C’est à l’Alliance Française de Dar-es-Salaam que s’est ouverte ce 2 novembre la 5ème édition de la Biennale des Arts de l’Afrique de l’Est. Et, pour la première fois, le Burundi participe à la rencontre. <doc1886|left>Rose Ndayiragije, Présidente de East Africa Art Biennale (EASTAFAB-BURUNDI) avait fait le déplacement. Dans son allocution, elle a déclaré que les artistes du Burundi, « veulent démontrer que l’Art et la Culture constituent un facteur incontournable pour l’intégration régionale et pour le développement de nos pays. » Le Burundi accueillera pour la première fois en avril 2012 la même Biennale et, d’après Rose Ndayiragije, l’organisera à sa façon " en montrant au monde entier les valeurs artistiques et culturelles de notre beau pays ". Madame Ndayiragije a profité de cette tribune pour inviter les Artistes présents à Dar-es-Salaam à participer à la Biennale qui se tiendra au Burundi. La Présidente de East Africa Art Biennale (EASTAFAB-BURUNDI) a remercié l’Ambassade de France au Burundi pour son soutien.
Archives
Lancement officiel, en Tanzanie, de la Biennale des Arts de l’Afrique de l’Est
A nos chers lecteurs
Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web. Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus, mais une information rigoureuse, vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Nous avons besoin de votre soutien pour continuer à vous proposer un journalisme ouvert, pluraliste et indépendant.
Chaque contribution, grande ou petite, permet de nous assurer notre avenir à long terme.
Soutenez Iwacu à partir de seulement 1 euro ou 1 dollar, cela ne prend qu'une minute. Vous pouvez aussi devenir membre du Club des amis d'Iwacu, ce qui vous ouvre un accès illimité à toutes nos archives ainsi qu'à notre magazine dès sa parution au Burundi.Je soutiens Iwacu
Editorial de la semaine
Dépités par nos députés
En décembre dernier, une députée a revendiqué, lors d’une séance de questions au ministre de l’Énergie, une station-service réservée uniquement aux élus, se plaignant d’être méprisée lorsqu’elle devait faire la queue. Ces propos ont profondément choqué l’opinion publique et ont (…)
Les billets d'Antoine Kaburahe
