Les habitants de la colline Murama, commune Kayokwe de la province de Mwaro sont convaincus que le dialogue tient un rôle central dans le règlement des conflits. Il peut aider à identifier les moyens pour répondre à un conflit social et politique. Il peut permettre aussi de jeter les bases nécessaires à la paix et à la réconciliation.
La population de Kabezi se dit satisfaite du degré de réalisation des projets contenus dans le Plan communal de développement communautaire (PCDC). Pendant ce temps, les habitants de Rumonge apportent des griefs à l’endroit des autorités chargées de la mise en œuvre de leur PCDC.
Dans plusieurs régions du Burundi, des plantations d’arbres sont défrichées et dessouchées au profit de la culture de la pomme de terre. Des arbres sont coupés avant d’atteindre la maturité pour en faire du charbon. Emmanuel Ndorimana, secrétaire permanent chargé de l’Environnement au ministère de l’Environnement, de l’Agriculture et de l’Elevage revient sur toutes ces questions et des solutions à apporter.
Selon des habitants de la colline Kibogoye, commune Kayokwe de la province de Mwaro, les leaders doivent soigner leur langage et ne pas tenir des messages d’appel à la violence. Ils doivent également être des modèles d’amour, de paix et de compassion.
Accès à l’eau potable ; création d’emplois ; développement des infrastructures routières, scolaires et sanitaires ; bonne gouvernance politique et économique… Tel est le cahier des charges présenté par les jeunes et les femmes aux futurs candidats aux élections de 2025. L’administration provinciale recommande une compétition démocratique et des projets qui s’inscrivent dans la vision du pays. De leur côté, un des élus locaux et un cadre, natifs de cette province, demandent aux décideurs d’honorer leurs engagements.
La période électorale est propice aux discours de haine. Elle devient un terrain pour l’escalade des tensions politiques. Des habitants de la zone Maramvya, commune Mutimbuzi en province de Bujumbura invitent tout un chacun à la communication non-violente.
Une représentation accrue, des projets de développement répondant à leurs aspirations, traduction des promesses en actes…. Telles sont quelques-unes des préoccupations et doléances émises à l’endroit des partis politiques par les jeunes et les femmes de la commune Rugombo, en province de Cibitoke. C’est à l’approche des élections de 2025 en vue de renforcer la participation citoyenne et la consolidation de la démocratie au Burundi. Du côté des politiques, les solutions à ces défis divergent. Iwacu a fait une descente.
Dans la commune Makebuko, colline Muhororo en province de Gitega, des membres des communautés tutsi et hutu se sont mutuellement protégés pendant les crises de 1972 et 1993. Ils ont été des témoins actifs positifs en période des violences. Rencontre avec une femme hutu qui a protégé les Tutsi pour échapper aux massacres.
Dans les communes Mukike et Mugongo-Manga en province de Bujumbura, des plantations d’arbres sont systématiquement défrichées et dessouchées au profit de la pomme de terre. Pr Jacques Nkengurutse, enseignant d’université, spécialiste des sciences de la vie et de l’environnement, indique que cette situation a des conséquences sur le pays. Il appelle les autorités à faire une planification pour concilier l’agriculture et l’environnement.
Quelle attitude ou quel comportement avons-nous face aux violences dans la communauté ? Certains habitants de la colline Gihamagara invitent tout un chacun à agir pour asseoir la paix et la cohésion sociale. Ils témoignent de leurs actions.
La culture de pomme de terre est devenue une culture prisée par les agriculteurs. Dans les communes Mukike et Mugongo-Manga de la province de Bujumbura, des plantations d’arbres sont détruites pour avoir de l’espace. Certains craignent des conséquences sur l’environnement.
Selon certains habitants de la colline Mwaro-Mavuvu en commune Makebuko, province de Gitega, la propagation des messages de haine a des effets néfastes sur la cohésion sociale. Ils appellent tout un chacun à être témoin actif positif pour éviter des violences comme on en a connu dans le passé.