Selon un communiqué sorti ce lundi 25 juillet, cet organe compte se pencher à la fin de ce mois de juillet à Genève, sur la détérioration de la situation des droits de l’Homme au Burundi.
A l’ordre du jour, il y a la question des mesures prises pour enquêter sur les exécutions sommaires, détentions arbitraires, tortures et mauvais traitements de membres de l’opposition, de journalistes, de défenseurs des droits de l’Homme et de personnes considérées comme soutenant l’opposition depuis 2015.
Parmi les dossiers à analyser figure aussi la question des progrès réalisés dans les enquêtes sur l’attaque contre du président de l’Aprodh, Pierre-Claver Mbonimpa en août 2015 et sur l’enlèvement et le meurtre de son fils, Welly Nzitonda en novembre 2015.
Il y a également la question des enquêtes sur les allégations de torture à l’encontre du SNR (Service national de renseignements). Sur la table des discussions, il y a le dossier des enquêtes sur les meurtres et actes de torture présumés par des membres des Imbonerakure.
A côté de cela, le Comité de l’ONU contre la torture se penchera sur les mesures prises pour mettre en œuvre les recommandations formulées par cet organe en 2014, lors de l’examen régulier du Burundi.
Les membres de ce Comité et une délégation burundaise dirigée par la ministre de la Justice discuteront de toutes ces questions. Elles ont été soulevées par écrit par le Comité au mois de décembre dernier dans le cadre de la demande de rapport spécial adressée au gouvernement burundais.
Le Burundi est devenu une véritable République bananière qui semble être par dirigée par un gang. En 10 ans de règne sans partage, ce dernier a pour bilan : un Burundi plus pauvre que jamais, classé pays le plus pauvre du monde en 2015 avec 64% de sa population qui vit avec moins de 2 dollars par jour ; un Burundi plus affamé que jamais où près de 30% de la population mange a peine un repas par jour ; un des pays les plus corrompus au monde ; un pays où la torture et le viol sont revenus en force depuis avril 2015 ; un pays où aucune enquête n’est entreprise quand des gens sont exécutés sans jugement aucun. Les responsables de cette dramatique situation mêlant pauvreté et violation massive des droits de la personne humaine, veulent continuer de régner en Rois, sans rendre compte à qui que ce soit. Nous n’avions jamais vu cela dans l’histoire récente et ancienne de notre pays… ! C’est injuste, inacceptable et revolant.
En matière de tortures, le cas du Burundi est indéfendable, tant le 3ème mandat est devenu synonyme de torture morale et physique pour beaucoup de citoyens. La cause est perdue d’avance: la ministre et sa délégation feraient mieux de déserter les séances (on est devenu des experts en cela) et d’aller se promener au bord du Lac Léman à Genève.
Des gens qui agissent comme ce qu’on voit sur la photo,ont-ils encore un grain d’humanité dans leur cerveau ou sont-ils tout simplement des animaux aux visages humains? Et le comble cela est fait par un agent de police qui est sensé sécuriser tout le monde mêmes les opposants au régime.Je désire dire à ces gens qui commettent ces exactions qu’ils en répondront un jour devant l’histoire.Vous semez les épines vous les récolterez un jour! Wait!