Le CS des Nations-Unies s’est réuni, ce mercredi 27 avril, pour discuter des propositions de Ban Ki-moon pour le déploiement d’une force de police au Burundi. Mais les divergences l’ont encore une fois emporté.
D’entrée de jeu, Jamel Benomar, envoyé spécial des Nations unies au Burundi, a alerté les 15 membres du Conseil de sécurité réunis sur l’initiative de la France qu’il n’y a plus de temps à perdre : «La crise pourrait être à un tournant».
Pire, prévient-il, les assassinats ciblés de cette semaine dont l’assassinat du Général Athanase Kararuza et de sa femme, font craindre une intensification du conflit. Et d’avertir que les atermoiements du Conseil de Sécurité sur l’envoi de policiers risquent de ne pas envoyer un message fort à Bujumbura.
Une division profonde
Pour les Etats-Unis, il faut envoyer 3.000 policiers, l’option la plus haute recommandée par le Secrétaire général de l’ONU. Mais cette option est totalement irréaliste, car Pierre Nkurunziza a répété plusieurs fois qu’il tolérerait au maximum quelques dizaines d’observateurs, une solution soutenue par la Chine et la Russie.
Les Néo-zélandais et les Français se sont pour leur part prononcés pour l’envoi de 228 policiers qui travailleraient de concert avec les responsables des droits de l’Homme et les observateurs de l’Union Africaine. Mais face aux divergences, cette proposition de déploiement d’une force de police au Burundi risque de connaître le même sort que celle de la Maprobu.
Ingorane z’uburundi zihagaze ku bubeshi, nico gituma zidashobora gutorerwa umuti , atari ukuvavanura n’ikinyoma. Umuti ukaba urabonetse, hari qlq part ukuri kuri. Rero nibakurondere induru zizoca zihagarara.
Akibazo c’uburundi kizotorerwa umuti n’abarundi nyene. Hagezeko abapoliticiens bicara hamwe batorere umuti ingorane ziri mu Burundi kuko abanyagihuku bararushe.
si c’est pas samantha power qui veut cette police,moi,je ne trouve aucune importance de cette police car le probleme des burundais est de ne pas parler la verite,s’atteler a des mensonges pour influence l’opinion internationale.une partie des burundais opposants guide par des interet americo-occidental a ete fortement manupile et a voulu nous vendre vivant avec l’aide diplomatique de ce samantha power qui reclame pour nous une force policiere de 3000.nous sommes independants,souverains il faut le savoir.
Qu’il viennent ou non, ma question n’est pas là! J’aimerais que l’ONU nous dise comment vont-ils opérer! Seront-ils positionnés sur tous les coins de rue de Bujumbura pour surveiller les mouvements? Pourront-ils garder tous les cabarets, marchés, lieux publics, …? Pourront-ils patrouiller toute la ville de Bujumbura? Une chose dont je suis sure il n’y aura aucun changement car les burundais sont des caméléons: la journée mouton, la nuit lion! La seule solution possible c’est un dialogue french et sincère!
abobapolice bazohagarara mububare!!!mbegabasha ntibiyumvira
Nibareke guta umwanya baharira twamaze gutimba tuzokemura ikibazo! !
Birateye agahinda,u Burundi wokwibazako ari igihugu kiri kuyindi isi atari iyo turiko.Nyuma y umwaka ibiriko biraba ntibabibona kweli???Ubu nyuma bazovuga ryajambo ryo muri 1994 ngo ntavyo baribazi!!!Birateye agahinda.
@Mudy
Ishinge mugira copie-coller yivyo muri 1994 ngo niho amahoro azoboneka barabahinyuye, mubure guhinduka maze twes’Abarundi dushakir’umuti w’ibibazo vyacu ngo mpaka amahanga aje niho tuzokira.