Alors que le président de la Cnidh évoque l’amélioration des droits de l’Homme, un activiste burundais des droits de l’Homme dénonce une manipulation.
«La Cnidh recommande au conseil de sécurité des Nations unies de demander à la CPI, en vertu de l’article 16 du statut de Rome, de surseoir à l’examen préliminaire commencé le 25 avril 2016 sur la situation au Burundi», a déclaré Jean-Baptiste Baribonekeza, président de la Commission nationale indépendante des droits de l’Homme (Cnidh), ce vendredi 28 juillet, au cours d’une conférence de presse.
Il assure que les crimes commis au Burundi ne sont pas au-delà des capacités de la justice burundaise. Il soutient que sa « volonté d’enquêter et d’engager des poursuites, le cas échéant, est réelle. »
Il se dit satisfait du travail de la police : «La Cnidh salue les efforts des forces de l’ordre pour lutter contre la criminalité, surtout celle en bande organisée.»
M. Baribonekeza apprécie l’action des autorités au sujet des droits humains : «La Cnidh note avec appréciation les efforts du gouvernement aussi bien au niveau politique et institutionnel qu’au niveau économique et social en vue d’assurer la jouissance des droits de l’Homme par tous les fils et filles du pays. »
« Silence depuis plus deux ans »
La Cnidh déplore le maintien des mesures de suspension de la coopération et d’autres formes de pression exercées sur le gouvernement du Burundi. Son président soutient que les partenaires, l’Union européenne et la Cour pénale internationale notamment, se basent sur de fausses informations. Et ignorent les avancées «très significatives» déjà enregistrées.
Pour Lambert Nigarura, activiste des droits de l’Homme en exil, les propos du président de la Cnidh jettent un discrédit sur sa commission.
«C’est la 1ère fois qu’un responsable d’une commission censée défendre les droits de l’Homme banalise des milliers de cas d’assassinat, de disparition, etc. »
Plus de deux ans, souligne-t-il, viennent de s’écouler sans que la justice ne se penche sur ces cas. Et de signaler que plus de 8 mille personnes ont été arrêtées arbitrairement et emprisonnées depuis avril 2015.
Ce monsieur CNDIH…..La police affirme pulbiquement que « les criminels »….(qui est criminel au Bdi??,qui sont ceux qui sont definis comme tel, et par quel saint ) sont liberes par la justice burundaise…Chez CNDIH, CELA S’APPELEE AMELIORATION DES DROITS DE L’HOMME!!! Peut-il citer combien de cas des disparus deja traites ppar la justice Bdsaise par ex??? Les cas des fosses communes, des enfants emprisonnes peut-il confirmer combien la justice a deja traite
Droits de l’homme « Nyakuri » et vous tentez d’y comprendre sa logique!!!
Seul Ayuhu et cie peuvent trouver des explications Nyakuri.
Moi je conseille la patience a tous ceux qui ont soif de droit. Il est dans les parages et va bientot avoir droit des maladroits. Les manifs de rue des pauvres jeunes imbonerakure est un precurseur a la chute ou la debandade des mechants. Ka kagere bita akanyuma car le mauvais systeme est sur le point de s’entrer dedans.
Cette sortie du patron de la CNIDH démontre le drame des DD. Ils n’ont pas le sens des mots ni de la proportion. Exemples : « Nous sommes un régime chrétien et d’origine divine » … tout en massacrant, mutilant, torturant, castrant, violant (des mamans devant leurs enfants, des filles devant leur père), en embastillant des milliers de jeunes tutsis. « Nous allons marcher sur Kigali…» Sans en peser la signification ni les conséquences. Jusqu’à cette affirmation qui ferait rire si la situation n’était pas tragique : « Les crimes commis au Burundi ne sont pas au-delà des capacités de la justice burundaise. »
Pour que certaines personnes que je ne cite pas ici soient d’accord ou contents il faut dire que tout est noir au Burundi!!! Dire que la sécurité est bonne, que la situation de droits de l’homme s’est nettement améliorée c’est dire des mensonges selon ces gens. Oui, tout n’est pas blanc au Burundi mais ce n’est pas noir non plus comme vous voulez le faire croire, si vous voulez rester à l’exil c’est votre droit, mentir aussi c’est votre droit mais n’oubliez pas que ceux qui se trouvent au Burundi ne voient pas les choses que vous même si ça vous déplaise. J’oubliais que pour certaines personnes que je ne cite pas toujours il faut être radical aussi dans le mensonge pour être agréé parmis les radicaux.
@ John
Selon vous On va donc dire que tout va bien et Ca vous plaira!!! Alors veuillez nous expliquer ce qui marche bien au Burundi? Oui la corruption se porte bien ! L’ecole fondamentale Est parfaite ! L ‘economie marche et le Burundi a une Bonne reserve de devises ??????? Dites moi donc Cher john
Plus ridicule que Baribonekeza, on meurt! « Urihenze ubwiza nk’umwagazi w’intama! » Il y a quelques jours, Baribonekeza a osé mentionner un nombre, pas correct mais mieux que ce que le gouvernement avance, et maintenant il veut se racheter pour rester dans les grâces du pouvoir. Cela s’appelle « lâcheté » pour un homme d’église à la tête d’une organisation de défense des droits de l’homme. « Les crimes commis au Burundi ne sont pas au-delà des capacités de la justice burundaise. » Monsieur Baribonekeza se paie le plaisir de tourner le coûteau dans la plaie de milliers de familles qui ont perdu les leurs et qui n’ont pas eu droit au deuil. Mais je pense qu’il est une simple caisse de résonance. On ne sait pas où il a logé et à ce titre il est probable qu’il soit en train de « Gusama ayiwe ». Dans tous les cas c’est pathétique qu’une personne de son rang souffre d’une telle cécité et atteigne un tel sommum de l’immoralité.
Uwugutukz ntagutorera. Subira ubaze neza de quel homme d’église tu parles.
Le propos de monsieur Baribonekeza est un total non événement. Il est à la tête d’une commission fantôme à l’instar de celle du monologue intérieur, de la vérité et réconciliation ect…..crées, animées et entretenues par les idéologues de la haine. Ils sont pas éternels tout comme moi et toi….mais le Burundi des hutu et des tutsi survivra à leur action abjecte.
KIbwa
Pour Lambert Nigarura et les autres « activiste des droits de l’Homme » en exil » probablement doré », le Burundi doit être à feux et à sang pour qu’ils continuent d’exister, matériellement et idéologiquement. Refuser d’admettre que le Burundi n’est celui-là que les médias nous racontent, c’est jeter le discrédit sur la cause noble, celle de la défense des droits de l’homme.
@Ayahu Jean Pierre
« …en exil » probablement doré » »
Cela me rappelle une certaine époque, où on me disait que j’étais en exil doré alors que j’étais SDF et sans papier. Ceci pour dire que ce n’est pas du tout sympathique de dire cela aux exilés; même lorsqu’on n’est pas d’accord avec leurs opinions.
Ah oui Mr Baribonekeza a oublié une chose fondamentale , il a oublié de se remercier lui même de tous les efforts pharaoniques accomplis par lui même pour aboutir à cet Everest d’affirmations. Il faut être fort pour y arriver.
Qui a raison, qui a tord ?
Apprenons à ne citer que des faits et leurs circonstances. Cela nous avancerait beaucoup et briserait les sensibilités des uns et des autres.
tord? u ne penses qu’a tordre les cous toi:
Depuis la nuit des temps tort s’écrit avec t