Dans une correspondance sortie ce mercredi 17 janvier, adressée à la représentation légale du CNL, le ministère de l’Intérieur, du Développement communautaire et de la Sécurité publique incrimine ce principal parti d’opposition de ’’coalition et d’association avec les organisations terroristes’’.
Dans cette lettre, le ministre martin Niteretse rappelle qu’en date du 2 janvier 2024, ’’l’honorable Léonce Ngendakumana a envoyé une correspondance aux Chefs d’Etat des pays de la Communauté de l’Afrique de l’Est et de certains autres pays ainsi qu’aux représentants de certaines organisations internationales et africaines.
Selon lui, ce ténor du parti Sahwanya Frodebu se réclame émissaire d’une organisation de fait dénommée ’’Cadre d’Action pour la Réhabilitation de l’Accord d’Arusha pour la paix et la réconciliation au Burundi’’.
D’après le ministre burundais de l’Intérieur, cet émissaire « a joint à cette correspondance un document à la fin duquel il dresse une ’’liste des forces politiques engagées dans le cadre d’Actions pour la réhabilitation de l’Accord d’Arusha pour la paix et la réconciliation au Burundi’’, parmi lesquelles figure le parti CNL ».
A cet effet, tient à souligner le ministre Niteretse, « le parti CNL et sa représentation légale doivent répondre des conséquences qui découlent de cette coalition ou association avec les terroristes regroupés au sein de cette organisation illégale conformément à la loi ».
Le CNL n’est pas en bons termes avec le ministère de l’Intérieur, du Développement communautaire et de la Sécurité publique. Sa correspondance adressée à ce principal parti d’opposition tombe dans un contexte tendu. Toutes les activités du CNL ont été suspendues sur toute l’étendue du territoire national.
Le ministre Martin Niteretse a enjoint à la représentation légale de cette formation politique de se réconcilier avec une dizaine de membres du bureau politique de ce parti. Ils sont aujourd’hui qualifiés par la représentation légale du CNL de ’’frondeurs’’.
Signalons que sur son compte ’’X’’, le parti Sahwanya Frodebu, prend ses distances avec l’honorable Léonce Ngendakumana : « Nous avons pris connaissance de sa lettre envoyée aux garants de l’Accord d’Arusha. Nous tenons à clarifier que toute correspondance dont nous ne sommes ni les concepteurs ni les signataires n’engage pas le parti ».
bonjour Iwacu,
Karabaye indagara imikenke zabuze voisin du nord,le burundi qui est ecomiquent défavorisé en difficulté financière,exsangue sans devise,pénurie carburants,la crise sans nom….après vous osez parler indagara,le voisin du nord,regardez les devises qui entrent dans le pays à cause du tourisme(gorilles de montagne parc de l’akagera,forêt de nyungwe etc…)
Des burundais sont allés dénoncer leur pays chez des étrangers?L’esclavage mental doit cesser.Les burundais doivent apprendre à régler leur problème entre eux.Le linge sale se lave en famille.Impliquer des étrangers c’est comme une brebis qui appèlle un loup au secours.La brebis sera évidemment mangée par le loup.L’opposition burundaise doit savoir raison garder et être patriotique.Le ventriotisme a détruit ce pays.Ça suffit!