Dans une déclaration lue dans toutes les paroisses ce dimanche 29 novembre 2021, le Conseil des évêques catholiques du Burundi (Cecab) brosse un tableau sombre des dangers qui menacent l’institution familiale au Burundi.
Une préparation inefficace au mariage, les parents qui manquent à leur rôle d’éducateurs, l’absence de soutien réciproque entre les conjoints, la détérioration de l’amour entre eux, la polygamie et les unions libres, la détérioration de la culture, l’alcoolisme et la prise de drogues, … ce sont les grands maux qui menacent la famille au Burundi qu’énumère le conseil des évêques catholiques du Burundi. La liste est longue, car, le vagabondage, la paresse, l’égoïsme, le gaspillage des biens de la famille, la négligence du dialogue en famille, la mauvaise conduite de certains maris autoritaires ou certaines femmes qui se révoltent contre la dictature des maris sont également cités par le Cecab. Il revient aussi sur le non-respect des droits de la femme et le refus catégorique de l’existence de Dieu dû à l’appétit des biens du monde ou à des escrocs qui profitent des personnes qui sont dans des périodes difficiles et qui tombent dans le pessimisme.
Promesse d’un accompagnement
À côté de cela, les évêques évoquent, les conséquences des guerres, des divisions de toute sorte, les pandémies, la pauvreté et la sorcellerie constituent des autres dangers. Et de regretter que des enseignements visant la désorientation des familles et des jeunes soient donnés par certaines églises et associations qui portent des casquettes de bienfaiteurs. « Ces enseignements ont pour origine des gens qui veulent dominer le monde et finissent par être adoptés comme des lois par certains Etats. »
Dans leur déclaration, le Cecab recommande aux prêtres catholiques et à leurs collaborateurs de donner des enseignements aux jeunes depuis leurs jeunes âges. Pour, explique-t-il, les préparer à la vocation et aux responsabilités qui les attendent quand ils fonderont leurs familles.
L’année liturgique en cours à l’Eglise catholique étant dédié à la famille, les parties prenantes sont appelées à comprendre et accompagner les conjoints qui sont dans la faiblesse ou qui font face à des obstacles les empêchant d’assumer correctement leurs responsabilités.
Bonjour à tout le monde,
Paradoxe, paradoxe et paradoxe. Ce beau monde constitué de prélats catholiques qui viennent nous parler de la famille alors qu’ils sont officiellement « célibataires ».
Que comprennent-ils à la gestion de la famille? Que comprennent-ils au mariage auquel ils ont tourné le dos? Qu’ils se marient d’abord.
On devrait plutôt les juger devant un tribunal. Leur crime? Ils sont des agents d’un État étranger qui s’appelle le Vatican
et qui perpétuent la colonisation et l’aliénation culturelle et mentale de la nation burundaise.
À l’inauguration de Son Excellence Évariste Ndayishimiye, ils figuraient parmi ceux qui le « bénissaient » à genou.
En diplomatie, un Président d’un pays ne se met pas à genou devant un Président d’un autre pays. Encore moins devant ses représentants.
Pour ajouter une insulte à la blessure, personne n’a invité aux cérémonies d’investiture ceux qui croient encore à notre culte de Kiranga car c’était un religion pratiquée par nos ancêtres « sauvages ».
La nation devrait débuter sa révolution tranquille vis-à-vis de l’église catholique comme au Québec.
L’Eglise Catholique a perdu son aura d’antan d’autorite supreme dans le pays et la vie des citoyens.Les sacrements n’attirent plus grand monde comme du temps ou l’Eglise etait associee au pouvoir colonial comme administratrice des coeurs ou les confessions a caractere subversif etaient souvent rapportees aux adaministrateurs-residents.La population a trouve d’autres references pour guider leurs vies et s’epanouir.L’Eglise Romaine a deux choix devant elle:soit se reformer soit devenir une reque du passe. Dans les pays ou elle est nee et a partir desquels elle s’est etendue a travers le monde, les eglises sont vides les dimanches et pour entretenir les batiments, les vicairs sont obliges de les faire louer aux petits commerces voire les vendre aux societes immobilieres.
…. »les parties prenantes sont appelées à comprendre et accompagner les conjoints qui sont dans la faiblesse ou qui font face à des obstacles les empêchant d’assumer correctement leurs responsabilités… »
Assumer correctement leurs responsabilités ont-ils dit !!! Umwera uva ibukuru ugakwira hose !
Ntaguzwa
Tangura gukura izo dogmes judéo-chrétiens zivanzemwo paganisme gréco-romain… n’ibindi…!