La police confirme cet acte commis ce jeudi 26 mai vers 21 heures à la Gare du nord par un groupe d’hommes à bord d’un véhicule aux vitres teintées portant une plaque d’immatriculation de type ’’IT’’. C’est dans la zone urbaine de Kamenge.
Cet officier répondant au nom de Jérôme Ndikuriyo (OPC II) est un employé de la CNAP (Commission nationale Permanente de lutte contre la prolifération des armes légères et de petits calibres). Il rentrait de son bistrot situé dans ce même quartier quand il a été enlevé.
Selon Pierre Nkurikiye, porte-parole de la police, les enquêtes sont en cours pour retrouver cet officier avant qu’il ne lui arrive quoi que ce soit et arrêter ses ravisseurs.
Sa famille est désemparée, elle s’est mise elle aussi à sa recherche, elle a désespérément sillonné pas mal de quartiers pour avoir le moindre indice.
Un mot a été supprimé de longue date du dictionnaire français à l’usage des Burundais: ENQUETE.
Maintenant c’ est le tour d’ un ex-Fab, puis un ex-assaillant et ainsi de suite!
Ehhh i!!!l il faut négocier et non pas dialoguer! Et il faut négocier avec les vraies personnes si non akari inyuma karahinda!
Pour toi, qui sont ces vraies personnes et que faut-il négocier??? Reta nisamare ngo ibiganiro!!!!
– En Ouganda il y a LRA et ADF-Nalu mais on ne parle jamais des négociations
– Au Rwanda il y a FDLR, Interahamwe et les Ex-FAR mais on évoque jamais le mot « négociation »!!!! Quiconque ose prononcer ce mot est qualifié de Négationiste!
– Au Kenya il y a un groupe rebelle côté mombassa mais pas question de négociation
– En RDC, il y plusieurs dizaines de groupes rebelles mais on y parle plus des négociations!!! Le Gourvement insvestit plutôt dans l’armée!
– Au Burundi même quand un drogué lance aveuglement un grenade, les pressions extérieurs s’accentuent et l’on exige des négociations! Ce qui est paradoxe est que l’Ouganda et le Rwanda qui ne veulent jamais entendre ce mot « négociation » fait partie de ceux-là qui exigent les burundais à négocier. Quelle injustice!!!
Le Gouvernement n’a aucun autre choix que de renforcer son appareil sécuritaire afin de traquer tous malfaiteurs sans disctinction y compris les siens!
Dans ma mère patrie, tout est confondu avec la politique depuis quelques temps.
Je constate que ces derniers jours les crimes se font dans les bars, les bistrots et les domiciles. Comment faire la différence entre les crimes des voleurs, de règlement de compte, de jalousie etc. et les crimes à caractère politique à présenter dans le dialogue inter-burundais ? On ne peut parler d’acte à caractère politique que quand il y a une revendication par celui qui l’a posé en exprimant la raison de l’avoir fait. C’est cette raison qui peut être examinée au dialogue. Mais sans revendication, donc sans raison, on va dialoguer sur quoi et avec qui ?
Par ailleurs, aucun pays au monde n’est capable de supprimer totalement les crimes faits par les voleurs, par jalousie, ou par règlement de compte etc. On ne peut que les réduire sensiblement. Le monde est tellement déséquilibré qu’il y a partout des frustrés, des désespérés, prêts à tout jusqu’au suicide.
Voilà une juste contribution!
@Ntahitangiye. Vous faites l’apologie du crime (et Fofo applaudit): “Comment faire la différence entre les crimes des voleurs, ….et les crimes à caractère politique à présenter dans le dialogue inter-burundais?”. Comme quoi (1) il vous faut des crimes pour enfin aller au dialogue et (2) ces crimes se dissolvent dans le dialogue …et la reconciliation. Plus de Justice! Votre pays est déréglé.
Voila le role des ressortissant de Mahama incapables de mener une guerre malgré la formation militaire que le Rwanda leur a donné pour venir massacrer le Peuple Hutu au Burundi.
@ Micombero
Comme si feu Col Lucien Rufyiri Était hutu! Ridicule ton commentaire. Les gens extremistes comme toi finiront par voir la main du Rwanda dans toutes les morts au Burundi, y compris de malaria et de VIH!