Des sources concordantes affirment que le major Ndayikeza, commandant en second du camp Muha a déserté l’armée nationale. Les mêmes informations font savoir que personne ne sait où il se trouve pour le moment.
Effectivement, le colonel Gaspard Baratuza, porte-parole de la FDN reconnaît que major Ndayikeza ne s’est pas présenté au service ce lundi. Et pourtant, le colonel Baratuza parle d’une simple absence : «Selon le règlement, nous confirmons qu’il s’agit d’une désertion après huit jours d’absence.»
Néanmoins, d’autres militaires contactés par Iwacu confirment cette désertion. D’après eux, le commandant en second du camp Muha se présentait régulièrement au service. «Avant de partir, il a remis son arme à son agent de transmission.»
Umwana wi sema arirana inrya mukanwa…inzoka yihishije ikabura ico ikomora isubira ,mu mwobo..
@Cubahiro Sibitugu: « Umwana w’isema arirana indya mu kanwa »/Un enfant impossible pleure alors qu’il a deja quoi manger.
1′ Pour vous, SATISFAIRE LES BESOINS PHYSIOLOGIQUES (comme avoir de quoi manger ou avoir un certain comfort materiel (logement, etc) devrait suffir a l’etre humain.
2. Un ancien combattant du CNDD-FDD qui est aujourd’hui bel et bien un officier superieur de l’armee burundaise pourrait renoncer a l’opportunisme et opter pour des sacrifices personnels/renoncer a ses privileges/kwikura amata pour aspirer au sommet de la pyramide des besoins de l’etre humain (= ESTIME, ACCOMPLISSEMENT PERSONNEL, COMBATTRE L’INJUSTICE ET LES PREJUDICES,…) et ainsi se dissocier de la dictature du 3 eme mandat presidentiel au Burundi.
(Voir Abraham Maslow, 1943: « A theory of human motivation »).
3. La banque russe d’investissement Renaissance Capital a note que:
« The key to understanding political development can be seen in the hierarchy of needs: Democracy is the most effective way to meet our need for respect »/L’evolution politique peut etre expliquee par la hierarchie des besoins humains: la democratie offre le meilleur moyen de satisfaire notre besoin de respect)
(V0ir Renaissance Capital: « The revolutionary nature of growth », 22 June 2011).
4. Un officier superieur de l’armee burundaise pourrait bien souhaiter que le BEAU PAYS DE MWEZI GISABO ait la democratie et un developpement durable et inclusif ou il est pret a travailler comme tout citoyen burundais pour gagner son pain honnetement a la sueur de son front/Ata vya NI TWEBWE GUSA TWAGWANIYE IGIHUGU (et nous avons droit a tout).
@Cubahiro Sibitugu
Le BEAU PAYS DE MWEZI GISABO n’en finira jamais avec ses problemes et ne se developpera jamais tant que ses citoyens (du plus petit citoyen lambda/MUNYAGIHUGU NYARUCARI, en passant par l’officier superieur de l’armee burundaise, jusqu’au plus haut dignitaire/baron du regime en place) NE FERONT PAS TOUT CE QU’ILS PEUVENT POUR SE SURPASSER EUX-MEMES.
Mu gutwikurura baravyina ngo. « Azogeeenda, azogarukaaaaa, ni yadukumbura azooozaaa, ni yadukumbura azogaruka mama reka ngeeeende ».
Bahimvye ntacoyimena, agahimbo ni kabi kweli
Les dernieres informations sur la syrie devraient eveillez les plus intelligentsia en geopolitique et vs verez que l echo se fera sentirmeme ici en afrique et surtout au Burundi.
inyagwanda ziguma ziha abasoda uburyo bwo kwisamburira .kuko burazi ko butohangana nuburundi igisoda ari kimwe. aho mwemera ko abanyarwanda bababesha ugira barabakunda ngo muribamwe!! baza banyamurenge uko vyagenze!.!ntimubonda ko mufise vyose batashitseko muri arusha accord! erega abanyagwanda bazoruhira bagira accord arusha yabo nico gituma babasamburirako.
GIRA DEFILER IGIHUGU COSE MUVYEREKANE IZUBA RIBONA KO BARIKO BARATERANYA ABARUNDI NYAMAHORO.PLEASE!!! NTIMUNUME MUGUMANE INZIGO NINTUNTU MUMUTIMA NIVYOBASHAKA HAMA IBASAMBUKANE KUGIRA HABE UBWICANYI .
@Gaheto
mbega wewe uri uwa he?Bagiye mu rwanda muri rebellion,basanzeyo ba nyambaliza,habarugira n’abandi benshi cane.
None hagati y’uwo « commandant en 2nd na Niyombare na ba bageneraux bagenda, uwuhambaye ni nde? Niba Niyombare yaragiye kakaba akmaizwe n’ingoma, tout comme tous les autres chefs de guerre, Nininahazwe, et consorts, igishasha n’ikihe? C’est un non-evenement pour le Burundi. Hari benshi bagumye bibaza ko bahambaye, ariko baragiye kandi igihugu kibandanya kubaho. Ahubwo n’ubundi ababona ko ataco bari bumarire Uburundi, bari bakwiye kutubisa twikorere. Mweho mama ntimugowe murafise Kagame, Reynders, sinzi ikibariza. Ariko muri make, yaba uwo wa camp Muha, canke n’abandi bose, bajanywe n’agahimbo nka wa Mwana w’icangazi. Kandi nibagaruka tuzobakira, bien sur bizovana n’ingene umw’umwe wese azoba agarutse. Ikibabaje n’abapaysans baraho bo mu Kirundo bagizwe imbohe. Nayo ababigira babizi bo ntakibazo umwaka bazoshaka bazotaha.
@Mutama
1. « Ils sont partis, mais le pays n’en a pas souffert et est toujours la »
Dans toute armee du monde, quand meme des officiers superieurs desertent (en nombre assez important), ce n’est pas du tout une affaire a prendre a la legere. C’EST QU’IL Y A UN GRAND PROBLEME DE MANQUE DE MORALE, ET PARTANT MANQUE DE DISCIPLINE.
2. « Le malheur c’est qu’il y a ces paysans originaires de Kirundo qui ont ete pris en otage ».
Tout le monde sait ce que tout Etat souverain fait dans des cas pareils (que ce soit le cas du sud-africain enleve au Yemen, ou le cas des francais enleves par le mouvement rebelle Aqmi dans le Sahel,…). L’Etat concerne peut negocier avec les ravisseurs, peut leur verser une ranson sans l’admettre publiquement, ou peut intervenir militairement pour liberer ses chers citoyens.
Or le Gouvernement du Burundi n’a encore rien fait de tout ca.
Or le Gouvernement du Burundi a meme envoye des delegations dans les camps de refugies dans les pays limitrophes, et maintenant qu’il n’a pas pu les convaincre de revenir au pays (pour encore souffir des mains des Imbonerakure), vous dites qu’ils sont des otages.
Les otages sont controles par leurs ravisseurs, alors que les vrais refugies dependent de la generosite de la communaute internationale a travers le Haut Commissariat des Nations Unies (HCR).
Donc ne jouez pas avec les termes « otages »/ »prisonniers » quand tout le monde sait bien quil s’agit bien de vrais refugies qui ont fui LA DICTATURE DU 3 EME MANDAT PRESIDENTIEL AU BURUNDI.
Ici c’est tout simplement le cas de « Ingwe igutwara igitungwa ikagutanga kuraka/Le leopard qui vous prend votre chevre va etre le premier a se mettre en colere »,
Ou le cas de verser des larmes de crocodile (pour les centaines de milliers de refugies compatriotes burundais qui doivent affronter la faim, les maladies ( parfois mortelles comme le cholera), et l’affront a leur dignite dans les ignobles camps de refugies).
J’ai encore des souvenirs amers des moustiques qui m’ont pique quand j’ai visite et ai passe deux nuits dans un camp de refugies burundais au sud de Tabora en 1978 (au moins moi je n’y etais que volontairement, pour ce que je considerais ma propre « education ideologique »).
Uvuze ukuri na shebuja buca agenda igihugu kibandanye kibaho. Kiruta umumtu wese.
none bajahe?abo sintwari
Intwaro ya peter iremye nkamabuye bose bazogenda
Muntu, uravye agahitiye muri Africa ya ruguru n’Aziya, umengo nta ntwaro z’iki gihe zikomera nk’amabuye. Inyundo zarabonetse! Uzoba umpinyuza!
Nibagende les chinois sikazima baje kubasubirira Ubu n’uguhangana na Obama haha haha ibihendwa abana