Certains clients de la microfinance Kazoza l’accusent de détourner leur argent. Kazoza s’en défend. Ce sont des clients en collaboration avec un employé qui pratiquaient le ‘’système banque Lambert’’.
Les propriétaires des boutiques et des kiosques du quartier Bwiza sont angoissés. Ils dénoncent la mairie qui applique une double imposition. Pour la mairie, il s’agit des frais d’exploitation d’un espace public. Explication.
Certains assureurs et intermédiaires d’assurance dénoncent la violation de la loi dans la vente et la gestion des sinistres du micro assurance « Ecosure ». L’Ucar-vie déclare avoir demandé l’autorisation au régulateur. L’ARCA soutient qu’il a donné son feu vert. Pour l’expert en assurance, la loi est lacunaire.
Le Fonds de service universel des TIC au Burundi peine à recouvrer les contributions versées par les opérateurs des services électroniques. Selon une source, il n’a jamais arrêté une enveloppe budgétaire correspondant aux projets prioritaires, alors qu’il dispose de plus de 2 milliards BIF.
Nombre de femmes exerçant le commerce transfrontalier sont dans la désolation totale. Elles ne peuvent plus subvenir aux besoins de leurs familles. L’AFRABU appelle l’Etat et les ONG à mettre en place des programmes de résilience à leur endroit.
Le Burundi bénéficie d’une remise de la dette de 7,63 millions USD. Selon les experts, cet allégement ne résolve pas le problème de l’endettement public. Ils proposent quelles stratégies pour inverser la tendance de la dette publique.
Seules 31 coopératives « Sangwe » ont bénéficié des 10 millions BIF accordés par l’Etat. Les autres se disent exclues par la commune lors de la sélection. La commune Giheta souligne que l’enveloppe était uniquement destinée aux coopératives collinaires.
Au moment où la campagne café se clôture d’ici peu, il s’observe encore des cerises vertes dans les plantations. Les agriculteurs demandent une prolongation de la cueillette et l’autorisation de traiter manuellement cette partie restante de la récolte.
Alors que la période de fermeture des frontières persiste suite au coronavirus, les stocks de certains produits importés s’épuisent. Les commerçants jettent l’éponge, ils se retrouvent dans l’incapacité de passer de nouvelles commandes et de payer le loyer. Ils appellent l’intervention de l’Etat.
Avec la fermeture des frontières, suite à l’apparition de la pandémie du coronavirus, les commerçantes de fruits se lamentent. Leurs clients congolais ne viennent plus, occasionnant un manque à gagner conséquent.
Avec le score de 0 sur 100 en 2017 et en 2019, le Burundi ne fournit au public aucune opportunité de participer au processus budgétaire. D’après l’Olucome, cette enquête montre que le Parlement n’est pas le maître du budget.
Depuis 2017, la pénurie du sucre persiste. Des mesures ont été prises pour que ce produit soit disponible sur le marché. Mais, il reste toujours rare et cher. Des commerçants ont abandonné ce commerce.