Un public nombreux a répondu à l’appel du Rassemblement de la Diaspora Burundaise de France (RDBF). Cette audience diversifiée comprenait aussi bien des jeunes que des compatriotes plus âgés. Un enseignement majeur à retenir de cette conférence à Paris est l’exigence des Burundais de comprendre ce qui s’est passé le 21 octobre 1993.
Samedi 2 novembre, l’auteur du livre « Ma vérité sur l’assassinat de Ndadaye » rencontrera pour la première fois un public qui l’attend avec impatience. Une attente légitime tellement le sujet suscite des débats passionnés. Pour les Editions Iwacu, ces rencontres que (…)
Par Antoine Kaburahe Les Burundais sommes-nous prêts à regarder notre passé ? Les tensions observées avec la sortie du livre « Ma vérité sur la mort de Ndadaye » révèlent que le chemin est encore long. Mais il faut garder (…)
Les Editions Iwacu, en collaboration avec la communauté burundaise en France et particulièrement le « Rassemblement de la Diaspora Burundaise de France (RDBF), oganisent une conférence-débat avec le Général de Brigade Joseph Rugigana, auteur du livre « Ma vérité sur (…)
Dans la série de nos publications sur l’histoire récente du Burundi, les Éditions Iwacu ont le plaisir de vous annoncer la sortie dans quelques jours d’un ouvrage exceptionnel : un témoignage inédit de Joseph Rugigana, l’officier qui a exfiltré le (…)
Ah, quelle heureuse surprise de voir nos députés endosser le rôle de gardiens vigilants de la morale publique et du bon goût vestimentaire des sportives burundaises. Leur détermination à éliminer toute distraction visuelle perturbatrice lors des matchs de beach-volley — (…)
Même le pire criminel doit bénéficier des meilleures conditions de défense pour que la justice soit perçue comme impartiale et qu’elle ne s’attaque pas à un prévenu en situation de faiblesse. C’est ainsi que certains États investissent des sommes considérables (…)
En août 2011, je me suis rendu en pèlerinage à Mugera. C’était un moment de dévotion extraordinaire qui témoignait de la foi profonde des fidèles. Dès la veille du 15 août, des dizaines de milliers de chrétiens affluent sur la belle colline et passent la nuit à prier. J’avais été choqué par l’absence de toilettes publiques. J’ai retrouvé ce reportage. Souvenirs.
Un journal doit avoir le courage de se remettre en question. C’est seulement ainsi qu’il peut évoluer. J’étais très curieux de lire l’interview exclusive de Sixte Vigny Nimuraba, président de la CNIDH au Burundi. L’entretien promettait d’aborder divers sujets cruciaux (…)
L’interview que j’ai réalisée avec un ingénieur des mines allemand, ayant une solide connaissance du secteur des mines au Burundi où il a travaillé, suscite de nombreuses réactions. Certains me reprochent de ne pas être « patriote », d’être « jaloux de la (…)
La découverte à Murehe d’un filon, autrefois exploité par les Belges puis rebouché et « bétonné » à leur départ pour « le cacher aux Burundais », a été annoncée avec grand tapage. Des recettes faramineuses issues de son exploitation ont été promises. Afin de rester fidèles à notre devoir de journalistes et de conserver une perspective froide et objective, nous avons sollicité l’analyse d’un ingénieur des mines d’origine allemande ayant longtemps travaillé au Burundi. Pour aller au-delà du battage médiatique et éclairer cette prétendue découverte, ce spécialiste nous apporte un regard critique. À sa demande, nous ne dévoilons pas son nom.
Par Antoine Kaburahe Au Burundi, lancer des pierres sur des passants ou des habitations est souvent perçu comme l’acte d’une personne à l’esprit tourmenté (Abarwayi). La société fait preuve de clémence envers ces individus. Cependant, jeter des pierres sur le (…)