A la conférence des partenaires au développement du Burundi prévue les 29 et 30 octobre en Suisse, l’ADC propose que le gouvernement soit représenté à 50%, la société civile à 25% et l’opposition, dont elle-même, à 25%. Dans sa conférence de presse de ce 11 octobre, l’ADC fait savoir que sa contribution est d’une importance capitale : « Nous sommes le 1er partenaire politique du pouvoir qu’il le veuille ou pas. » Sa présence, estime-t-elle, pourrait rassurer la communauté internationale en ce moment où le pouvoir semble plonger dans une sorte de campagne électorale prématurée.