Au cours des cérémonies marquant la Journée internationale de la radio, célébrée le 13 février de chaque année, le représentant de l’ABR, l’association burundaise des radiodiffuseurs, a insisté sur le thème de cette année ainsi que sur l’importance de la (…)
Les habitants de cette localité disent vivre la peur au ventre, ils demandent qu’il y ait des travaux d’urgence pour la réhabilitation des berges de cette rivière.
Une activité d’affichage des listes électorales provisoires des électeurs a été lancée ce vendredi 7 février par la Commission électorale nationale indépendante, c’est du 10 au 12 février 2025. Selon le président de la CENI, ces listes électorales seront affichées aux anciens bureaux d’inscription qui vont être pour le moment des bureaux ou des centres d’affichage des listes électorales provisoires.
Un processus d’évaluation mutuelle pour contrôler l’efficacité des systèmes de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme sera effectué au mois de juin 2025 pour une période allant jusqu’à 15 mois par la cellule nationale du renseignement financier CNRF, comme l’a indiqué Jean Baptiste Butoyi, le secrétaire permanent du CNRF.
Le 4 février de chaque année, la Journée mondiale du cancer rappelle l’importance de la lutte contre cette maladie qui touche différentes catégories de personnes. Une occasion de sensibiliser sur l’importance d’un style de vie permettant de réduire les facteurs de risques, du dépistage précoce et des traitements adaptés.
12 ans après l’incendie du marché central de Bujumbura, les travaux de réhabilitation ont été lancés en 2024 par l’entreprise Ubaka Nation. Va-t-elle réussir là où plusieurs sociétés ont échouées? L’Olucome appelle le gouvernement à prendre en main la réhabilitation.
Plus de 500 hectares de champs de palmiers à huile inondés et abandonnés ; manque d’encadrement agricole, de fertilisants et d’usines de transformation modernes. Tels sont les principaux défis auxquels font face les cultivateurs des palmiers à huile de Rumonge. De nouvelles orientations et actions s’imposent afin de sauver cette culture aujourd’hui menacée de disparition.
La plupart des personnes qui veulent prendre les bus ou les taxis collectifs pour se rendre à l’intérieur ou quitter une province pour se rendre dans une autre, sont désemparées : les prix du transport fixés par certaines compagnies de voyage ou par les conducteurs desservant l’intérieur du pays. L’association des transporteurs du Burundi en appelle au respect des prix officiels fixés.
16 médecins de la province sanitaire de Kayanza ont quitté leur travail dans une période de 6 mois. Ces départs perturbent certains services dans différents hôpitaux, comme l’a indiqué Pascal Niyonzima, directeur provincial sanitaire de Kayanza, dans une réunion avec différents chefs de fonctions.
Face à la saturation des auditoires et partant au manque de places pour les nouveaux à l’Université du Burundi (UB), de nombreux lauréats de l’examen d’État 2024 se voient redirigés vers l’Ecole Normale Supérieure (ENS). Cela suscite frustration et questionnements sur leur avenir.
L’organisation ’’Parcem’’ (Parole et Actions pour le Réveil des Consciences et l’Évolution des Mentalités) doute de la faisabilité de la détermination du chef de l’Etat de réguler les prix des marchandises. Cette annonce a été faite à Mbuye, en province de Muramvya ce samedi 4 janvier.
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a tenu un point de presse ce vendredi 3 janvier pour expliquer les motifs du rejet des candidatures de plusieurs partis dans les prochains scrutins dont celles de la coalition « Burundi bwa bose », qui a immédiatement saisi la Cour constitutionnelle, dénonçant une décision injustifiée et contraire à la loi.