d’un (…)

Online Users

Total 2 155 users online