Amahoro Burundi : Le dialogue vecteur de culture de la paix et de la Réconciliation
Cycle de conférences sur les expériences de paix et de réconciliation
Dans le cadre de la relance du cycle de conférences « Amahoro Burundi : le dialogue vecteur de culture de la paix et de la réconciliation » l’ambassade de France au Burundi et la Commission Vérité et Réconciliation ont le plaisir de vous inviter à participer à la conférence :
« De Survivants à Acteurs de notre Destin, l’expérience du Guatemala en Justice transitionnelle »
par Mme Ruth DEL VALLE COBAR
Présidente de la Commission Présidentielle de Coordination de la Politique du Pouvoir exécutif en matière des Droits Humains du Guatemala.
Mme Ruth DEL VALLE COBAR est chargée aujourd’hui par les associations de victimes de la conception et de la négociation du programme national de réparations au Guatemala
Le mardi 17 mai 2016
de 16h à 18h à l’Institut Français du Burundi
( 9, chaussée Prince Louis Rwagasore)
(L’interprétation simultanée en français et en espagnol sera assurée durant la conférence)
Encore une bourde dans la série des maladresses de Nkurunziza. Hier Luc Michel le neo nazi belge, aujourd’hui les français avec la dizaine de policiers pour sauver des milliers d’innocents……. Voilà ce que Jean Louis et Ntahoturi trouvent de vendable dans une ville comme Bujumbura.
Ca ne marchera pas mes chers amis. La CVR est à reprogrammer, à imaginer, à redefinir après l’épisode de ces tueurs aujourd’hui aux affaires. Je souhaite à Ntahoturi d’être encore de ce monde pour se rendre compte de son erreur.
KIbwa
L’expérience d’autres peuples peut-elle nous servir? Possiblement oui. Mais je crois que les objectifs non-dits de la division des Burundais et les comment, en terme de stratégies et tactiques pour y parvenir
sont déterminés et coordonnées par les penseurs occidentaux sans émotions et loin de nous.
Ils font de nous »des bons et des méchants » comme dans les films américains, Ils établissent des alliances farfelues avec des soi-disant bons pour détruire les méchants et tout un peuple. Je suis souvent surpris, par exemple, de lire, dans certains articles, mes compatriotes de l’ethnie tutsi, qui se font dire d’être des juifs noirs! Et ils y croient. Et puis ça donne quoi pour les pauvres que nous sommes?
Peu importe. Le plus important à retenir par ailleurs, ce qui se perd au Burundi, au Rwanda, en Irak ou en Libye ça se gagne ailleurs, de Paris à Washington en passant par Ottawa.
Mais, en écoutant les expériences de Guatemala, ce pays d’Amérique latine, nous pouvons en tirer quelques idées où jailliraient un peu de lumière dans cette obscurité où nous sommes cantonnés depuis notre indépendance. L’obscurité qui nous maintient les derniers plus pauvre du monde. J’espère que notre site Iwacu mettre en ligne quelques extraits de la conférence pour nous permettre de prendre connaissance de ce qui a été dit.
Merci encore aux éditeurs de BURUNDI IWACU.