|<img265|left>|La direction générale de la Régie des Services Aéronautiques Pour avoir levé il y a dix jours, la mesure interdisant l’accès à la zone de l’aérogare de l’Aéroport International de Bujumbura. Selon le porte-parole de la Régie des Services Aéronautiques, cette mesure a été prise, d’une part « en tenant compte des avis de notre public », et d’autre part « en poursuivant l’amélioration de nos services selon les normes de sécurité imposées par l’Organisation Internationale de l’Aviation Civile internationale ». Ainsi, des détecteurs de métaux ont été postés à l’entrée de l’aérogare, même si l’accès à certaines zones requiert toujours des badges.| |<img266|left>|Le Ministre de l’Intérieur Edouard Nduwimana Pour avoir dit qu’une loi sur la protection des défenseurs des droits de l’homme n’est pas nécessaire. C’était en réaction à la demande de Mme Lucy Asuagbor, Rapporteure Spéciale sur les défenseurs des droits de l’homme de la Commission Africaine des droits de l’homme et des peuples. Mme Asuagbor venait de proposer au gouvernement du Burundi l’élaboration d’une loi spécifique sur la protection des défenseurs de concert avec les défenseurs des droits de l’homme, pour soutenir la mise en œuvre efficace et effective de la Déclaration des Nations Unies sur les défenseurs des droits de l’homme.|