Mardi 05 novembre 2024

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Iwacu, Rédaction centrale

05/05/2013 Commentaires fermés sur Iwacu, Rédaction centrale

<doc490|left>Tout petit déjà, je savais que je serai journaliste, comme mon papa que j’adorais et qui dirigeait Ndongozi, un des premiers journaux du Burundi.

Sa disparition accidentelle a renforcé cette idée. Pour moi le journalisme est le plus beau métier du monde. Je crois très fort que le journaliste peut jouer un grand rôle dans la construction d’une société plus juste.

J’aime rencontrer et connaître des gens différents, découvrir d’autres lieux.

Je lis beaucoup et j’adore la bonne musique comme celle d’Otis Reading, Eagles, Vangelis, Cesaria Evora, Brassens, Brel, Canjo Amissi…

Ma phrase préférée : « Demain est un autre jour »

{Tél fixe-bureau}: +257 22 25 89 57

{Adresse Email}: [email protected]
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<doc492|left>Licenciée en Sciences de la Communication, Elyse s’intéresse de très près à l’actualité burundaise, dont elle connaît.

Vous voulez le téléphone d’un Député, d’un Sénateur ou d’un ministre ? Demandez à Elyse. Tout le monde se demande comment cette jeune maman de trois enfants a pu bâtir si rapidement un tél réseau…

Sa phrase préférée : « La vie nous réserve des surprises »

Tél. : +257 78 925 654

Email : {[email protected]}
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<doc493|left>Je m’appelle Edouard Madirisha. Juriste de formation et journaliste dans le Service Politique Intérieure et Questions juridiques, mon métier me permet d’être en contact avec ma première passion, le droit. Mais être journaliste va au-delà du seul droit, ce métier m’a révélé des capacités que j’ignorais, des milieux inconnus, des valeurs ignorées et a développé en moi d’autres priorités. Alors que je détestais la politique, j’y suis très attentif aujourd’hui. En tant que journaliste, j’espère qu’un jour mon pays et ma famille seront fiers de moi.
Originaire de Ngagara, j’en ai acquis le sens de la sociabilité. J’adore le cinéma et la lecture, John Grisham étant mon auteur préféré. Une bonne discussion animée et intelligente entre amis n’est pas pour me déplaire, surtout si c’est autour de « quelque chose », et entrecoupée de bonnes blagues.

J’aime m’inspirer des pensées du philosophe chinois, Confucius : « La plus grande gloire n’est pas de rester debout, c’est de se relever chaque fois qu’on tombe. »

Tél. : +257 79 996 645

Email : {[email protected]}
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<doc495|left>Christian Bigirmana est confronté dès son jeune âge aux affres de la guerre qui secoue son quartier, berceau de la rébellion armée. Nous sommes en 1994. Rien ne présage alors que ce natif de Kamenge sera un jour journaliste. La plupart de ses amis prennent les armes. Il prend alors conscience du danger de la guerre et se promet de lutter toujours pour le retour de la paix. Il s’inscrit en 2004 à l’université du Lac Tanganyika dans la faculté des Sciences sociales au département de science politique et relations internationales. Diplôme en poche, il est embauché comme pigiste au journal Iwacu alors que celui-ci vient de voir le jour. Trois ans après, en 2011, Christian Bigirimana deviendra reporter au même journal dans la rubrique « Sécurité et Politique Intérieure ». Son travail le mène souvent vers une population marquée par des violations des droits de l’homme, un mal qui gangrène encore aujourd’hui la société burundaise.

De son Kamenge natal, Christian garde l’exubérance, la joie de vivre, un savoureux kirundi teinté de swahili. C’est aussi un passionné de lecture, des films, et de musique congolaise. Son plat préféré est la patte du mais accompagné du haricot et du poulet grillé.

Sa phrase préférée : « Il ne faut pas s’offusquer de ce qui ne dépend pas de nous »

Tél. : +257 79 402 776

Email : {[email protected]}
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<doc631|left>Dieudo ou encore « Kingsley » comme on l’appelle affectueusement a grandi sur les rivages du lac Tanganyika, à Kanyosha.

Bon reporter, Dieudo escaladera monts et vallées à la recherche de « l’info ». Courageux, il était le seul à pouvoir se hasarder dans Bujumbura rural lors des dernières attaques du FNL.

Sa phrase préférée : « Il ne faut jamais rater la meilleure occasion de se taire. »

Tél Cellulaire : +257 79 968 435

Adresse Email : {[email protected]}
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<doc501|left> Suivre au jour le jour les défis de l’économie burundaise, les cas de corruption et des malversations économiques, la privatisation, le cours des entreprises et celui des prix … " Le journalisme n’est pas une activité, mais une vocation " : voilà une conviction forgée après quelques années d’immersion dans le métier, dont un stage de neuf mois (juin 2007- mars 2008) à la Radio Publique Africaine (RPA), et son entrée dans la Rédaction du journal Iwacu en avril 2008. Né le 29 août 1976 en commune Mugongo- Manga, province Bujumbura, Jean- Claude Bitsure a une licence en Langue et Littérature Françaises. Actuellement complétant sa formation par un Master en journalisme à l’Université du Burundi. Il adore l’enquête. Son rêve, comme il le dit chaque jour, est de voir l’injustice et l’inégalité disparaître dans la société : « Ce n’est qu’un rêve, mais imaginez si cela devenait une réalité ? », répète-t-il souvent.

Son sport préféré est le tennis de table (ping-pong). Chaque samedi matin, il y a aussi du le cross, la marche, la musculation… Sa lecture préférée est le roman historique. Il aime aussi le film d’horreur et la comédie. Jean Claude Bitsure est marié.

Sa citation préférée : {« Toute aventure humaine, quelque singulière qu’elle soit, engage l’humanité entière. » Sartre (Jean- Paul)}

Tél : +257 78 262 560

Email : [email protected]
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<doc503|left>Fille au grand cœur, Lyse se consacre aux problèmes des plus vulnérables : les malades, les oubliés, les enfants maltraités, etc.

Tout ce qui touche la société, surtout les plus fragiles la touche. Avec sa rubrique « Parole à… », Lyse donne la parole à ceux qui luttent pour une société plus juste.

Pasionaria de la cause des démunis, cette licenciée en Sciences Politiques a su faire d’ Iwacu la voix des petites gens.

Sa phrase préférée : {« On ne voit bien qu’avec le coeur »}

Tél. : +257 79 946 680

Email : {[email protected]}
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<doc2653|left>Sur le banc de l’école, je n’avais jamais imaginé que je serai journaliste. Formée en Sciences Sociales, je me sentais plus destinée à une carrière dans l’humanitaire. « L’appétit vient en mangeant », dit-on. C’est avec mon stage de préparation de licence à Iwacu que j’ai réellement découvert l’intérêt de ce métier. Être journaliste va au-delà de ce que j’imaginais : je vis un perpétuel enrichissement, entre curiosité intellectuelle et rencontres humaines denses.
Ce n’est pas tout : j’ai l’occasion d’être là où je n’avais jamais pensé être. Mon plaisir à être en communion avec les autres va croissant. En tant que journaliste, je suis fière de pouvoir apporter de l’aide à ceux qui en ont besoin. Joyce Mayer et Rick Warren sont mes auteurs préférés.

Sa citation préférée : {« Si personne ne le sait, si personne ne le voit, Dieu le saura et l’aura vu »}

Tél. : +257 78 889 328

Email : {[email protected]}
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<doc504|left>Difficile de décrire Roland. Étudiant à l’origine en sciences, Roland a décidé de se consacrer depuis au journalisme, qu’il intègre après la parution de son premier roman, {"Les oniriques", édité à Paris en 2003.}

Animateur du café-littéraire Samandari, initiateur du Prix Michel Kayoya, Roland Rugero a aussi remporté une médaille de bronze aux 6èmes Jeux de la Francophonie de Beyrouth, en 2009 pour sa nouvelle {Le Sourire et l’Enfant (publié dans l’Anthologie "Émergences – Renaître ensemble}. Tous ceux qui l’ont lu reconnaissent un plume pleine d’avenir, alors qu’il s’apprête à publier son second roman, {Baho.}

Pilier de la vie d’Iwacu sur internet en tant que chargé du Service Web du journal depuis sa création, Roland est-il littéraire ? Scientifique ? On le retrouve un peu partout. Et surtout dans sa rubrique culturelle, une fierté du journal.

Sa phrase préférée : {« Le plus important n’est pas la réponse, mais la question »}

Tél. : + 257 79 993 234

Email : {[email protected]}

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