Il existe aujourd’hui dans la province de Cibitoke, un groupe de femmes qui se nomme « non stress ». Ces femmes proviennent de divers milieux socio-professionnels et se disent vouloir rechercher une émancipation féminine aux dépens de leurs époux. Elles passent une grande partie de leur journée dans des bistrots de la place. L’administration les met en garde et craint un risque élevé de dislocation des ménages.
Presque sur tous les postes-frontières des communes de la province de Cibitoke qui partagent la frontalière avec leur voisin du Nord, on note un flux des échanges commerciaux alors que les frontières entre le Burundi et le Rwanda sont fermées du côté burundais. Certains trafiquants clandestins sont déjà sous les verrous. Le gouverneur de cette province de l’Ouest du Burundi met en garde certains administratifs accusés de complicité.
La province de Cibitoke a accueilli des rapatriés il y a quelques temps. Ils sont en grande partie rentrés des pays limitrophes du Burundi. Sans assistance, la plupart d’entre eux ont trouvé leurs maisons démolies et leurs propriétés spoliées. L’administration tranquillise et fait appel aux humanitaires afin de changer la donne.
Les conséquences de la récente mesure de fermer la frontière avec notre voisin du Nord commencent à se faire beaucoup sentir. Les commerçants manquent de marchés d’écoulement. Les produits agricoles périssent localement causant un énorme préjudice chez les agriculteurs. Les bistrots et les bureaux de change sont fermés. L’administration préfère ne donner aucun commentaire.
Le pont qui relie le Burundi et la République démocratique du Congo (RDC) est en instance de réhabilitation. Une fois les travaux terminés, le pont pourra ainsi faciliter la circulation des biens et des personnes entre les deux pays. Des rentrées en termes de taxes et impôts pourront renflouer les caisses communales de Buganda.
La circulation des personnes et des biens est au point mort à la suite de la destruction du pont de Nyamagana en commune Rugombo de la province de Cibitoke. A l’origine, de fortes pluies diluviennes qui ont causé d’énormes dégâts matériels. Les travaux de sa réhabilitation pourront être incessamment entamés.
La circulation est presque paralysée au niveau de la localité appelée Nyamitanga sur la Route nationale numéro 5 (RN5) qui relie la capitale économique Bujumbura et la province de Cibitoke. D’intenses pluies qui s’abattent sur la localité en sont à l’origine. Malheureusement, rien n’est fait pour le moment afin de désamorcer la situation. L’administration provinciale envisage d’approcher les partenaires potentiels.
Les agriculteurs parlent déjà de sous production agricole liée à un déficit pluviométrique. Ils appellent le gouvernement à se préparer à leur venir en aide. Mais le responsable du bureau provincial en charge de l’agriculture tranquillise.
Les légumes et les fruits ne traversent plus la frontière vers le Rwanda. L’administration avance la protection de la production locale. Ce qui n’est pas le cas pour notre voisin du Nord dont les marchandises inondent les marchés burundais.
La route qui mène vers la Rusizi à la frontière est en mauvais état. Le trafic est au ralenti. L’administration est au courant et dit vouloir engager des travaux de réhabilitation incessamment.
Deux membres influents du parti Congrès National de la libération d’Agathon Rwasa, ont été arrêtés dimanche 10 décembre par la police, ils sont accusés d’avoir tenu une réunion clandestine, sans autorisation dans leur permanence. Les responsables de ce principal parti (…)
Difficile de distinguer les élèves et le reste de la population. Comme il n’est pas clôturé, tout le monde y entre et en sort comme il veut. Les vaches, les véhicules et les motos y font des mouvements le jour comme la nuit. Les cas de vol s’y observent. Les autorités demandent de l’aide.