<img5087|left>{« La banalisation des crimes ayant coûté la vie à plus de 500 personnes, par le porte-parole du parti soi-disant au pouvoir, est inacceptable. Ce n’est pas parce les gens du pouvoir ont été au maquis qu’ils doivent continuer à croire que les assassinats sont autorisés au Burundi »}
Léonce Ngendakumana, président en exercice de l’ADC-Ikibiri, sur la RPA, lundi, 27 août 2012.