Après le lancement officiel de la phase opérationnelle de la CVR, des voix s’élèvent pour dénoncer une précipitation de ce mécanisme censé réconcilier les Burundais.
Lancement de la phase opérationnelle de la CVR par le président Pierre Nkurunziza à Kayanza, vendredi 4 mars, plus d’une année après la nomination des 11 commissaires de la Commission Vérité et Réconciliation. Y étaient conviés des membres du gouvernement, du parlement, des administratifs territoriaux et à la base ainsi que des diplomates étrangers accrédités au Burundi.
La CVR devra faire la lumière sur les événements qui ont ensanglanté le Burundi depuis son indépendance le 1er juillet 1962 jusqu’à la signature du dernier accord de cessez-le-feu le 4 décembre 2008. La CVR prendra en compte la gravité et le caractère systématique et collectif des violations. Selon son président, Mgr Jean-Louis Nahimana, 150 enquêteurs vont être recrutés avant fin mars. Ils seront ensuite formés et, en juillet, commenceront les dépositions des victimes.
L’objectif est d’avoir recueilli entre 25 000 et 30 000 témoignages d’ici fin 2016, précise Mgr Jean Louis Nahimana, sans aucune publicité, le temps que la CVR fasse des enquêtes de terrain pour vérifier leur véracité. « Les cas plus significatifs seront sélectionnés et débattus dans des audiences publiques en 2017 pour servir de leçon du ’plus jamais ça’ au peuple burundais », a expliqué Mgr Jean-Louis Nahimana. La CVR va préparer « un programme de pardon, de réconciliation et de réparation » qu’elle soumettra au gouvernement et au Parlement burundais, ainsi qu’aux Nations unies. Son mandat est de 4 ans, et peut être prorogé d’une année une fois.
Un pardon juste…
Le gouvernement, et le parti Cndd-Fdd soutiennent la mise en place de la CVR, qui serait la dernière phase du processus de paix et de réconciliation. Le Cndd-Fdd estime que le pardon est la voie la mieux indiquée pour garantir la réconciliation nationale et une paix durable au Burundi, au lieu de privilégier la voie de la répression par la simple procédure judiciaire. Pour le parti au pouvoir, lorsque l’auteur du forfait aura reconnu le mal causé à sa victime et demandé pardon, il n’y aura pas plus idéal que cette forme de réconciliation et de pardon. Mais les Nations unies, partenaire de Bujumbura dans le processus de justice transitionnelle, sont intransigeantes sur la poursuite judiciaire de certains crimes. « S’il y a des crimes imprescriptibles, ça sera à l’organisation internationale de décider de la suite à leur réserver. » Un tribunal pénal international pour le Burundi avait été préconisé par les Nations unies pour juger et punir les coupables, mais cela n’avait pas été agréé par la partie burundaise.
Une CVR inopportune ?
« Le moment du lancement des travaux de la Commission Vérité et Réconciliation est très mal choisi. Nous sommes dans un contexte d’insécurité généralisée. C’est une diversion intentionnelle et avérée », martèle Vital Nshimirimana, un leader de la société civile en exil.
Léonce Ngendakumana, président de l’ADC-Ikibiri, abonde dans le même sens : « Tant que la crise politico-sécuritaire ne s’améliore pas pour que la CVR fonctionne dans la sérénité, il n’y aura qu’une vérité, celle de Pierre Nkurunziza et les siens. On ne peut pas chercher la vérité et la réconciliation quand il y a des tensions ethniques et sociales, des centaines de milliers de réfugiés. »
Pour Mgr Jean-Louis Nahimana, le moment est d’autant plus opportun que la crise actuelle trouve ses racines dans l’histoire récente du Burundi. « Selon moi, la crise que nous traversons est une des conséquences de ce passé douloureux qui n’a pas été traité et qui a été mal géré. »
Du reste, la CVR assure avoir pris ses dispositions pour que tous les Burundais, y compris les réfugiés ou ceux qui sont en exil, puissent contribuer à ces travaux sur l’histoire du pays.
Un « tournant décisif »
Mais l’opposition ne veut pas y croire, et condamne un mécanisme qui, sous d’autres cieux, fonctionne en temps de paix. Elle est d’avis que la CVR devrait se pencher aussi sur la crise actuelle.
Cependant, pour le Cnared, que le mandat de la CVR s’arrête en 2008 ne pose pas un problème. Pour lui, les crimes commis après 2008 et même depuis 2005 ont été commandités par le pouvoir actuel. « Ces crimes sont donc du ressort des tribunaux répressifs burundais et non de la CVR. Ces crimes incluent surtout les atrocités de masse aux allures génocidaires commis par le régime de Pierre Nkurunziza depuis le début des manifestations pacifiques contre son troisième illégal », souligne Jérémie Minani, commissaire en charge des communications et des relations publiques au Cnared.
« Si on rate ce tournant, on aura raté le futur de ce pays », prévient le président de la CVR, qui appelle « toutes les parties à collaborer avec la CVR ».
Phase opérationnelle de la CVR : des défis majeurs persistent
« Si on veut réussir le travail de la Commission Vérité et Réconciliation, au niveau du parti au pouvoir, du gouvernement et des différentes institutions de l’Etat, la question de sécurité sous toutes ses formes devait être une préoccupation majeure », dixit Frère Emmanuel Ntakarutimana, ancien président de la Commission Nationale Indépendante des droits de l’homme (CNIDH). Une loi de protection des témoins et des victimes devait précéder la phase opérationnelle.
Il évoque également l’éclatement des différentes forces sociopolitiques comme les partis politiques conduisant à des sollicitations diverses à travers le pays. « Comment les commissaires de la CVR vont-ils réussir à se prévenir des sollicitations suivant les différentes tendances pour être réellement une commission? Comment vont-ils développer un travail d’équipe pour qu’on sente que ce n’est pas le président ou le vice-président qui est en train de parler mais la commission », s’interroge-t-il.
Le manque des moyens, un autre défi de taille. Il se souvient qu’avant le processus électoral, des partenaires mobilisaient des moyens pour cette commission. Aujourd’hui, il ne voit pas comment faire un travail diplomatique pour les convaincre du bien-fondé de son opérationnalisation.
Quid de l’appropriation du travail de la CVR par la population. Frère Ntakarutimana estime qu’il ne faudrait pas que ce soit un travail de 11 commissaires, ou du Chef de l’Etat et de son équipe car, il s’agit d’une renaissance nationale.
Abraham, nimba woba utari muribo na jewe sindi muri abo. Ariko ku bwacu twebwe abarundi, uwishe kera n’uwuriko arica ubu bose ni abicanyi. Abayitanguye, n’ubu nibo bariko barayibandanya, bariko barayiheraheza. Nimba hazoba CVR ya kera, ubu bwicanyi nabwo bukabandanya, koba ari uguta umwanya, ntaco iyo CVR yoba ikijije abarundi, cancer yoyo, abo bantu bahumanije igihugu c’Uburundi, bafise cancer y’ikibi yabaye chronique, yarabasesereje. Abarundi benshi barabazi, kandi nabo nyene bariyizi, ariko amaraso nta migisha atanga, arahuma, agahumira. Abavuga Imana yo mw’ijuru, ni babandanye bayihamagara, Izohava ibakiza, n’ibidakira yoyo irabikiza hageze !!!!!!!!!!!!!!!
Le gouvernement Nkurunziza souleve ce probleme juste maintenant, parce qu’il voit que c’est irrealisable pour le moment, pour l’ensemble du peuple burundais, avec ces massacres a grande echelle d’une partie de la population par ceux qui devraient la proteger. Un CVR que lui meme s’est choisi. Le gouvernement veut seulement imposer un CVR pour son bien, lui seul. Il faudrait un CVR ou les victimes de tous les massacres perpetres depuis 1965 jusque 2016 participent et choisi par eux memes apres la cessation des tueries, des tortures, des viols, des exiles, des disparutions, kunyagwa utwabo no kurenganywa, des emprisonnements arbitraires et selectifs, etc………………. Un CVR n’est pas un ordre donne par un gouvernement, c’est un consensus national entre tout un peuple, pour le bien de tout le peuple burundais, pas pour le bien d’un gouvernement quelconque.
Mieux vaut tard que jamais.!!! Allez Mesdames et Messieurs les Commissaires de la CVR. Ailleurs ,comme en Afrique du Sud ,une Commission pareille a porté beaucoup de fruits.Les accusés ont été mis à plat.Certains ont demandé pardon.Mais comme aimait le dire le Président Mandela, »To forgive is not to forget ». et pour bénéficier du PARDON,il faut reconnaître la faute,se repentir.S’il y a pardon,certes il y a un pardon difficile,un pardon très difficile et un pardon plus difficile. Dans l’un ou l’autre cas,il faut le demander.Qui ne le demande pas ne l’a pas.Et celui qui l’aura reçu,encouragera les autres de ne pas commettre la même faute. Je demande aux Commissaires de la CVR de faire une empreinte indélébile dans cette noble tache que l’histoire leur confie et « tout pas que fait l’homme sur terre fait partie de son histoire »(SN).
Ariko iyo ntwaro ihari ubu, aho amasezerano ya ARUSHA, yatumye iyi pouvoir y’i Bujumbura ijaho, CVR yari mu vya mbere vyari gushirwaho, bahejeje kugiranira amasezerano y’amahoro. Iyo ntwaro yatwaye ibiringo bibiri (imyaka icumi). Abarundi ico tutumva ni uko, kuva avril 2015, igice c’abarundi kiguma kiriko kirahonywa n’abari bajejwe kubakingira, ubu abarundi benshi ntibazi irengero ry’ababo, abandi barapfuye bahambwa ikivunga mu binogo rusangi, ubwicanyi no kunyuruzwa, kuborezwa igufa no gupfungigwa ivyiyumviro vy’umuntu, ubwoba, ubukene, kwangazwa, ubushomeri, uguhahamuka, hari n’abariko bicirwa iyo bahungiye. None data abo bahonywa, bazorekurira abariko barakora ivyo bintu, batanabihagaritse, abantu batarahamba ababo, batarabagandarira, barara ntibuca, umuntu aha ikigongwe, bicaye bakavugana, uwarenganije agaca bugufi, agasaba ikigongwe, akihana, ntategeko ribaho ryo kugira ikigongwe ku nguvu, abarenganijwe bose babanza guhabwa ijambo, ubutungane budahengamye, bwemejwe n’impande zose bukabaho,, none ?????????????????????? CVR ikwiye guserukirwa n’imigwi yose kandi umugwi wose ukitorera abawuserukira, niho vyoba mu kuri !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Tu es tres fort dans la propagation des rumeurs. Quels mensonges? Il faudra que la CVR ecartent ce genre de personnalites qui ne font que ternir l’image du Burundi.
CVR nirindira, abicanyi bose babanze bahagarike kwica igice c’abarundi, kuko abishwe kuva muri 1965 gushika ubu 2016 ni abarundi bicwa n,abarundi nkabo, bazira intwaro mbi gusa. Bose baricwa, kandi nta murundi yicwa kuko yabisavye kwicwa.
cette enquête commence sans aucune volonté de connaitre la vérité de la part du régime du cndd fdd. ils ne veulent que gagner du temps au pouvoir en faisant croire à la communauté internationale que tout marche bien . quant au président de cette commission, je me demande ce qu’il pense au fond de lui? sur cette photo ci dessus, il était entrain de célébrer la messe de requiem de tous les membres de la famille de feu Christophe Nkezabahizi, parmi nous qui étaient là, qui peut témoigner honnêtement devant une commission en oubliant que celle ci est un instrument d’un pouvoir qui est entrain de massacrer les siens?? personne
Et pourtant ça fait dix ans que certaines voix de l’opposition réclament cette CVR tandis qu’autres en ont peur. Il n’est pas impossible que cette crise violente ait été programmée par cette opposition apeurée, pour enterrer définitivement la CVR.
Monsieur Vital Nshimirimana : «C’est une diversion intentionnelle et avérée?? La vérité finira par vous crever les yeux, Nous savons que depuis sa création vous n’étiez d’accord. de quoi vous vous reprochez?? Qu’est ce vous ne voulez pas que les burundais sachez? Depuis l’indépendance, à les dix dernières années que le pays a eu une paix ou un semblant de paix, Pourquoi vous ne posez pas de question?? C’est parce que les autorités n’ont pas fait une chose qui mettre sur la place public toute la vérité sur n’importe quoi qui a eu lieu au pays avant. Regarde un exemple parlant, le moment où la CNTB a commencé à être opérationnelle ces soi-disantes sociétés civiles et ses acolytes ont barrées le chemin à la CNTB en disant que ce n’est pas le temps et autres raisons. Alors, quand est-ce ça sera le temps de faire qlq chose dans ce pays?? Si vous voulez attendre une paix à 100% dans ce pays, vous n’auront pas ce temps car les personnes qui ont commis les crimes et leurs familles vont tout faire que ce temps n’arrive pas. Voilà l’exemple parlant. Aussitôt qu’ils voyez que la CVR pourraient être opérationnelle, ils sont arrangés pour créer le 3ième mandat enfin d’étouffer les travaux du CVR. Je peux vous dire sans me trompe si Nkurunziza les aurait qu’il ne permettra pas la CVR, ils aurait donner la carte blanche même pour Nième mandat? Qui vivra verra???
Le meilleur moment pour lancer cette commission c’était en 2005, début du premier mandat; ou en 2010 début du 2ème mandat. Deux périodes où la situation sécuritaire et sociale était relativement bonne, détendue et propice à des confessions sincères. Rendez-vous manqué! Nous en sommes tous témoins (et responsables) et nous le regrettons. Que pouvons-nous attendre, maintenant que le chaos s’est installé, que la méfiance règne, et surtout que le mensonge s’est érigé en maître aussi bien du côté du pouvoir que de l’opposition? Rien. Autant mettre un pansement sur une jambe de bois.
womenga CVR ishatse kumvisha abarundi bose, yuko ubwicanyi buriko burakorwa , n’ubwakozwe apres 2008, bwobwo burarekuriwe gukorwa par le pouvoir de bujumbura !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Womenga iyi ntwaro ihari yoba hari ico irushije izahahora mu gukorera ivyiza abarundi bose !!!!!!!!!!!!!!
La CVR et la CNTB feront leur travail que vous le voulez ou pas. On ne peut pas continuer a encourager l’impunite. Ceux qui ont endeuilles le Burundi depuis l’independance ont evoque le 3eme mandat pour etoufer le travail de ces 2 commissions, heureusement que plus de 90% de la population Burundaise s’y opposent farouchement et ont tres bien compris leur entreprise. Nous sommes aussi content car meme la Communaute Internationale commence a comprendre le jeu de ces ennemis de la democratie au Burundi.
Salmia irikungoma, uwugire akire Cancer abaganga batangura gukurayo les cellules cancereuses kugira ngo Cancer ntiyi generaliser vuba mu mubiri wose. Badataguye gutora ivyateye haba genocide kuva les années 1965 nukuvuga ko niyi crise Uburundi burimwo ntamuti bowutorera ninaco gituma bazorinda gutagura kuva kera, hanyuma haracariho abatwara Uburundi kuva 1965 nibazayuko abonyene nibo barinda kubibazwa kandi berekane naza fosses communes bahavyemwo abantu ico gihe.
La CVR est-elle mûre ?
La CVR ne sera jamais mûre pour tout le monde.
– Elle sera mûre pour la victime qui veut qu’on lui rende justice ; mais elle ne sera jamais mûre pour le bourreau.
– Elle sera mûre pour le Gouvernement; mais elle ne sera pas mûre pour Léonce Ngendakumana et Vital Nshimirimana qui combattent le Gouvernement qui la met en place en exigeant d’abord une parfaite sécurité.
– Elle sera mûre pour les pays qui supportent le Gouvernement du Burundi, mais elle ne sera pas mûre pour l’UE qui exige une parfaite sécurité pour le Burundi qui n’est réalisable par aucun pays au monde. Voir http://www.rfi.fr/afrique/20160316-aide-ue-burundi-gouvernement-union-europe. Pendant qu’à Bruxelles la police tue, la Belgique veut la sécurité parfaite à Bujumbura, jusqu’à vouloir punir le contingent burundais en Somalie comment si c’était le Gouvernement burundais qui a envoyé ce contingent et non l’ONU.
– Elle sera mûre pour ces milliers des Burundais qui reconnaissent avec remords qu’ils ont été trompés pour tuer leurs compatriotes ; mais elle ne sera jamais mûre pour ceux qui les ont trompés
– Elle sera mûre pour celui qui cherche la paix, mais ne sera pas mure pour celui pour qui la paix constitue une menace.
Ainsi si l’on veut que la CVR soit mûre pour tout le monde, c’est à dire qu’elle ne verra jamais le jour.
La 1ère vérité est que l’homme qui les a nommé est entrain de tuer le peuple comme il l’a fait dans le passé. Avec un mandat volé au peuple burundais, le travail de la CVR devrait se faire après son départ. Il devrait aussi actualisé la période concerné par le CVR pour le porter de 1962 à aujourd’hui. N’oublions pas aussi que tous les membres de la CVR ont été choisi par le CNDD FDD seulement. Donc il s’agit d’une CVR qui sera là pour juger les anti 3 ème mandat au moment où la police se chargera de les tuer 1 à 1. La Vrai CVR viendra après le chaos actuelle et elle ne sera désignée par les criminelles.
Ceux qui refusent que cette Commission se mettent au travail ne veulent pas la paix au Burundi. D’ailleurs, si vous analysez bien ceux qui ne veulent pas la verite au Burundi sont ceux qui combattent toujours la democratie au Burundi, qui plaident pour des putchistes et qui ont endeuilles le Peuple Burundais. Je pense que le Peuple Burundais est suffisamment mur pour refuser ces ennemis de la democratie afin de se reconcilier definitivement. Je soutiens que ceux qui ont provoques des tueries ( Assassinat de Prince Luis Rwagasore, Ndadaye, Ntaryamira et Nshimirimana Adolphe) soient punis de facon exemplaire.
On ne connaittra jamais la verite. Il y aura toujours la verite des hutu et la verite des tutsi, comme il y aura cette fois-ci une verite exclusivement DD. Le moment n’etant pas opportun car il y a toujours des tuerries, des tortures, des disparitions, des viols, des centaines des milliers de refugies, etc… Qui osera dire la verite et surtout si cette verite est contraire a celle des Nkurunziza?
Si j’etais Abbe Jean Louis et tous les autres religieux membres de la CVR, je demissionerais de cette Commission purement politicienne car elle sert de diversion des crimes qui sont entrain d’etre commis aujourd’hui.
Yohani Petero, je regrette de te le dire mais au moins le gouvernement Nkurunziza vient de soulever ce problème après plus de 50 ans. Les autres gouvernements qu’est ce qu’ils ont fait de mieux? ils n’ont jamais invoqué la CVR et ont continué à massacrer la population.
Peut-être que des pouvoirs dictatoriaux diffèrent…
Si tu sais bien la majorité de ces prêtes que tu parles sans le savoir, ce sont les victimes des génocides .