Après 1 an 8 mois et 13 jours d’emprisonnement, Emilienne Sibomana est libérée de la prison centrale de Gitega, ce mercredi 21 novembre 2024 dans le cadre de la grâce présidentielle.
A l’occasion de la célébration des 35 ans de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, le président de la Commission Nationale Indépendante des Droits de l’Homme (CNIDH), a dressé un bilan mitigé de la situation des enfants au Burundi. C’était au cours de sa conférence de presse tenue ce mercredi 20 novembre.
Les victimes des inondations de Gatumba délocalisées à Matyazo rencontrent plusieurs problèmes. Aléas climatiques, insuffisance des produits vivriers, manque d’endroits décents pour dormir, difficile accès des enfants à l’école, longues distances pour avoir de l’eau, violences sexuelles, …. Voilà ce qu’ils vivent au quotidien. Reportage
Entre 2014 et 2023, le Burundi a enregistré une baisse globale de 0,3 point dans l’indice de gouvernance, passant d’un score de 41,7 à 41,4, comme l’indique le rapport de l’Indice Ibrahim de la Gouvernance en Afrique (IIAG). Sur 54 pays, le Burundi est passé de la 40è à la 43è place. Le Gouvernement burundais se justifie et minimise cette ’’petite chute’’.
Les demandes de réintégration à l’Université du Burundi et à l’ENS ne vont plus être acceptées comme l’indique la direction générale de l’enseignement supérieur dans son communiqué du 18 novembre 2024. Cette décision a suscité plusieurs lamentations de la part de ceux qui avaient suspendu temporairement leurs études.
Un budget de 113 millions de dollars a été donné au ministère des Infrastructures, de l’Équipement et des Logements sociaux par la Banque mondiale pour assurer la protection et la réparation des infrastructures critiques, la protection des rives du lac, le nettoyage et la réhabilitation des zones inondées.
En dépit d’une baisse récente du prix du sucre SOSUMO, cette denrée essentielle demeure introuvable dans les boutiques de Bujumbura et ses environs. Même celles qui en ont ne les mettent pas dans les rayons. Plusieurs familles se disent désemparées. Le ministère du Commerce se refuse à tout commentaire.
Ces derniers jours, il s’observe une pénurie des produits Brarudi et ce manque criant évolue vers une carence critique dans la ville de Bujumbura. Différents mini dépôts et bars enregistrent des pertes. Certains ont dû fermer les portes. Les consommateurs de ces produits et les propriétaires des bars appellent la Brarudi à réagir.
Depuis le 5 novembre, les automobilistes de Bujumbura sont tenus d’utiliser, du moins officiellement, l’application « Igitoro Pass V 1.0 » pour s’approvisionner en carburant. Imposée par la Société pétrolière du Burundi (SOPEBU), cette nouvelle exigence vise à améliorer la gestion du carburant, dans un contexte de pénurie sévère. Cette numérisation se heurte à des dysfonctionnements techniques compliquant davantage la vie des automobilistes.
Les demandeurs de permis biométriques de conduire s’interrogent de plus en plus : leur requête n’est pas honorée. « Attendez ! », c’est la seule réponse donnée. Le commandant de la PSR tranquillise et promet une solution dans un bref délai.
Les relations entre le Burundi et le Rwanda, tendues depuis plusieurs années, semblent connaître un léger dégel. Les deux pays voisins seraient en passe de trouver un terrain d’entente sur la question épineuse de l’extradition des individus impliqués dans la tentative de coup d’État de 2015 au Burundi.
Le conduit souterrain des déchets des toilettes en provenance du quartier Ngagara II a été bouché ce qui a forcé ces eaux usées de se frayer un passage en coulant vers le caniveaux longeant cet axe. Ces odeurs nauséabondes sont (…)