Lors des débats organisés lors du forum sur les exportations au Burundi tenu le 14 mai 2024, les exportateurs sont revenus sur les grands défis rencontrés dans le secteur. Toutefois, ils craignent que le rendez-vous risque de n’aboutir à rien si des actions concrètes ne sont pas menées dans l’urgence. Le directeur général de l’Agence de promotion des investissements et des exportations a proposé quelques voies pour booster les exportations. Néanmoins, il doute lui aussi sur la mise en application des recommandations issues de ce forum.
La population de l’avenue Dama dit vivre la peur au ventre. Elle demande qu’il y ait des travaux de réhabilitation des berges de cette rivière d’urgence.
» Défis pour les exportations des produits du Burundi : Quelles solutions stratégiques et durables ? « , tel est le thème du Forum tenu ce mardi 14 mai à Bujumbura, la capitale économique. Parmi les défis soulevés par les exportateurs, (…)
Ce n’a pas été remis dans le cadre du projet de Gestion des pêches dans le lac Tanganyika (Lake Tanganyika Fisheries Management/LATAFIMA) mis en œuvre par la FAO Burundi en collaboration avec l’Autorité du Lac Tanganyika sur financement de l’Union (…)
Poursuivi pour « outrage envers les dépositaires de l’autorité publique » et « atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat », le blogueur Kenny-Claude Nduwimana, qu’une certaine opinion qualifie de sulfureux avec des propos frôlant des messages de haine, a comparu ce jeudi 2 (…)
La Cosybu a beaucoup insisté sur des promesses faites qui tardent à être mises en exécution ainsi que la cherté de la vie rendant encore plus difficile la vie des burundais.
Le bilan des dégâts causés par les glissements de terrain dans le quartier Mugoboka de la zone urbaine de Rohero est trop lourd. Environ 500 habitants ont déjà quitté les lieux à cause de fréquents glissements de terrain causés par de grandes fissures menaçant les habitations ainsi que les routes menant vers cette localité. L’administration ainsi que les habitants de Mugoboka II font appel à une assistance urgente avant que le pire ne se produise.
Des permis de circulation exigeantes et coûteuses, des retards dans l’enregistrement des réfugiés, tels sont les grands obstacles freinant l’inclusion financière et économique des réfugiés et des rapatriés vivant au Burundi. Des défis soulevés au cours d’un atelier sur l’autonomisation économique des femmes réfugiées et rapatriées tenu ce 22 avril par le HCR en partenariat avec la BAD (Banque africaine de développement).
Arrêtée dans l’après-midi de samedi 13 avril 2024 et embarquée le lendemain au SNR, la correspondante du journal en ligne La Nova, Sandra Muhoza a été transférée dans la soirée de ce jeudi 18 avril à la prison centrale de (…)
La situation des populations vivant dans les zones inondées suite aux crues de la Rusizi et à la montée des eaux du Tanganyika est très déplorable, un constat amer dressé par le président de l’Olucome Gabriel Rufyiri. D’après lui, des mesures s’imposent dans l’urgence. Un appel lancé dans sa visite effectuée ce 16 avril dans la zone de Gatumba, sur le port de Bujumbura et dans les quartiers de Kinindo Ouest où les dégâts causés par les inondations sont énormes.
Malgré les lamentations de certains politiques dénonçant que leurs recommandations n’ont pas été considérées lors de l’élaboration du Code électoral, ce dernier a été adopté ce mardi 9 avril par l’Assemblée nationale en plénière par 115 voix contre deux abstentions.
D’après certains députés, ces innovations risquent d’être discriminatoires. Ces derniers demandent la révision de ces innovations en particulier la caution exigée aux candidats variant entre 200 mille pour pour les conseillers communaux et 100 millions pour les présidentielles.