{« J’ai été ébloui par la richesse et la beauté de la nature du pays. C’est dommage qu’on la laisse inconnue. C’est presqu’un crime. Si j’étais Burundais, j’écrirais un roman là-dessus, et ce serait peut-être l’œuvre la plus engagée du pays car je célèbrerai mes racines, le chez-moi ! »}
Impressions de Kebir Ammi, écrivain algérien en résidence d’auteur à l’Institut Français du Burundi du 15 au 19 avril 2013.