Une vingtaine de cas de choléra a récemment été identifié dans deux provinces du pays. Il s’agit de Bujumbura-Mairie et la province Cibitoke. Pour les habitants de localités affectées, cette situation est liée à l’insuffisance ou manque d’eau potable. Ils demandent que l’or bleu soit disponible et accessible.
Les frais de transport ont sensiblement grimpé passant du simple au triple. Les voyageurs et les chauffeurs ont perdu tout espoir. Aucune solution n’est envisagée pour le moment.
Les habitants de ces sites sont composés par des rapatriés burundais rentrés de la Tanzanie, du Rwanda et de la RD Congo. Sans terre, ils mènent une vie de misère et leurs enfants ne vont pas à l’école.
Beaucoup de problèmes hantent ces femmes pour faire vivre leurs familles. Elles ne reçoivent plus d’assistance. Elles lancent un appel aux bienfaiteurs de leur venir en aide.
Le site abrite pour le moment les rescapés des éboulements de terrain de Nyempundu de la fin 2019. Les maisons qui y sont érigées présentent partout des fissures et risquent de s’écrouler. Un cri d’alarme est lancé pour éviter des dégâts. L’administration est au courant de cette situation.
Il s’observe une hausse généralisée des denrées alimentaires et d’autres produits sur tous les marchés. La faible production agricole, les frontières fermées, la spéculation et la montée du carburant sont à la base.
Le trafic et les échanges des marchandises sont au point mort. La population demande la réhabilitation de ce pont. L’administration demande l’appui des bienfaiteurs pour apporter leur contribution.
La population ne manifeste plus dengouement pour le coton. Des mesures incitatives tardent à venir. La Compagnie de gérance du coton, Cogerco, tranquillise sans toutefois convaincre.
Il s’observe ces derniers temps des cas de vol organisés et systématiques dans les maisons et les champs de cultures surtout dans les communes de Buganda et Rugombo. La pauvreté et la période de sécheresse prolongée sont à l’origine du phénomène. La police et l’administration promettent des actions énergiques et des sensibilisations pour mettre fin à ces vols.
La fermeture des frontières et l’absence des unités de transformation en sont les principales causes. L’administration tente de trouver des solutions.
Les conséquences des récentes hausses du prix du litre de l’essence et du gasoil commencent à se faire sentir. Presque tous les prix des produits vivriers dans les marchés ont grimpé.
Des lamentations s’observent chez les agriculteurs suite à la baisse significative de la production due à la rareté des pluies dans les communes Buganda et Rugombo. Une hausse exponentielle des prix des produits de première nécessité en est la principale conséquence.