Le Burundi occupe la 157ème place sur 180 pays concernant l’indice de perception de corruption dans le secteur public en 2017. C’est ce qui ressort d’un rapport de Tranparency international sorti mercredi 21 février. Cette organisation lui attribue un indice de 22 sur 100.
Jean Bosco Ntahimpera, assistant et porte-parole du ministère de la Bonne gouvernance, balaie du revers de la main ce rapport : «Il n’engage que celui qui l’a produit.»
Il argue que l’organisation qui l’a dressé n’a pas consulté son ministère. Ainsi, il se demande comment cette organisation a pu trouver des informations.
Selon lui, elle aurait dû entrer en contact avec les mécanismes nationaux chargés de la répression de la corruption. Il évoque notamment la Brigade spéciale anti-corruption et la Cour anti-corruption.
M. Ntahimpera indique que le Burundi enregistre des avancées dans la lutte contre la corruption. «Les cas de corruption qui se font remarquer sont directement traduits devant la justice».
Pour rappel, le Burundi était à la 159ème place avec un indice de 20 sur 100 en 2016.
Uuntu avuga ko corruption mu Burundi atayibaho,Ihorere abanyagihugu ntibagutwenge mutama.
none burya murakeneye mutwite ibijuju tutabona ibikorwa.Naho tutuze ndazi ko nta service nimwe ibaho ushobora guhabwa n ‘umutware adatanze akantu.
Les rapports techniques, que ce soit dans le domaine humanitaire ou celui des droits de l’homme, ne font que s’accumuler, alarmants, les uns comme les autres. Les rejets souvent, légers et simplistes sans aucune preuve pour démentir, s’accumulent aussi de la part du Gouvernement. Où est la vérité? Je vous laisse juger. En ce qui me concerne, je pense qu’avec la justice internationale, nous saurons ce qui s’est réellement passé dans ce pays, où depuis avril 2015, les Imbonerakure et autres agents du SNR ont reçu l’ordre de disposer de droit de vie ou de mort sur tout citoyen burundais opposé, ou suspect de l’être, aux idéaux du parti au pouvoir et surtout aux ambitions gigantesques de son Chef pour regner, de gré ou de force, et en tout cas le plus longtemps possible sur le Burundi…! Le pays traverse une des périodes les plus sombres de son histoire politique, je pense.
Quand on se deplace en personne pour ouvrir des sites d’extraction de minerais, quand on a un budget appele appui aux « bonnes initiatives » a qui personne n’a le droit de regard, comment poser de question dans la rue? La corruption est palpable. Le fameux stade a ete constuit en deux ans. Est-ce des economies sur saliares?
Hahaha! Umu polisi officier umuhaye 10 mille balle ya ratio akubwira ati uri mutama niwigire tutibagiye les service publiques! !!Carabavunye nibihekenyere!
Tu manques cruellement d’originalité! Tu ne devrait pas avoir cette partie de ton pseudo avec une telle médiocrité! Ce pseudo mérite mieux que toi (bis)(bis)!
Gain de 2 places, c’est encourageant! Sûr que la corruption a gagné un pas en avant dans tel ou tel autre pays, au moment où elle a régressé dans le pays de Ntare. si j’en crois bien sûr au contenu du rapport!
On n’a pas besoin de consulter le Ministère de la bonne gouvernance pour évoluer le degré de corruption au Burundi. Il suffit de poser cette question à n’importe qui dans la rue: avez-vous été confronté à une demande active ou passive de pot de vin? Qu’on se le dise en toute sincérité, la majorité des réponses sera « oui ». Les cas portés devant les tribunaux ne sont que marginaux; les grands corrompus et corrupteurs sont hors d’atteinte. L’opération « mani pulite » (mains propres) « tolérance zéro » a lamentablement échoué.
Come back and get good terms with your Neibour who is getting always better and better. Then you work together and improve by sharing best practices .