Le Groupe de Presse Iwacu a adressé un message au président du CNC pour lui demander d’intervenir auprès des services de la présidence. Un membre de la sécurité présidentielle a confisqué, depuis un mois, l’appareil photo et le badge d’un journaliste.
L’incident remonte au 9 août . Onesphore Nibigira, journaliste au Groupe de Presse Iwacu est en reportage à Kamenge pour couvrir la marche en mémoire de feu Général Adolphe Nshimirimana.
C’est alors que cet homme est venu. Il a décliné son identité et le journaliste l’a reconnu. Il a dit qu’il allait « confisquer le matériel et le badge ». Le journaliste a appelé la direction. « Malgré le caractère illégal de cet acte, pour éviter les dérapages, j’ai dit au journaliste d’obtempérer et de remettre son badge et son appareil. J’avais encore en mémoire le cas d’Esidras, le correspondant de RFI », Explique Antoine Kaburahe, le directeur d’Iwacu.
« Je me disais que c’était un geste maladroit, un excès de zèle déplacé » raconte Kaburahe.
Après une réunion, la direction d’Iwacu a décidé de ne pas évoquer l’incident pour ne pas ternir l’image de l’institution présidentielle que sert cet homme. « Nous étions convaincus de régler à l’amiable la question. », dit le directeur d’Iwacu.
Le journaliste lésé a alors envoyé un message au Conseiller principal en charge de l’Information et de la Communication pour lui expliquer ce cas. Il n’a reçu aucune réponse.
Deux semaines plus tard, le 24 août exactement, le rédacteur en chef, en l’absence du directeur des publications, a encore relancé la demande.
A ce jour, soit exactement un mois jour pour jour, le journaliste n’a pas encore récupéré son appareil et son badge.
« Monsieur le président du CNC, vous comprenez notre désarroi et c’est pourquoi nous nous en remettons à votre intervention pour récupérer notre matériel de travail confisqué illégalement. », écrit Iwacu dans sa lettre.
Le Groupe de Presse espère que l’intervention du président du CNC permettra de retrouver le matériel. Autrement, lwacu dit qu’il ne lui restera plus qu’à porter plainte pour « vol ».
Ce sont seules nos différences qui relèveront et reconstruiront notre patries car nos convergences et nos ressemblances la détruisent déjà.-
Si c’est vrai la restitution ou la réponse devrait être faite.
Au Burundi de Pierre NKURUNZIZA et des Imbonerakure, la stratégie qui consiste à harceler, à terroriser et à torturer les journalistes pour les faire taire continue… ! Mais que sera un Burundi sans journalistes, sans diversité de l’information ??? Le pouvoir NKURUNZIZA veut-il nous ramener dans les sombres années soixante-dix sous le régime d’un certain Michel MICOMBERO ?? Je le pense fermement… ! Tout cela n’honore pas le 3è mandat de Mr NKURUNZIZA, qui a déjà du plomb dans l’aile, au contraire… ! Courage chers journalistes d’I Wacu…! Nous savons tous vous travaillez la peur au ventre, que le métier d’informer au Burundi en ce moment est un métier risqué, extrêmement dangereux qui peut vous faire enlever la vie d’un moment à l’autre…! J’admire votre professionalisme, votre détermination et votre courage…!
kururwamo ngaho,nbega izo nbonerakure sa barundi muragowe niba mwibaza ko muzoba mugihugu abandi batarimwo.
ntavyo muzoshikako donc votre problem c,est la nostragie d,ancien pouvoir, yoooh humura ntaho tuzoshirana,izonbonerakure
uvuga uzozihanganira na ba JRR twarabihanganiye.
Imbonerakure naba JRR mura bi comparant? hahah, iyo mutwara les annees 70 vyarikuborohera, ariko ubu uburyo bwokumenya makuru bwarateyimbere ibikorwa vyose nimbonesi birara bimenyekanye, ubu ivyuburundi twese turazukuri, ariko izo mbones nazonyene ziranterikingomgwe, ubiravye ntizikomeye, nabacangero baha amahera bagaca babata aho babonye bose , nukuri imbonerakure ntanumwe zoterubwoba, twese turazi ko zidakomey, kandi zicwa ntihagire nuwuvuga abasoda baphuy ko ntibaba bazwi mugisoda, haphuy imbonesi 10 numusoda umwe bavuga ko haphuye umuntu umwe kugira ntibikemeshe ko naho yasa numusoda atari umusoda, mbona ubutegetsi bwatanguye kwica abahutu kuva muri 72 menga nubu baracitwa bagatabwa muma fosse commune kuko ari imbonesi, vyarabandanije kandi bikaze kubu butegetsi. ubutegetsi bwica abahutu bagahambwa nkimbwa nubu buracahari. Naho nabatutsi bicwa, bo bahambwa nabiwabo bakabahambana iteka, ariko imbonesi zaphuye, ntawumenya iyarara bazitamwo