La rencontre du 15 octobre 2024 entre la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) et les autres partenaires électoraux a suscité plus d’inquiétudes quant à la préparation des élections 2025. L’objectif de la rencontre était de présenter le répertoire national des centres d’inscription des électeurs, le calendrier électoral ainsi que les modalités d’enrôlement. La date du dépôt des candidatures pour les élections des députés et des conseils communaux continue de susciter de remous. Pour certains leaders des partis politiques, il y a anguille sous roche.
La saison culturale A dans les provinces de Ngozi et Kayanza démarre avec du retard dû à l’attente des semences sélectionnées ainsi qu’aux engrais promis aux agriculteurs. Ils ne les ont pas encore eus alors qu’ils les ont payés d’avance. Les administratifs disent que l’engrais est disponible, mais que c’est le manque de carburant qui freine son acheminement vers les différents coins du pays.
Dans plusieurs pharmacies de la capitale économique Bujumbura, un manque de certains médicaments s’observe. Les médicaments disponibles sont à un prix qui varie d’une pharmacie à une autre. Certains pharmaciens vont se ravitailler en République démocratique du Congo, RDC, pour satisfaire la demande.
Dans plusieurs lycées publics, certains cours n’arrivent plus à être dispensés par manque d’enseignants. Certains lycées font recours tant bien que mal aux enseignants vacataires pour pouvoir avancer. Le ministère de tutelle quant à lui n’arrive pas à combler le vide.
La réhabilitation de l’ancien marché central de Bujumbura semble être aujourd’hui une réalité après plusieurs promesses. Pas mal de sociétés avaient en effet jusque-là annoncé qu’elles allaient le faire sans toutefois parvenir à joindre la parole à l’acte. Ubaka nation group semble décidé à y parvenir puisque les travaux de démolition de ce qui restait de cet espace ont déjà commencé. Seulement, certains s’interrogent si l’attribution du marché a respecté les règles de jeu.
Le Mpox ou la variole du singe est dans nos murs. Des mesures-barrières pour lutter contre ont été annoncées par les autorités habilitées. Sont-elles réellement respectées du moins dans la capitale économique Bujumbura? La réponse est non comme nous avons pu le constater dans certaines écoles à régime d’internat, dans certains hôpitaux ainsi que dans certains autres espaces à forte concentration humaine.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. Une occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Fabrice Nzeyimana.
Dans la capitale économique Bujumbura, les voitures de transport en commun ont changé de couleur. Des camionnettes et des jeeps de l’Etat garent en effet dans des arrêts bus pour prendre des clients. Certains chauffeurs de ces véhicules font même payer les passagers avant le départ.
La peur au ventre, le compte à rebours a commencé pour les habitants de Gatumba qui guettent la saison pluvieuse qui pointe à l’horizon. Dans certains quartiers de cette localité, les flaques d’eau commencent à s’assécher mais les habitants qui avaient regagné les ménages s’inquiètent.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. Une occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Gioia Kayaga alias Joy Slam.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. Une occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Félicien Nsengiyumva Minani alias Femidejabat.
La semaine du 12 au 16 août a été dédiée « à la propreté de la ville de Bujumbura ». Le lundi 12 août 2024, toute la ville était mobilisée. Avec des pelles en mains, des hauts dignitaires, des cadres, des fonctionnaires publics et privés, des banquiers, … y ont participé. Certains observateurs y voient une initiative de trop.