Les organisations engagées dans la campagne contre la vie chère tirent la sonnette d’alarme.
« La crise économique actuelle au Burundi tire ses racines lointaines dans l’amour exagéré du pouvoir », lit-on dans une lettre que les organisations engagées dans la campagne contre la vie chère ont adressée, le 28 décembre, à Benjamin Mkapa, facilitateur dans la crise burundaise.
« Le Burundi est le premier pays le plus pauvre au monde et connaît un taux de croissance économique négatif de -4,1% en 2015 contre 4,7% en 2014 », argumentent-elles en avançant que la crise en cours s’est accentuée à cause du gel des aides extérieures.
Ces organisations soutiennent que cette suspension des financements a entraîné la flambée exponentielle des prix des denrées alimentaires. « Un kilo de haricot s’achetant à 800 Fbu en avril 2015 s’achète actuellement à 2000 Fbu, soit un accroissement de 150%. »
Alerte sur la hausse généralisée des prix
Ces organisations pointent du doigt la loi budgétaire exercice 2017. « Cette dernière fait porter, aux citoyens qui se trouvent déjà dans une misère sans nom, tout le fardeau des taxes. » Ces organisations préviennent sur la hausse généralisée des prix en 2017.
Les dites organisations s’offusquent de l’élargissement de l’assiette fiscale qui n’épargne même pas les personnes les plus pauvres. « Les taxi-vélos qui arrivent à peine à se procurer un revenu journalier de 1000 à 1500 Fbu se voient interpeller par le Gouvernement à payer une taxe mensuelle à la mairie de Bujumbura de 2000 Fbu ; à leur association SOTAVEBU, les frais d’achat d’un gilet de 13000 Fbu par taxi-vélo, qui s’achète réellement entre 3000 et 5000 Fbu ; à payer une cotisation journalière de 100 Fbu à ladite association et 8000 Fbu pour l’achat d’une plaque d’un vélo », dénoncent-elles, tout en demandant pourquoi la perception de ces taxes a commencé en octobre 2016.
Elles en appellent à la prudence de la médiation. « La campagne contre la vie chère, l’OLUCOME, le MCA Burundi et l’OTRAG vous demandent de considérer cette médiocrité vécue par les citoyens burundais et d’organiser urgemment des pourparlers inter-burundais externe et inclusif qui n’excluent personne qui joue un rôle important dans la vie du pays. »
Les organisations engagées dans la campagne contre la vie chère recommandent que les questions d’ordre économique et de gouvernance aient une place importante dans le dialogue externe.
Le gouvernement prend des decisions qui sapent sa survie 1000 fois que les rebellions actuelles reelles ou fictives
Les memes ONG qui ont encouragees les blancs a suspendre l`aide, sont les premiers a crier!!!!
Cessez d’etre des negres de maison et reflechissez a vos actions
Ces ONG n’ont jamais demandé à ce que soit arrêté l’aide internationale pour le Brurundi, vous racontez, comme à votre triste habitude, n’importe quoi
C’est injuste : la population paie au prix fort les pots cassés par ses dirigeants.
T’a pas honte ni sense, bro Rufyiri, tu rêve encore faire, amener les burundais à haïr leur patrie, le pouvoir, moyennant l’argent que t’a donné les colons pour vendre et ou détruire le pays!!!! Cela te vaudra « …. ifu y’imijiira » toi et tes acolytes. Ce n’est ni amour ni citoyenneté qui vous animent mais UBUMENJA. Pourquoi tu ne dit mot contre les pouvoirs antérieurs qui ont commis beaucoup plus d’atrocité!!! Quel dieu/peuple t’entendrait, te soutiendrait!!! Luc Michel l’a démontré noir sur blanc que les soit disant Sociétés civiles que vous pilotez sont des instrument du blanc qui veut tout prendre du Burundi comme c’est le cas au libye et ailleurs!!! tu es dans le meme sac que niombalé. Mais le jour où il est allé recevoir l’argent pour détruire est connu, toi meme tes avoirs venaient de … Avec les TICs tu peux rien cacher. Tous ceci vaut pour kaburahe meme. Kiramvu, kazoviyo, magi, ….. après tous je vous aime pour etre né burundais