C’est ce qui ressort de la 551ème réunion du conseil de sécurité de l’UA qui s’est tenue ce samedi 17 octobre 2015 à Addis-Abeba
Selon Smaïl Chergui, commissaire paix et sécurité de l’Union Africaine, la communauté internationale et la communauté africaine en particulier, a trop attendu pour que ce dialogue commence. Et qui semble la seule issue possible pour sortir de cette crise au Burundi.
Ce dialogue devra, insiste-t-il, se tenir hors du Burundi pour permettre à tous les acteurs, y compris ceux qui sont à l’extérieur du pays d’y participer, tout en réclamant une relance urgente de la médiation ougandaise.
Bujumbura n’a pas encore réagit mais un responsable rétorque à chaud qu’en matière de bons offices, on n’impose jamais la médiation ni le lieu de dialogue.
L’UA durcit le ton
Au cours de cette réunion, l’union africaine a également annoncé le lancement d’une enquête sur les violations des droits de l’homme au Burundi et a appelé à la mise en place de sanctions ciblées contre ceux qui contribuent à la montée de la violence.
Pour le moment personne n’est cité. Cela sera déterminé par une enquête sur les exactions contre les civils. Les conclusions seront rendues avant le mois de décembre.
L’UA veut que les responsables des violences soient frappés de sanctions : interdiction de voyager et gel des avoirs. Une mission africaine doit également être prête à se déployer au Burundi pour éviter des violences généralisées.
Lu pour Stan Sibomana :
RFI:
« En Libye, la perspective d’un gouvernement d’union s’éloigne de plus en plus. Le Parlement de Tobrouk, reconnu par la communauté internationale, vient de rejeter le gouvernement d’union proposé par l’ONU. Ses émissaires en avaient pourtant accepté le principe au début du mois. Quatre ans jours pour jour après la mort de Kadhafi, aucune solution à la crise ne se profile en Libye, pays que se dispute deux entités l’une basée à Tobrouk l’autre à Tripoli tandis que des jihadistes affiliés au groupe Etat Islamique sévissent sur une partie de la Cyrénaïque à l’Est.
Le Parlement de Tripoli avait déjà refusé d’entériner le gouvernement d’union, mais une ratification par les députés de Tobrouk aurait pu justifier une ultime phase de négociations et, si nécessaires, quelques concessions. Le refus de Tobrouk enterre cette solution, au grand dam de la communauté internationale.
Lundi 19 octobre, les Etats-Unis, l’Algérie, la Tunisie, plusieurs membres de l’Inion européenne le Qatar, les Emirats Arabes Unis ou encore la Turquie avaient exhorté, dans un communiqué conjoint, les parties libyennes à appliquer l’accord, accord âprement négocié ces derniers mois par le volontariste Bernardino Leon, représentant spécial des Nations unies en Libye.
Le Parlement de Tobrouk prend donc le risque de se priver du soutien de la communauté internationale. Il risque aussi de perdre ses seuls soutiens armés dans l’ouest du pays. Il a récemment voté une loi pour prolonger son mandat qui doit expirer ce mardi 20 octobre, cette décision a fort déplu aux puissantes milices de Zintane dans le Djebel Nefoussa au sud-ouest de Tripoli. »
Source d’info:
http://www.rfi.fr/afrique/20151020-libye-parlement-tobrouk-rejet-gouvernement-union-onu
Uwo JABE ngo: » veulent descendre le Burundi dans l’enfer » Le Burundi y est déjà.
Icoba kibera muri enfer kitaba ngaha ni ikihe?
RFI :
« Il y a des efforts qui ont été menés au sein du pays. Il y a des efforts qui sont en cours au niveau de la région. Je peux vous affirmer que les consultations avec la région n’ont jamais été interrompues. Donc le travail se fait. Maintenant, qu’ils viennent avec un marteau pour imposer une série de mesures sur le Burundi, nous, nous sommes en droit de nous poser la question : est-ce que cette décision émane véritablement du Conseil de paix et sécurité, ou d’ailleurs ?», interroge le ministre des Relations extérieures burundais, Alain Aimé Nyamitwe. « Au vu des réactions de satisfaction qui sont venues de certains partenaires, on est en droit absolument de se poser la question de savoir si cette décision n’a pas été dictée ou inspirée tout au moins d’ailleurs », ajoute-t-il.
…….
« Je crois que le plus important pour la région, pour l’Union africaine et pour les Nations unies en général, c’est qu’il puisse effectivement y avoir un dialogue ouvert, un dialogue inclusif. Et c’est le but que nous recherchons, affirme le ministre des Relations extérieures. Je peux vous dire que la volonté y est et que nous sommes prêts à rencontrer tous les Burundais, qu’ils soient au Burundi ou à l’étranger, pourvu que le but recherché soit la paix. Nous sommes absolument désolés qu’on impose une ville. Ça ne se fait pas. Parce qu’ici, même la ville est objet de discussions, de négociations. »
Source:
http://www.rfi.fr/afrique/20151018-burundi-union-africaine-enquete-nyamitwe-etats-unis-dialogue
« …Donc le travail se fait… » (dit par Alain Aime Nyamitwe, le ministre burundais des Relations exterieures).
@Ntahitangiye
1. Sous la dictature du 3 eme mandat presidentiel au Burundi et devant de telles affirmations du ministre Nyamitwe, le citoyen lambda burundais/UMUNYAGIHUGU NYARUCARI n’a d’autre choix que de se lamenter comme le celebre musicien ivoirien Tiken Jah Fakoly:
« Allez dire aux hommes politiques…
Ils nous menent souvent en bateau
Vers des destinations qu’on ignore… »
(Voir Tiken Jah Fakoly: « On a tout compris (Mangercratie) », http://www.dailmotion.com (=chanson sortie en 2002).
2. Alors que dans la Tanzanie voisine, le president tanzanien Jakaya Mrisho Kikwete (en compagnie du chinois Dr Hu Jianhua (=Executive Vice-President of China Merchants Holdings (International) company), et de Abdulsalam Al Murshidi (=Chief Executive Officer of Oman’s State General Reserve Fund) a pose la premiere pierre pour le nouveau port de Bagamoyo et son Portside Industrial zone (PIZ). Tout le projet va couter 10 milliards de dollars americains, va s’etendre sur 800 hectares et va arbriter 1000 industries.
Bagamoyo est a quelques dizaines? de km au nord de Dar-es-salaam.
(Voir « B’moyo for major industrialization »,http://in2eastafrica.net, 17 October 2015).
3. Il ne reste plus au citoyen burundais lambda qu’a prier le Bon Dieu pour qu’un jour le BEAU PAYS DE MWEZI GISABO (lui aussi) puisse avoir de vrais dirigeants patriotes capables de le sortir du present chaos politique et de le guider vers la vraie democratie et le vrai developpement durable et inclusif.
TheSilentMajorityAndVictimssustainTheAfricanUnionProject!
Après l’annonce faite par le Conseil paix et sécurité de l’Union africaine, samedi 17 octobre, de l’ouverture d’une enquête approfondie sur les violations des droits de l’homme et des exactions contre les populations civiles au Burundi, Bujumbura réagit par la voix du ministre des Relations extérieures, Alain Aimé Nyamitwe.
« Il y a des efforts qui ont été menés au sein du pays. Il y a des efforts qui sont en cours au niveau de la région. Je peux vous affirmer que les consultations avec la région n’ont jamais été interrompues. Donc le travail se fait. Maintenant, qu’ils viennent avec un marteau pour imposer une série de mesures sur le Burundi, nous, nous sommes en droit de nous poser la question : est-ce que cette décision émane véritablement du Conseil de paix et sécurité, ou d’ailleurs ?», interroge le ministre des Relations extérieures burundais, Alain Aimé Nyamitwe. « Au vu des réactions de satisfaction qui sont venues de certains partenaires, on est en droit absolument de se poser la question de savoir si cette décision n’a pas été dictée ou inspirée tout au moins d’ailleurs », ajoute-t-il.
L’Union africaine (UA) a annoncé samedi 17 octobre le lancement d’une enquête sur les violations des droits de l’homme au Burundi. Elle a appelé à la mise en place de sanctions ciblées contre ceux qui contribuent à la montée continue de la violence. Une mission africaine doit également être prête à se déployer au Burundi pour éviter des violences généralisées.
L’Union africaine demande par ailleurs la convocation rapide d’un dialogue, à Kampala ou à Addis-Abeba, impliquant tous les acteurs burundais, y compris ceux qui se trouvent à l’extérieur du pays. L’Union européenne partage l’analyse de l’UA et soutien l’annonce du lancement d’un dialogue ouvert à l’extérieur du pays.
Cette dernière requête sera satisfaite, mais le choix de la ville doit être négocié, répond Alain Aimé Nyamitwe. « Je crois que le plus important pour la région, pour l’Union africaine et pour les Nations unies en général, c’est qu’il puisse effectivement y avoir un dialogue ouvert, un dialogue inclusif. Et c’est le but que nous recherchons, affirme le ministre des Relations extérieures. Je peux vous dire que la volonté y est et que nous sommes prêts à rencontrer tous les Burundais, qu’ils soient au Burundi ou à l’étranger, pourvu que le but recherché soit la paix. Nous sommes absolument désolés qu’on impose une ville. Ça ne se fait pas. Parce qu’ici, même la ville est objet de discussions, de négociations. »
http://www.rfi.fr/afrique/20151018-burundi-union-africaine-enquete-nyamitwe-etats-unis-dialogue
Il faut donner toute l’information:
RFI dit :
« Pas de réaction officielle de Bujumbura mais un responsable rétorque à chaud qu’ « en matière de bons offices, on n’impose jamais la médiation ni le lieu du dialogue ». « Depuis le sommet de Johannesburg, l’UA agit sous impulsion de l’Union européenne qui la finance à 50 % » ajoute-t-il. »
Source info: http://www.rfi.fr/afrique/20151017-union-africaine-enquete-sanctions-violences-burundi.
Iwacu omet la dernière partie très importante de l’information qui montre que l’UA dépend financièrement de l’UE:
Iwacu dit :
« Bujumbura n’a pas encore réagit mais un responsable rétorque à chaud qu’en matière de bons offices, on n’impose jamais la médiation ni le lieu de dialogue. »
@Ntahitangiye
Vous vous contredisez (sans le savoir?)Vous venez d’ouvrir la boite de Pandore/shooting oneself in the foot:
1. Vous critiquez l’Union Africaine de dependre de l’Union Europeenne a 50% pour ses fonds (et par consequent de recevoir des ordres de celle-ci).
2. Vous oubliez que le Royaume du Burundi etait l’un des Etats fondateurs de l’Organisation de l’Unite Africaine (devenue apres Union Africaine) et qu’il se pourrait que le Burundi soit justement l’un de ces pays-membres qui ne cotisent pas regulierement a l’Union Africaine (et d’ou l’une des raisons de la dependance de l’Union Africaine envers l’Union Europeenne).
3. Vous oubliez que le Gouvernement burundais actuel recevait lui-meme des aides etrangeres (de la part de l’Union Europeenne notament) a la hauteur de 52% de son budget annuel et pourtant il se refuse a considerer « les conseils d’amis » que lui donnerait l’Union Europeenne quant a la dictature du 3 eme mandat presidentiel au Burundi.
Monsieur Sibomana (Siyomana?), C’est dans le rêve que vous trouvez que je me contredis. Réveillez-vous et vous verrez que je me contredis pas. Je compare ce qui est écrit dans les différents sites, je ne suis pas borné. Je pense que vous ne lisez même pas les sources d’informations que je donne. C’est à ces sources que vous devez vous attaquez premièrement.
@Ntahitangiye
1. Dans presque tous vos commentaires sur ce site Iwacu-Burundi, vous avez toujours defendu la dictature du 3 eme mandat presidentiel au Burundi.
Donc vous n’avez plus a jouer l’innocent et nous dire que vous ne faites ici que nous citez des sources d’information.
Et vous n’etes pas le seul a citer une source/an autoritative source pour bien defendre l’idee qu’on veut avancer (moi aussi je fais de meme).
Et dans le cas present, vous soutenez bien la reaction du ministre Alain Aime Nyamitwe.
2. Et ma « source » a propos de l’Union Africaine qui recoit 50% et le Gouvernement burundais 52% de la part de la communaute internationale est:
Evangile de Jesus-Christ selon saint Matthieu chapitre 7, versets 3 a 5:
« Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’oeil de ton frere, et n’apercois-tu pas LA POUTRE qui est dans ton oeil?… »
(Voir « Parabole de la paille et de la poutre », http://www.wikipedia.org).
@Stan Siyomana
« …pourtant il se refuse a considerer « les conseils d’amis » que lui donnerait l’Union Europeenne quant a la dictature du 3 eme mandat presidentiel au Burundi. »
L’UA a encore beaucoup de boulot (du pain sur la planche) dans les mois et années qui viennent: car les 3e mandats vont défiler: après le 3e mandat de Nkurunziza, arrivent ensuite ceux de Kaguta, Kabila, Kagame, Sassou, et sûrement d’autres!
J’espère qu’ils vont faire autant de bruit que le mandat de trop du Burundi!
@Baobab
1. Il faut considerer l’histoire de chacun de ces pays que vous citez.
2. Je ne veux pas aller jusqu’a dire que chacun/chaque pays a sa croix a porter,
mais le Burundi a deja connu une dizaine d’annees de guerre civile et apres 15 ans de vie sous les Accords (inter-burundais) de Paix d’Arusha de 2000 (MEME S’ILS NE SONT PAS PARFAITS), personne au monde n’aurait cru que le Burundi allait encore connaitre cette violence actuelle.
3.Vous devriez prendre l’habitude de vous referer a des modeles positifs de democratie (comme le modele des pays scandinaves) ATA GUSUBIRA INYUMA NK’IBIRENGE.
Comme je l’ai deja ecrit dans un autre commentaire, le citoyen burundais lambda du 21 eme siècle devrait vivre dans un Burundi qui est parmi les pays africains ou la democratie a fait des progress remarquables/Max Roser: « Political regimes in Africa in 1985 and 2012…many countries in Africa are now becoming democratic! »
(Voir « Visualizing Africa’s progress in health, food provision, political freedom, poverty and education », http://www.africaindata.org).
Sauf que dans ces cas là, de paisibles citoyens ne vont pas mourir aux armes des gouvernements comme c’est la cas au Burundi.
@Jabe: « le Burundi est un pays souverain.. »
1. Dans sa lettre de demission addressee au President Pierre Nkurunziza, le docteur Gervais Rufyikiri, alors Deuxieme vice-president de la Republique du Burundi ecrivait:
« Je vous demande, Monsieur le President, de vous interroger sur l’avenir economique du Burundi prive des aides exterieures pour une economie qui, en condition normale, depend a 52% des appuis des partenaires techniques et financiers…
L’OBR a enregistre une perte cumulee de 26% des recettes escomptees pour les deux mois…
A quoi servira de gagner des elections, par ailleurs contestees et qualifiees d’inconstitutionnelles, si vous perdez en meme temps les moyens pour satisfaire les besoins fondamentaux de la population?… »
(Voir Antoine Kaburahe: « Bon debarras », vraiment. http://www.iwacu-burundi, 26 juin 2015).
2. La Commission Internationale de l’Intervention et de la Souverainete (ICISS), instituee par le Gouvernement canadien en decembre 2001, avait presente le rapport « La responsabilite de proteger » ou elle conclut que « la souverainete non seulement donnait a un Etat le droit de « controler » ses propres affaires, mais aussi lui conferait la « responsabilite » premiere de proteger les personnes vivant a l’interieur de ses frontieres.
Le rapport enoncait la these que lorsqu’un Etat se montre incapable de proteger sa population- qu’il ne le puisse pas ou qu’il ne le veuille pas- LA RESPONSABILITE EN PASSE A LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE AU SENS LARGE… »
(Voir http://www.un.org, La responsabilite deproteger).
Abarundi mwagogwa gose. Jusqu’a quand ces gens comprendrons que le Burundi est un pays souverain qui a elu ses dirigents dans une election transperente? Aux Burundais, il faut jamais accepter que ses qui sont sur la iste de paie de ceux qui veulent descendre le Burundi dans l’enfer n’aient a dire chez nous. Ces la qui disent n’importent quoi sont ceux qui ont refuse de voir comment les elections se deroulent (Mission d’observation). Alors qu’ils pensaient que les elections seront de l’akavuyo, le peuple Burundais leur a prouve le contraire. Alors ils veulent utiliser d’autres trucs pour continuer a destabiliser le pouvoir de Bujumbura. Burundaises, Burundais, donnez une lecons a ces irresponsables, qui sont justement manipuler par les interets des occidents; Belgique, France, UK, Allemagne et Hollande,.. Ce qu’ils veulent….vous le savez. Le scenario Rwandais. Soyez forts et vigillents, et surtout n’hesitez pas a tout faire pour securiser le pays et la population. Soyez unis, car le sang que ces gens veulent verser sur le sol Burundais n’est ni hutu ni tutsi, mais le sang des innocents sacrifies pour donne le pouvoir a ces qui seront leur chemin pour aller piller les richesses du Congo.
La paix au Burundais et Amis du Burundi.
le peuple burundais est fatigué des guerres incessantes depuis l’avènement de l’indépendance. ce n’est pas parce qu’il cautionne tout ce qui s’est passé lors de ces soit disant élections qu’il se taise. tout simplement il est accablé par diverses maux dont la misère, la faim, la torture, le manque de justice et de liberté et j’en passe, c’est dans ces conditions qu’il fallait ajouter le mal sur mal.
Laissez-les un jour la liberté, vous connaîtrez ce qu’il pense.
@ Ntahitangiye,
Toutes ces institutions que vous citez a commence par la presidence de la republique, le Senat, l’Assemblee Nationale, la Cour Constitutionnelle, la Cour Supreme…….. En temps normal ne votent pas. Mais bien sur vous savez ce que vous dites, vous savez comment ces fameuses elections dont vous parlez se sont deroulees. Toutes ces institutions n’ont pas vote comme vous le dites, mais elles ont manipule et fabrique des elections et des resultats de ces dernieres.
Le malheur du Burundi aujourd’hui c’est qu’il y a encore des gens comme vous qui trouvent que la situation au Burundi est normale malgre ces personnes qui meurent chaque jour. Va ibuzimu muje ibuntu
Ariko, nawe udashaka kwigiza nkana, urazi neza ko umugambi wo gutera akaduruvayo ngo abantu bapfe watangujwe n’abatanguye imyiyerekano. Ni nabo bakomeza kuvyina ngo abantu bariko baricwa bazira 3eme mandat. Ubwo mutatubesha, mwarigeze mwumva aho umukuru w’igihugu arekura abantu ngo barasane?
Le dialogue doit se tenir au Burundi mais avec la possibilité pour les commissaires d’aller écouter ceux qui sont a l’extérieur
Oui, le dialogue au BURUNDI est souhaitable. Mais, n’oubliez pas, la securite n’est pas totale au BURUNDI. Si un des commissaires serait blesse par une balle perdue des laches!!! Comment vous allez nous expliquer devant le monde entier?
haahaha tu es sérieux? Erega gouvernement illégal ya peter nta choix igifise. D’ailleurs ibiganiro vont porter sur ingene peter agenda nk uko amategeko abimusaba. Bitagenze uko, la résistance légitime na communauté internationale bazobandanya bongereza inguvu gushika nkurunziza n’abamuyoboka bumve ko ata wundi muti. Nayo ivyo vya ba commissaires c’est une vaste blague bavyita kwidigadiga, hagarika kurota.
@Mutana: « Le dialogue doit se tenir au Burundi… »
1. Vu qu’il y a eu maintes tentatives de dialogue a l’interieur meme du Burundi et que rien de bon n’en est sorti (peut-etre a cause de l’influence negative de l’ancien ministre de l’interieur Edouard Nduwimana), il est grand temps de penser a organiser le dialogue a l’exterieur du pays.
2. Le Gouvernement burundais qui utilise souvent une politique d’intimidation sur le sol burundais pourrait tout simplement avoir peur de perdre l’avantage du terrain/home court advantage et pourrait faire tout pour eviter le scenario ou ses negociateurs vont affronter des anciens tenors du CNDD-FDD (lequels tenors sont devenus aujourd’hui membres du CNARED, ce qui causerait la possibilite de lutte farouche entre « deux anciens freres au sein du CNDD-FDD »?).
haha! Oya sha au Burundi ce n’est plus possible. La sécurité n’est plus garantie depuis que les institutions sécuritaires se sont transformées en véritables milices sous les ordres d’un putschiste qui a violé la constitution et les accords de paix pour confusquer le pouvoir.
Aho mwagisambagura mwari muzi ngo bizoborohera? Le dialogue c’est en dehors du Burundi puisqu’au Burundi il y’a un très très très chef de gang qui tue
Ce responsable qui dit qu’on n’impose pas les négociations ni le lieu serait le premier à s’y rendre, j’espère qu’elles ne seront pas aussi longues que celles d’Arusha qui étaient devenues un fond de commerce. L’UA et l’ONU devraient plutôt deployer une force d’intervention, si non après 45 jours il y aura nécessité d’autres enquêtes car la machine à tuer est toujours en marche. Prévenez au lieu de toujours faire des décomptes macabres.
» Selon Smaïl Chergui
Ce dialogue devra, insiste-t-il, se tenir hors du Burundi pour permettre à tous les acteurs, y compris ceux qui sont à l’extérieur du pays d’y participer, tout en réclamant une relance urgente de la médiation ougandaise ».
Quand on écoute toutes les déclarations, les décisions, des uns et des autres: le Burundi est le seul pays au monde où on impose aux Autorités ce qui doit être fait. La Présidence, le Gouvernement, la Cours constitutionnelle, la Cours suprême, l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil national de sécurité, les forces de sécurité, les gouverneurs, les Administrateurs, la population qui a voté etc. tous n’ont rien à dire, ils doivent seulement se soumettre à une décision extérieure. Cela risque d’être ressenti comme un mépris insupportable et d’augmenter la frustration de plusieurs.
Du respect quand il est dû. Un gouvernement illégitime et qui affiche une défaillance totale quand à la protection des siens ne saurait se réclamer indépendant vis à vis de la communauté qui finance ses budgets à plus de 50%. On ne peut laisser un groupe de voyous qui se réclame indépendant assassiner à perpétuité sans intervenir. Te souviens – tu d’Arusha qui a ramené ces même bandits qui tuent aujourd’hui au pouvoir? Eh bien Arusha à été imposé aux dirigeants d’alors!
C’est triste qu’il y ait encore des gens qui essaient de défendre l’indéfendable’. Tout le monde a une famille et sait ce qu’est la souffrance comme celle la. Tout citoyen épris de paix doit accepter de mourir pour que l’on sorte de cette criminalité organisée. On ne peut pas prétendre diriger un pays dans le sang de ses compatriotes . Comment les gens s’accrochent au pouvoir même quand ils voient qu’ils doivent quitter. Seulement pour dire , attend je vais les liquider en attendant que je ne quitte le pouvoir , comme si ces derniers n’avaient pas de famille. C’est soit de la naïveté, soit de la sauvagerie ou de la dépression.
Nos morts seront vangé. Que les ABAJA de Nkurunziza le sachent bien.
Sindumuja et fier de l’étre. Non au mandat de trop
C’est vraiment triste de lire de telles machinations. Il y une proverbe Anglais qui dit que » Whoever pays the piper, call the tunes ». Autrement dit, on n’est jamais independant quand on paye pas ses factures propres. Autrement dit, si tu veux devenir independant, il faut travailler dure et intelligement. Donc Travailler pour le bien de tout le peuple. Je dis bien » TOUT LE PEUPLE ». Pour une seconde, mettez vous dans les pompes d’un investisseur (Que vous le vouliez ou non, ces 50% d’aides sont des investissement des creatiers (Payment de capitaux + les taux d’interets), irez vous investissir dans un pays qui a des gens gens morts dans les rues tous les jours? Tu sais, on dit que » tu peux ne pas aimer ou tu es, mais tu es exactement ou tu devrais etres ».
Dialogue au Burundi = Comédie.
Dans le passe, la CEA/EAC a organisé un dialogue entre le pouvoir et l’opposition anti 3e mandat a l’hôtel Panoramique. D’un coup, des policiers entrèrent dans la salle avec des Kalachnikov, des MG, des roquettes pour arrêter Audifax NDABITOREYE devant la médiation, les diplomates accrédités au Burundi y compris les délégués de l’UE et de l’ONU ainsi que les envoyés de l’UA. Quelle bêtise de la part du pouvoir de PN?????!!!!!! Un gouvernement responsable et redevable ne peut pas organiser et mettre en œuvre une opération militaire dans un même endroit et au même moment où il a arrangé une présence des diplomates. C’est dingue, bête, honteux et inacceptable. L’ONU, l’UA, l’UE et l’EAC/CEA n’ont plus confiance en ce pouvoir. Et cela est la conséquence de la brutalité, action irréfléchie, arrogance, incapacité intellectuelle des gens placés dans les différents postes du pouvoir, etc. Le pouvoir de PN s’est lui-même piégé à tous les plans – économie (corruption et malversation), diplomatique (attente à sureté des diplomates), etc. Et, il continuera à se piéger lui-même jusqu’à se ligoter lui-même.
Liberté