Lundi 04 novembre 2024

Culture

La Nuit des idées : Bujumbura n’est pas en reste

25/01/2018 3

La capitale du Burundi va se joindre, ce jeudi 25 janvier, aux autres villes à l’occasion d’une manifestation culturelle mondiale appelée «Nuits des idées». C’est une initiative conjointe du collectif de blogueurs Yaga et de l’Institut français du Burundi. Elle va avoir lieu dans les enceintes de ce dernier à partir de 16h.

La Nuit des idées permet aux personnalités de différents horizons de débattre de divers sujets autour d’un thème commun. Artistes, scientifiques, experts, blogueurs, etc., vont échanger des thèmes portant sur le sujet : «l’imagination du pouvoir».

En outre, la Nuit des idées est un événement intergénérationnel. Les jeunes et les moins jeunes se donnent rendez-vous pour réfléchir ensemble sur l’avenir.

«Et si la population burundaise avait stagné voire régressé en 2037 ? Et si tout était privatisé ? Et si la société burundaise était matriarcale ?» Entre autres questions auxquelles les participants vont répondre.

La Nuit des idées a été créée par le ministère français des Affaires Etrangères et l’Institut français de Paris, il y a deux ans. Elle se déroule au Burundi pour la première fois.

Forum des lecteurs d'Iwacu

3 réactions
  1. democrate

    A cette occasion je vous invite a réfléchir sur cette question : Pourquoi frapper quelque un est toujours légale chez nous alors que cette pratique est criminalise ailleurs dans le monde et n existe presque plus. Les hommes se font frappes par la police a leur tour frappent leurs femmes les femmes frappent leurs enfants. N y a t il pas moyen de punir sans toucher la vie humaine. Rwagasore nous a libéré du­ ikimoko des colonisateurs et 50 ans après on se fait frappe sous les yeux des dirigents et des fois sous leur ordre c est une hôte totale.

  2. Jereve

    Gare à ceux qui vont exprimer des idées noires dans cette Nuit des idées! La documentation veille.

  3. Pce

    Pour avoir des idées Il faut l’imagination et pour avoir l’imagination Il faut la libre pensée et pouvoir penser librement et disposer de la libre analyse . Aucune de ces conditions n’est réunie et surtout pas à Bujumbura. On peut toujours faire semblant d’organiser l’évenement à cet endroit et le mentionner dans tous les rapports à l’intentuon des biens pensants si la conscience vous le permet , mais à qoui cela sert Il ?
    Bonne réflexion

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